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Je suis retourné au lycée aujourd'hui.

Le week-end était malheureusement fini. Alors, j'avais remis mon uniforme, Sans aucune couleurs, aussi fade que les murs de ce maudit lycée.

À l'heure où je te parle, je suis encore choquée de ce qu'il c'est passée aujourd'hui.

J'avais franchis la grille du portail comme toujours, une heure avant la sonnerie.

Les personnes présentent me regardaient, comme toujours, mal.

J'étais dans les couloirs, en direction de ma salle de classe, c'était calme.

Mais le calme qui régnait a été de courte durée puisque j'ai été plaqué violemment au mur pour ensuite être transporté de force dans les toilettes.

Ouvrant avec peur les yeux, je m'aperçois que c'était Woon-Ho.

« La terreur » du lycée, ma terreur...pour lui, j'étais son souffre douleur...

"Alors ma jolie, on est prête à souffrir ?"

Cette phrase, celle qui m'avait faite froid dans le dos.

J'allais encore une fois perdre conscience, peut être plus.

Je ne supporterais pas encore une fois ses coups, mon corps ne le supportera pas.

Il m'avait plaqué contre le mur, me soulevant par le cou, ma respiration commençait à se faire de plus en plus rare.

C'était sans plus tarder qu'il avait commencé avec quelques coups.

J'avais mal.

Mais je ne pouvais pas le dire, ou appeler quelqu'un.

Personne ne m'aiderais.

Un coup plus fort que les autres me fit pourtant crier malgré ma respiration saccadé.

Mais, comme si Dieu c'etait soudainement rappelé de mon existence, quelqu'un entra et poussa Woon-Ho a l'autre bout de la pièce.

Je n'en croyais pas mes yeux.

Pourquoi ?





C'était cette inconnu, mon éternel sauveur.

Il m'avait amené jusqu'à l'infirmerie, il m'avait laissé la-bas après m'avoir dit,

"Je t'avais dis que je serais toujours la. En faite, je m'appelle J."



Puis il est sortit.

Après deux heures de repos j'ai pue sortir pour retourner en classe.

Une fois devant la salle, j'ai toqué puis je suis entrée.

Comme toujours, ils me regardaient avec mépris, ils auraient sans doutes voulu que mon agresseur m'ôte la vie. Ce qui enfaite ne l'aurait pas tant dérangée que ça.

Mon professeur ne me regardait même pas et continuait son cour.

Je suis parti m'installer à ma place, au fond de la salle, personne ne venait la bas.


je n'avais pas pris la peine de sortir mes affaires. mais je regardais le ciel par la fenêtre.

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