L'amour retrouver (terminer)

Chapitre 5: Noël chez les Salvadore

P. D. V. Caroline Forbes :

Nous sommes le soir du réveillon de Noël, dans quelque heure, nous allons passer une bonne soirée chez Elena et Damon.
Pour l'occasion, j'avais acheté des robes pour mes filles et pour moi, une robe noir brillant pour moi et les filles une robe bordeaux pour Josie et une robe gris pour Elisabeth.
Avant que nous allions chez Elena et Damon, nous allons nous apprêter, j'avais donner le bain aux filles et mis leurs jolie robe, que j'avais acheté tôt dans la matinée, puis moi, j'avais pris ma douche et mis ma robe noir à paillettes, je me coiffe en laissant tomber mes cheveux sur les épaules et mes escarpins noir, une fois que nous etions prête, il était l'heure de partir chez Elena et Damon, nous prenons la voiture avec les bras chargés de cadeau, que j'avais mis dans le coffre de la voiture, et en route pour le manoir des frères Salvadore.
Au bout de 20 minutes de routes, nous sommes enfin arriver chez Damon et Elena, je me gare près de la porte d'entrée, et sortons de la voiture, je me dirige vers le coffre de la voiture et prend les cadeaux que j'avais mis avant que nous partions, puis nous dirigeons vers la porte d'entre, je sonne et attend qu'on nous ouvre

- salut Damon, dis-je en rentrant
- salut blondie, salut Ric et salut les filles, dit Damon

Nous dirigeons vers le salon, rejoindre Elena

- salut Elena, dis-je en la prenant dans mes bras
- salut Caroline, dit Elena
- tu es en beauté ce soir, dis-je
- toi aussi, tu es en beauté, dit Elena
- merci, dis-je
- comme vous êtes jolie, dit Elena en prenant mes filles dans ses bras
- merci tatie, dit les filles
- Bonnie n'est pas encore arriver ? dis-je
- non pas encore, mais elle ne va plus trop tarder, dit Elena

Justement en parlant de Bonnie, j'entendais que sa sonne à la porte, Damon va ouvrir et qui je vois rentrer Bonnie et Enzo avec les bras chargés de cadeau.

- salut Bonnie, dis-je en la prenant dans mes bras
- salut Caroline, dit Bonnie
- salut Enzo, dis-je
- salut boucle d'or, dit Enzo

Elena et Damon avait pris tout les cadeaux en dessous du sapin joliment décorer de bleu et blanc.
Damon commencais à nous servir un verre de bourbon à chacun et aux filles un verre de coca, et Elena avait été dans la cuisine prendre les amuse gueule, qui était encore bien chaud, car il venait de sortir du four, elle fait le tour de la pièce avec ce plateau en main en nous disant de bien faire attention, car c'est assez chaud.
Le temps que nous prenons l'apero, la porte d'entrée s'ouvre qui je vois apparaître, Klaus, je le demandais bien ce qu'il faisait la

- tiens Klaus, que fait tu là ? dit Damon
- je suis venu offrir mon cadeau à Caroline, dit Klaus en s'approchant de moi
- j'ai rien besoin, dis-je tout surpris de le voir la devant moi
- ma douce, je ne voulais pas attendre un autre jour pour te l'offrir, et quand je les vu, j'ai pensé à toi, dit Klaus en me donnant une petite boîte
- comment tu sais que je serais chez Damon et Elena ? dis-je
- j'ai des hybrides un peu partout, dit Klaus en faisant un clin d'oeil
- écoute Klaus, je ne veux pas te voir, je passe une soirée avec ma famille et mes amis, j'aimerais bien que tu parte, dis-je en grognant
- je vais partir, mais avant de partir, j'aimerais bien que tu ouvre ton cadeau devant moi, dit Klaus
- OK, je vais l'ouvrir

Je commence à déballer le cadeau que Klaus avait mis dans mes main, je vois un écrin, j'ouvre et dans cette écrin avec une jolie bague de fiançailles, je commençais à ne pas me sentir bien, j'avais les mains moites et tremblante, je redoutais ce que Klaus va me dire

- Caroline Forbes, voulez-vous m'épouser ? dit Klaus en me tenant la main
- heu... heu... Klaus tu me prend au dépourvu, dis-je toute tremblante
- je t'aime ma douce et je refuse encore passer des décennies seul, dit Klaus en prenant ma tête entre ses mains
- je dois y réfléchir, je ne peux pas te répondre comme ça, Klaus, dis-je en prenant ses mains
- tu as tout ton temps, mais j'aimerais avoir une réponse avant que je retourne à la nouvelle Orléans, dit Klaus
- je te tiendrais au courant, mais pour l'instant laisse moi y réfléchir, dis-je
- OK, j'attendrais, dit Klaus