Chapitre 3

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Après quelques minutes de course intensif, à travers une forêt puis ensuite un labyrinthe de pierre, j'arrivai au bord ... d'une ( putain de fucking ) cascade. Mon cerveau avait définitivement rendu l'âme, ne comprenant pas pourquoi il y a "ça" alors que qu'on était comme même dans une salle de 30 m² au départ et qu'un fou essaye de me tuer. Qu'est-ce que j'ai fait avant pour mériter ça me dis-je en me cachant derrière un rocher. A gauche les chutes de la mort assurée, à droite une forêt avec un potentielle, je me dis que intérieurement mon caillou et ses confrère étaient finalement très confortable. Mais j'avais tellement tort.

- Pas mal ! Franchement, je n'aurai pas parié que du aller survivre aussi longtemps.

Des bruit de pas venant à dix mètre de ma cachette faisaient craquer les graviers. Mon coeur battait la chamade que j'avais peur qu'il l'entende.Et stressé comme j'étais avec l'adrénaline je lui criais:

- Vous êtes un grand malade.

Et mon abris explosa, je fus propulsé par le souffle de l'explosion, j'avais les oreilles qui sifflaient et mon corps se mit en boule automatiquement pour amortir la chute et me cacha aussitôt après avoir atterri, derrière un autre rocher. Mais d'où, d'où avait-il des armes explosifs comme ça alors que moi je n'ai qu'un bâton.

Et comme pour se moquait de moi, il me répondis :

- Ne jamais dévoiler sa position à l'ennemi.

"C'est bon la leçon est retenue je pense."

-Ha, oui ! Si tu veux sortir, il faudra me battre.

Il y eu un moment de flottement avant qu'il ne reprenne:

- Mais c'est pas vraie, je te rappelle la règle numéro 1 et trois seconde après tu l'oublie. Rolala.

Je n'eus pas le temps de penser "Quoi" que le bâton qu'il avait au début vient embroché le rocher, ressortant à cinq centimètre au dessus de mon crâne.

"Mais,mais comment il arrive à faire ça, avec juste un bâton ?"

Pas le temps de poser d'autres questions trouvé une autre cachette.

"ou se battre"

Je parti directement vers la forêt en zigzaguant pour éviter qu'il ne me vise si il me rattrape. Ma respiration devenait sifflante. J'en pouvais tout simplement plus. Et puis il y eu comme un déclic, comme si mon cerveau après avoir déserté avait décidés de passer en mode pilotage automatique. Et je deviens spectatrice de moi-même.

Ma main gauche étreint mon arme d'infortune que je n'avais jamais lâché et mon corps vint monter à un arbre pour se cacher parmi les feuillage et patienter. Quelque minutes après des bruissement apparurent, pour retomber dans le silence, finalement ne me voyant pas mon chasseur sortit de sa cache. Mon coeur restait calme ce qui contrastait avec les dernière minutes. Il s'approchait de mon arbre en toute ignorance à son plus grand malheurs. Car mon corps tombait sur lui pour ainsi le plaqué au sol avec mon bâton sous sa gorge pour l'étrangler. Lui très serein, en apparence, essaya de m'atteindre en m'envoyant des coup de poing au visage mais voyant que cela ne fonctionnait pas mit alors ces pieds sous mon ventre pour envoyer mon dos contre un arbre. Il se relevas calmement en récupérant un bâton traînant par terre, mais jambe firent de même. Mes oreilles entendirent un sifflement ce qui permit au deux main qui tenait le bâton de bloquer celui qui allait venir me fauché ma tête par la droite, pendant que mon pied gauche fit un coup de pied circulaire vers le visage de mon agresseur qui le bloquait avec son avant bras. On se regardait en chien de faïence. Plus aucun bruit. Même la cascade qu'on pouvait entendre au loin semblait s'être tu.

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