L'Analyse

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ANALYSE DE LA SOIXANTE-HUITIÈME

Bien le bonjour ! Je tiens à tous vous remercier d'avoir lu cette fiction et d'être venu lire cette explication ! Cela me fait tellement plaisir vous ne pouvez pas savoir. (J'écris ça en total improvisation sans avoir posté la fiction donc si ça se trouve je n'aurais pas de lecteur haha bruh. Je m'excuse d'avance si il y a des incohérences, des oublis, ou pire des fautes d'orthographe argh paix à vos yeux.) J'y ai mis beaucoup de moi dedans et cela fait très longtemps que j'ai voulu écrire sur ce type de sujet. Dès que l'occasion s'est présenté j'ai tout de suite rédigé les bases de cette histoire. Savoir que j'ai réussi à la terminer me rend si heureuse si vous saviez ! J'ai donc l'honneur de vous présentez l'analyse de la Soixante-Huitième en total désordre. Bonne lecture et que vos cerveaux carburent.

Je ne sais pas où commencer aaaah, c'est parti je décortique :

Comme j'ai eu beaucoup de remarques à ce sujet quand j'ai fais pré-lire cette fiction, je tiens à expliquer le terme de « moniteurs clignotants ». Cela signifie tout simplement les phares des voitures à l'extérieur.

La phrase « tout ces petit détails d'une journée bien malheureuse » (elle était quand même bien ennuyeuse sa journée hehe), « cache un jour bien attendu », c'est un petit clin d'œil à vous lecteur comme quoi il va se passer quelque chose. En quittant son lieu de travail, il éteint la lumière de son bureau. Ceci est pour moi très symbolique car il va le quitter pour toujours. Il éteint cette partie de sa vie.

Cet homme a préparé chaque détails pour que sa dernière journée soit bien organisé. Ceci est expliqué par une simple phrase au tout début.

En rentrant chez lui, j'utilise le terme sellette quand il s'assoit sur son tabouret. La sellette est une chaise où les accusés s'assoient. C'est également très significatif car justement il a l'impression d'être l'accusé du monde entier.

Le personnage, comme on pourrait le croire, n'est pas malheureux. En apparence sa vie est ennuyeuse certes, mais cela lui convient, il ne se plaint pas. La seule chose qui vient perturber ses humeurs sont les gens qu'il rencontre. Et ce sont ces rencontres qui vont changer sa façon de voir la vie. Car après tout, n'est-ce pas avec la présence des autres que l'ont apprends à vivre et qu'on expérimente ? Personnellement, j'ai beaucoup appris des autres et j'ai par la même occasion mûri.

Le personnage est à la fois transparent, mais pas facile à comprendre. C'est un homme qui fait ce qu 'il doit faire. Il est plongé dans la routine, comme détaillé dans les premières phrases de la fiction. Il ne semble pas avoir de passions ou de rêve pour l'avenir. (Et pourtant chacun devrait avoir la chance d'en avoir. C'est ce qui nous permet d'après moi de pouvoir avancer dans la vie et savoir qui l'on est vraiment, ce qu'on veut, et pourquoi l'on vit. Malheureusement, il arrive pour certain que cela prenne toute une vie pour le savoir.)

Tout ce que fait notre personnage est de suivre comme un mouton ce que la société attend de lui. Cela ne lui déplaît pas pour autant car justement il est « insouciant » et n'a pas d'avis là-dessus. Il n'en est peut être même pas conscient réellement. On peut le qualifier très certainement de dépressif, et lui ne sait pas comment définir ceci alors il se dit juste « différent ». Il ne connaît pas sa signification de vivre pour de vrai. Il croit qu'il est différent des autres car il voit tout le monde sourire, parler de choses de la vie banal, mais lui n'a pas tout ceci. Il croit qu'il est différent mais il est tellement insouciant qu'il ne se rend pas compte que en fait son problème c'est qu'il est monsieur tout le monde. C'est si dur au quotidien de ne pas savoir où est sa place, de se sentir seul, et de ne pas comprendre pourquoi c'est ainsi. Le plus dur c'est de pouvoir être soi-même, mais que faire quand on ne sait pas qui nous sommes ?

La Soixante-huitièmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant