L'absurdité Cyan aux côtés de nos guerres [Druna]

Prologue : L'ami le vent, sert-volant, voletant, un peu de temps.

Le vent soufflait, cette sensation qu'il faisait résonner son souffle au alentour où au choix reproduisait le désert de sa tête. Ne pense à rien se disait elle, du moins si le fait de ne pas réfléchir empêchait justement de se faire à soit même la réflection. Ce dernier tapa du pied la faisant quelque peu réagir, de peur de s'envoler comme le sert-volant qu'elle aurait désiré... Etre ou Avoir, tel est la question ?!

Dans ce paysage plus que perdu, comme ces courant de pensées, celle ci créant les siroccos, et les autres autans. Il apparu un voile sombre ou plutôt un costume noir apportant son lot de noir et blanc dont on avait peu besoin. Un monde sans couleur, bloqué dans le passé à se demander ce qu'ils ont fait ? Oh ! Pardon sauf elle, elle ne pense à rien.

Il apparu comme par magie, puisque c'est une chose si banal et normal dans un monde meurtris, qui va mal. Le sorcier de la maison du serpent se posta devant cette maison tordu aussi tordu que lui. N'avait il pas regagner tout sa tête ?

Ce dernier se laissa porter par ce souffle aux alentours qui l'empêchait de toquer à cette porte dans l'immédiat. Le chapelier toqué l'aurait fait mais certainement pas lui il ne porte jamais de chapeau. En arrivant à la fin de sa course avec le vent, c'est derrière l'habitation de nul part et plus que bizarre qu'il la trouvait ici prés d'un arbre, comme le serf volant qui c'était prit dedans. Il irait bien l'aider, ce n'était pas franchement compliqué. Il suffisait d'aller lui parler :

« Salut Luna. » S'exclama le plus simplement possible, le blondinet. L'autre blond de cette histoire sursauta quelque peu sur place avant de remarquer la présence du garçon plus qu'étrange. Elle se tînt le coeur en rouge bordeaux pendant une fraction de seconde ornait d'une tel frayeur et acheva un ou deux souffles. C'est bon le mistral venait de passer mais le cyclone avait pas arrêter de gronder. « Ah ! Tu vois... ça surprends ! » Acheva t'il de-nouveau sur un même ton, plutôt moqueur se rappelant lui aussi quand elle le fit sursauté à dire son nom. Peut être tout deux était fait pour se retrouver toujours plus en hauteur. Après tout l'un est fier et l'autre a des étymologies en commun avec la lune. Le beau serf-volant ouvrit ces ailes comme, elle, ses grands yeux globuleux bleu sans en dire un mot. L'homme vêtu de noir n'avait plus peur de ce visage ci, mais attendait que quelque chose se passe, que par gentillesse elle... Et vous connaissiez l'air de la chanson, ce disque qui ne tourne plus. Cette voix à Motus.

« ...Alors... » Reprit Drago, le sourcils haussé.

« ... Oh... Pardon, excuse moi, je t'en pris, entre ! Suis-moi. » Acheva t'elle comme fuyante, l'air de faire les bonnes manières, juste pour satisfaire sa conscience. Surement en vacance en Islande vu son attachement au froid et aux pieds nus. Ils repartirent tout deux devant la maison de la sorcière au couleur de bleu et bronze. Celle-ci, lui ouvrit la porte d'entrée et le fit passer en premier. La jolie sorcière avait un pas raclant le sol, étouffant l'air sous ses pieds histoire de ne plus faire passer le vent. Elle leva alors instinctivement la tête et referma une de ses fenêtres.

« Désires-tu quelque chose à boire, j'ai du thé que j'étais entrain de faire réchauffer si tu souhaites ? » Questionna t'elle sans vraiment le regarder, le regard perdu on ne sait où certainement à chercher les couleurs qui manquaient ici. Le serpentard était plus que satisfait qu'elle lui accorde une parole. Oh ! Sauvé. Se disait il, avec un ton sarcastique. Puisque depuis son arrivée, elle était clairement perdu dans la lune. Quel sorte de lapin cette fois ci avait elle trouvait comme excuse ? Se posa t'il en dernier recourt les yeux plissés. Puis après un silence, et l'avoir regardé, il compatit ne serrait-ce qu'un instant et sourit finalement soulagé :

« Oui. Je te remercie Luna. » La jeune sorcière s'empressa d'accomplir cette demande et revient bien vite lui passant la tasse entre les doigts avec aucun fils rouge pour y gêner. Ils s'en soulagèrent et restèrent silencieux un peu trop longtemps :