Babysitting ~5sos~

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Calum: Ne me demander rien je ne peux rien dire.

Moi: Des fois je me demande à quoi tu sert.

Il me montre son majeur et part prendre son sac.
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Je viens d'arriver aux lycée avec les autres, ont est tous en retard et on cours jusqu'à nos salle respectives, arriver à la mienne avec Carla on toque et le prof, nous refuse en cours.

Carla: Non mais on vas louper deux heures et on doit aller en permanence avec des exercices.

Moi: Ça ne me plaît pas non plus t'inquiète pas.

Carla: On demanderas à Laéla de nous passer ses notes.

On descends en permanence.

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Les deux heures son passé, j'ai fait mes exercices (enfin, j'ai copié sur Carla). Je sort de la salle de permanence accompagner de celle-ci.
Je vois Laéla descendre les escaliers avec un garçon. Elle a un sourire, elle rie, enfaite, elle est heureuse.
Je m'avance vers eux, mais elle ne m'adresse même pas un regard.
Vous savez quoi je suis jaloux, mais vous savez ce que c'est la jalousie? C'est juste la peur que l'autre trouve quelqu'un qui le rendent plus heureux que vous, la peur de la perte.
Je m'égare dans mes pensé, Calum vient vers moi et me fais signe de le suivre.
Je le suit donc, il m'amène devant le lycée, on s'assoit sur un banc et j'ai une vue imprenable sur Laéla et ce garçon.

Calum: Il s'appelle Pierre, il est en cours avec vous.

Moi: Donc elle a profité que je ne sois pas accepter en cours pour parler à des mec.

Calum: Non tu es à côté de la plaque. C'est...

Moi: C'est quoi? Je me poste devant lui énerver. Calum répond moi! Je suis entrain de perdre celle que j'aime! Enfin je croit. Tu arrive à le comprendre? Ce n'est pas parce que ton couple avec Ambre a foirer que tu dois détruire le miens. Des toute petite larmes de colère coule sur mes joues. Pardon.

Calum: Vas lui parler.

Moi: Elle fait comme si je n'existais pas.

Calum: C'est à toi de faire ça.

Sur ses mot il part, mon regard se dirige vers Laéla.
Je marche vers eux, arriver à niveaux de Laéla, je la prend dans mes bras puis prend son menton entre mon pouce et index et je lève sa tête. Elle plonge ses yeux dans les miens, et je peux y voir comme dans un miroir, c'est étrange car de loin ses yeux ne disent rien, il sont vide mais quand elle plonge ses yeux noisettes dans les miens, je peux tout voire.
Je la regarde, dans ses yeux je lis de la colère, de la triste, et de l'amour. Sans plus attendre je colle mes lèvres aux siennes, elle répond à mon baisser.

Pierre: Je voudrais pas vous déranger, mais il y a le directeur. On se décolle pour regarder le directeur à l'entrée.

Laéla: Merci. Il lui acquiesce un sourire.

Moi: Tu es?

Pierre: Oh, oui désolé, Pierre, Pierre Edwards.

Moi: J'ai déjà vue ton nom.

Laéla: Sûrement sur mon téléphone. Elle me regarde de travers.

Moi: Oui je m'en rappel. Mon visage se crispe.

Laéla: Avant tout mal entendue, c'était le meilleur ami à mon frère. Elle baisse les yeux plein de tristesse.

Moi: Je suis désolé.

Pierre: Non ne t'inquiète pas.

Moi: Attend ce ne serais pas ton pote qui te passe des t-shirt?

Pierre: Je le croit bien. Ils ricanent tout les deux. Avant, quand on était petit une dame nous gardais tout les trois, avec deux autres garçons, Laéla était la seule fille. Elle plonge sa tête dans ses bras. Donc on est devenue tout les trois ami dès le premier jour, et puis on a grandit ensemble Laéla c'est détaché de nous, et son frère ne voulais plus la voire car elle fessait beaucoup de connerie. Mais ont passait beaucoup de temps ensemble car ont se voyait beaucoup, du coup elle prenait mes t-shirt.

Je le vois pas très bien, cela est toujours douloureux de parler de quelqu'un qui n'est plus là. Je regarde celle que mon cœur a choisit, elle a la tête enfoui dans ses bras.

Moi: Mon cœur? Je n'entend rien pas un signe de vie, juste un reniflement. Je sais que c'est dure d'en parler mais il le faut, j'ai besoin de comprendre.

Elle lève la tête et regarde dans le vide. Ses yeux son remplie de larmes.

Laéla: Je sais ne t'inquiète pas, c'est juste que c'est plus compliqué.

Pierre: Je vais vous laisser. Il mime à Laéla de l'appeler.

Moi: Raconte moi. Je m'assoit à côté d'elle.

Laéla: J'ai des t-shirt de Pierre, de toi, Calum, Michael et mon frère. Enfin je les avais. Je ne pouvais pas les mettre. Pendant un moment j'avais son parfum et ses affaires et j'aimais ça, ça me rassurais, mais j'ai voulu l'oublier. Je pensais les récupérer.

Moi: On ne peux pas oublier quelqu'un qu'on a aimer. Aux contraire il faut lui rendre hommage. Faire son deuil se n'est pas oublier la personne, mais s'habituer à ne plus le revoir, et lui rendre hommage.

Laéla: Je t'... je t'aime bien. J'avais une espérance qu'un « je t'aime » sorte de sa bouche mais non. J'ai l'impression de l'avoir déçus avec mes conneries, ses à se moment là qu'il ne me parlerais plus beaucoup.

Je la prend dans mes bras, et la cloche sonne.

Moi: Tu ne l'a jamais déçus j'en suis certain. On vas en cours ?

Elle hoche la tête, et me souris on prend nos sac et nous dirigeons dans le salle de théâtre.
On fait une comédie musicale, ce qui ne plait pas à tout le monde surtout à moi qui doit voire, Laéla MA petite amie se faire draguer par un autres gars et presque l'embrasser.

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Le cours d'anglais s'est fini, (en effet cette comédie musical est en anglais) c'est juste la pire langue possible pour certains, et pour l'autre parties c'est la meilleur matière.

Ashton: Ça vous dit on sèche les cours cette après-midi?

Carla: Certains n'on pas cours cette après-midi. Elle lui fis un clin d'œil.

Ashton: Comme qui?

Laéla: Comme moi, Luke et Carla.

Ashton: Vous êtes des chanceux dans votre classe.

Tout le monde acquiesce en rigolant, ils ont raison on a pas mal de chance depuis le début de l'année.

Moi: Allez on vas mangez sinon il n'y auras plus de place.

Sur mes mot nous nous levons et dirigeons vers la cafeteria. Aux milieux du chemin, Laéla me tire le bras et m'emmène je ne sais où.

Moi: Et les autres?

Laéla: Il ne nous remarquerons pas.

Moi: Où est-ce que tu m'emmène ?

Laéla: Tu verras.