Chapitre 1

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Bonjour à tous ! Je m'appelle Xen Natforia, j'ai 17 ans et je suis en Terminal. Ma vie est tout à fait banale, j'étudie dans un lycée en ville au Japon. J'ai quelques passions comme la musique et le combat. Je dois avouer que j'adore le combat à main nue, avec des lames et encore plus le tire à l'arc. J'ai appris à combattre à partir de mon plus jeune âge grâce à mon père. Mais comme je devenais très puissante dans ce domaine, je lui ai fait la promesse de ne plus utiliser ce "don". Et c'est ainsi que mon arc, mes flèches, mes couteaux, ma dague, bref toutes mes armes, on finit au placard. Ce fut une de mes plus grandes souffrances. Même si je les prenais souvent avec moi sans que mon père ne le sache...

Un jour que je marchais dans la rue en rentrant du lycée avec mon sac, je fus aspirée par une flaque d'eau dans laquelle je venais de marcher. Je me débâtis pour pouvoir remonter à la surface. Après avoir enfin pu respirer, je vis que j'étais en plein milieu d'une forêt. Attends une minute, UNE FORET, mais ce n'est pas possible, j'étais dans de l'eau et maintenant, je suis en pleine forêt... Je suis en plein rêve, c'est cela hein, je vais me réveiller n'est-ce pas ?

Au bout de dix minutes, je finis par comprendre que non ce n'était pas un rêve, mais bien la réalité. Au bout de dix minutes, je finis par comprendre que non ce n'était pas un rêve, mais bien la réalité. Ce chemin à l'air d'être souvent emprunté, j'espère donc pouvoir croiser rapidement des personnes pour qu'elles puissent me dire où je me trouve. Au bout d'environ une heure de marche, je finis par apercevoir un groupe de cavaliers à l'entrée de ce qui m'a paru être une ville, mais du genre assez ancien, elle me fit un effet de déjà vu, pour une raison que j'ignore. En m'approchant un des cavaliers m'interpella en me disant :

"- Eh gamin qu'est-ce que tu fait tout seul près de la forêt, tu sais ce n'est pas sûr la nuit."

Pardon !!! Il a bien dit gamin là ! Je sais que je ne suis pas super féminine et que je n'ai pas beaucoup de formes, mais quand même. Je me décide à lui répondre, tout en gardant le fait que je sois une fille pour moi. Je pense au fond de moi que cela m'aidera ultérieurement :

"- Ah... euh, bonjour désolée de vous déranger mais je voudrais savoir où je suis, qui vous êtes, et ou pourrais-je trouver un endroit ou dormir et un autre ou travailler ?"
Eh oui, car je ne m'attends pas pour vivre comme à la maison et à aller au lycée. De plus, je dois l'avouer, je suis très fière et je ne souhaite être redevable de personne dans ce monde que je ne connais pas.

Il parut surpris par ce que je venais de lui dire comme si pour lui ce n'était pas normal d'entendre ce que je venais de lui dire, mais me répondis quand même :

"- Je comprends que tu veuilles trouver du boulot gamin, mais déjà qu'est-ce que tu sais faire et ensuite comment t'appelles-tu ? Cela pourra nous permettre à moi et à mes amis de t'aider."

Après avoir réfléchi pendant ce qui m'a paru une éternité, je finis par lui répondre :

"- Je sais faire tout et n'importe quoi tant que ce que l'on me propose me va, je ne suis pas difficile. Quant à mon nom, je suis désolée, mais je ne vous connais pas et je préfère me taire sur ce sujet." Je sais, sur ce coup, j'ai peut-être été un peu insolente envers ce cavalier, mais je préfère cela que de lui révéler toute ma vie. À peine ma phrase fut terminée qu'un des autres cavaliers sauta de son cheval, sortit son épée et me menaça avec en me disant :

"- Comment oses -tu parler sur ce ton à un haut dirigeant du royaume hein ?" Il me dit cela sur un ton qui me fit sursauter. Je n'eus même pas le temps de répliquer qu'il me redit en approchant son épée : "Alors gamin, on a perdu sa langue, allez réponds ce n'est pas dans nos habitudes de faire du mal au gosse comme toi, mais moi, je n'hésiterais pas".

Comme je ne parlais pas, car j'étais trop absorbé par son épée que je trouvais assez belle, vas chercher l'erreur hein je suis menacée par des cavaliers avec des épées et tout ce que je trouve à faire c'est d'observer une épée. Bon, je dois l'avouer que cela m'aide aussi à garder mon calme, car je déteste que l'on me menace. Il décida de m'attaquer et là tout ce que j'avais appris en étant petite me revins en mémoire et ni une ni deux, j'esquivai son attaque et lui fit lâcher son épée pour ensuite la prendre. Qu'elle ne fut pas ma surprise de voir à quel point, elle était lourde par rapport à celle que j'avais l'habitude de tenir, mais cela disparut dans un coin de mon esprit, car pour le moment, je dois m'occuper de ces gars qui veulent me transformer en hachis tout ça parce que j'ai refusé de donner mon nom. La poisse !

Ses amis/camarades enfin, je sais pas comment les nommer, je dois l'avouer, n'ont décidément pas apprécié ce que je venais de faire à leur pote et ils se mirent à 4 pour me mettre à terre. Mais malheureusement pour eux, je suis plus agile qu'eux et plus rapide, car d'un, je suis plus jeune et petite et de deux, je suis une fille. Je finis donc par les rendre exténués à force d'esquiver leurs attaques. Comme ils sont trop fatigués pour continuer à combattre autant que je parte le plus rapidement possible ainsi, je n'aurais plus d'ennuis comme celui-ci. Mais au moment où je partais, deux hommes se sont mis devant moi et un autre m'a attrapé par-derrière. Quoi, mais ce n'est pas possible, j'aurais dû les entendre arriver non ? C'est là que je remarquai ma blessure au bras, ce qui était bizarre, c'est que je ne m'en étais même pas rendu compte. Au moment où je m'attendais au pire une voix masculine dit :

"- Commandant ! Lâchez-le, et amenez-le-moi tout de suite."
Le soit dis-en commandant répondis :

'- A vos ordres Votre Majesté !"
Ce fut à ce moment-là que mon esprit décida de me lâcher et je tombais dans les pommes. Youpi bravo Xen superbe idée, fichu cerveau. Le commandant dit aussitôt : "Votre Majesté, il s'est évanoui, je pense que c'est à cause de la blessure qu'il a au bras". Ce dernier répondit alors :

"- Très bien conduisez - le au château et appelez le médecin. Ce gamin est intéressant, il a quand même réussi à vaincre les plus forts de mes soldats."

"- Vous avez dit quelque chose votre Majesté ?" Demanda alors le commandant.

"- Non rien faites ce que je vous ai dit."

"- A vos ordres".


Voilà la fin de mon 1er chapitre. Vous aurez la suite au prochain chapitre. Laissez un com pour me dire ce que vous en pensez.


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