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   Ça y est elle connaît mon pseudonyme Belzébuth, le prince des enfers, pourtant j' aimerai tellement que cela soit mon vrai prénom. C' est vrai après tout, je ne suis humaine que d' apparence, certain disent que nous sommes autistes, ou alors que nous avons subi un choc psychologique grave, mais pour moi c' est tout autre. Pour moi, je suis une amie du diable, son sou-fifre, ou aussi son jouet qui sait mais je sais que l' on est lié tout les deux.

   Les seules joies dans ma vie, c' est de sentir la peur, la détresse de mes victimes, de les entendre me dire des raisons pour les laisser en vie, de sentir leurs vie et leurs âmes entre mes mains pendant un mois, avant de les tuer lentement. Cela dure toujours un mois, pas un jour avant ou après, c' est une boucle qui me permet de vivre et de ne pas s' ombrer plus dans la folie. J' enterre toujours mes victimes et ce que j' ai utilisé pour les tuer dans le jardin de leurs ennemis sans qu' ils le sachent, comme ça, eux sont emprisonnés et moi, je continue de répandre le mal.

Bizarrement, je hais la personne qui m' a enseigner le Mal ; oui, je hais mon père. Cet enflure qui a changé ma vie du tout au tout.

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   Je dois laisser mon jouet pour aujourd'hui, mon boulot de serveuse m' attend même si je le déteste, je ne peux arrêter. J' ai besoin d'argent pour prendre mes jouets et les accessoires qui vont avec. Généralement, je me lasse toujours d' eux après un mois, mais je ne peux les recycler sinon ils me retrouveront, alors, je les jettent. Donc, ce jouet est aussi voué à la même fin que tout les autres, une mort dont personne ne connaîtra la véritable raison, ni la véritable coupable.

Pourtant il y a une chose que j' ai du mal à expliquer, ils nous demandent toujours d' arrêter ce supplice, mais quand le mois est passé et que leur heure est arrivé ils me supplient de ne pas les tuer. C'est vraiment à n' y rien comprendre, j' accepte enfin leur souhait et quand je vais l' exaucé ils n' en veulent plus. Je sais que c'est normal, c' est l' œuvre de la psychologie que j' exerces et celle de leur cerveaux qui veulent tout contrôler mais quand même ça me perturbe. Malheureusement pour eux, c' est trop tard, quand un mois s' écoule  c' est l' heure d' un autre jouet ; cette règle là jamais je ne l' a transgresserai. Alors viendra l' heure où je dirais au revoir a se beau jouet quel dommage franchement mais je n'ai pas le choix, si je veux survivre il me faut sa mort ainsi que celle des autres. Je ne vais pas faire semblant, cela m' amuse tellement que je pense ne jamais pouvoir arrêter.

   Cela fais déjà trois semaines que ma chose s' amuse comme une dingue et ce qui es fou, c' est que malgré le faites que j' ai déjà un jouet, je pense déjà au suivant et à ce que je vais lui faire subir. J' ai tellement hâtes, de m' amuser avec lui.

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   Lorsque mon service se termina, je ne pouvais plus attendre de voir mon joujou, je couru jusqu' à ma maison déposa ou plutôt jeta mes affaires par terre et me rua au deuxième étage en dessous du palier. Ce deuxième garage est totalement insonorisé et il y a deux pièces, une   à gauche, là où j' entrepose tout mes accessoires et objets approprié à la situation et une à droite, là où il y a en ce moment ma si chère amie au yeux vert, à la chevelure noire et à la peau caramel qui était si lisse et si parfaite. Malheureusement, je ne crains de l' avoir abîmer, elle  n' arrête pas de pleurer et de me conjurer d' arrêter ce supplice. Mais de quel supplice parle t' elle, de celui que je lui est fais hier, ceux de la semaine dernière, ou encore au début de son arrivé ? C' est dur à suivre vu tout les jeux auquel on joue.

Je rigole encore de celui d' hier. Lorsque je suis entrée dans la pièce, je lui est montrer deux vidéos, une où mon jouet Sabrina (mon jouet d' il y a cinq mois ) se faisait couper la main lentement etavec maladresse de ma part, vraiment j' aurai pu faire plus attention, je lui ai tranché un peu trop court à mon goût et puis un couteau de boucher ne coupe pas aussi bien les os qu' on le prétend, c' est une arnaque ; et Christian ( celui d' il y a deux mois ) à qui je lui ai fais un nouveau tatouage la veille du jour fatidique, il recouvre chaque partie de son corps ; bien sûr n'ayant pas de machine pour faire de tatouages j' ai dû me débrouiller. J' ai utilisé un couteau et crois moi le rendu étais encore plus beau, des spirales de sang se baladant sur chacun de ses membres ; ne voulant pas non plus qu' il meurt tout de suite, j' ai du tout recoudre avec un fil qui traînait par terre mais le jeu en valait la chandelle car c' était tout simplement magnifique, je n' avais jamais rien vu de plus beau.

  A la fin de ces vidéos qui me remplissent encore de joies, j' ai du lui demander lequel de ces jeux préféraient t' elle ; étant d'humeur magnanime je lui laissa ce dernier choix mais visiblement elle faisait sa difficile et ne faisait que brailler de la libérer et de ne pas lui faire de mal. Ça m' a vraiment attristé, elle ne veut pas jouer avec moi à ce jeu et bah tant pis pour elle, je vais la faire souffrir !!! Je pris un enleveur d' ongles ; en un coup cela retire cent pour cent de l' ongle, et, je commença tout doucement à retirer son ongle de sa main droite. Puis voyant son ongle totalement retiré, je continua avec ses quatre autres ongles de sa main. Les ayant tous retirés, Coralie hurlait de douleur et de désespoir alors cela raviva ma flamme. je pris un ustensile très tranchant, peu être trop. Je le plaça sur son annulaire droit, et,pouf il tomba, qu' es ce que c' était drôle. Coralie se débattait t' elle une furie elle hurla, tapa, pleura, se secoua, Qu' es ce quej' aimais ça. Je la regarder faire, pendant que je riais, elle, pleurait, c' était vraiment un spectacle délicieux, seulement il lui restait encore une semaine, alors j' ai du recoudre son doigt arraché, faire comme une poche avec son tissus de peau, j' avais vu ça dans un documentaire à la télévision et je voulais vraiment essayer de recoudre un doigt coupé en deux. Heureusement pour elle, je le réussis à merveille, bizarrement elle ne me remercia pas qu'elle impolie celle là franchement, mais bon j' en avais fini pour aujourd'hui alors je lui donna à boire et à manger et je refermala porte à clé derrière moi, avec ses sanglots qui continuaient de me faire rire.

La perteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant