Je me fis réveiller par les premiers rayons du soleil. Je déteste vraiment le soleil. Je me levais sans mal et me dirigea vers mon armoire quand je remarquai à ma grande surprise que je pouvais bouger normalement et que les fourmis n'étaient pas revenues. Je me disais que si mon corps arrivait à bouger il pouvait également parler. Et ... Bien non.
Certes je ne pouvais toujours pas parler mais j'étais contente de pouvoir bouger sans difficulté. Même si cela avait été rapide. J'avoue que je ne sais pas combien de temps j'ai dormi mais hier je n'étais vraiment pas dans mon assiette.
D'ailleurs, hier, j'ai été rattrapé par un homme mais je n'arrive pas à savoir qu'y il est. Peut-être que je ne le connaissais pas et que je n'ai pas perdue la mémoire. Pourtant quelque chose me manque. Mais quoi ? ...
Après un temps de réflexion. Qui n'a mené à rien. Je pris la décision de sortir de la chambre dont je suppose être la mienne. Si c'est vraiment la mienne, cela veut dire que j'ai vraiment tout oublié ... Ma famille... Mes amis ... A peine avais-je pris la poignée de la porte que des larmes coulèrent sur mes joues. Je tombai sur mes genoux le visage couvert pas mes mains qui étaient baignées de mes larmes.
J'était complètement désemparée et perdue face à cette réalité. J'essayais de positiver mais la situation m'échappa totalement. Au moment où je voulais me lever pour aller me calmer dehors, ou même aux toilettes, la porte s'ouvrit. Je regardai la personne qui était apparu devant moi. Je levais les yeux. C'était une femme d'une quarantaine d'année, ses yeux tirés par la fatigue. Rien qu'a la regarder on pouvait voir qu'elle avait beaucoup pleuré. Quand elle me regarda son expression devenait encore plus sombre.
Elle se rapprocha de moi. Je n'avais pas peur, au contraire je voulais me blottir dans ses bras, qu'elle me console. Je ne sais par qu'elle miracle elle compris car l'instant d'après elle m'avait prise dans ses bras et en me caressant les cheveux elle me dit des paroles rassurantes.
La femme : Ne t'inquiète pas, ça va aller, je suis là... Fait sortir tes larmes, je te garderais dans mes bras. J'ai eu si peur pour toi si tu savais.
La femme continua ses paroles rassurantes. Son étreinte devenait plus intense et je sentis des larmes tomber sur mon épaule. Elle pleurait. Pourquoi ? Pourquoi je ne me souviens pas d'elle ? Est-ce à cause de moi qu'elle pleure ? Tant de questions toujours sans réponses... Quand tout cela va cesser ...
Je finis par me calmer au bout d'une bonne heure. Je réalisais que j'étais toujours dans ses bras, je m'y enlever. Je n'aurais pas dû. Quand je me suis écartée une lueur de tristesse passa dans ses yeux si rapidement que je cru rêver, mais, même son visage s'était décomposé.
Moi : Je suis désolée ... Je ...
Je devais me lancer et poser mes questions, mais, comment dire à sa mère qu'on l'... « Sa mère » ?! Ma mère !
Moi : Ma... Maman ...
Quelques larmes coulèrent sur mes joues. Je me disais que j'étais une vraie pleurnicheuse mais je crois tenir ça de cette femme, ma mère. Au moment où je l'avais appelé « maman » elle mit ses mains sur sa bouche et des larmes y tombèrent. Elle hocha la tête. Aucun ne sortait de sa bouche, sa tête parlait pour elle. Je lui sautai dans les bras si contente de me souvenir d'elle et d'avoir réussi à sortir des sons de mon corps. Elle eu un hockey de surprise. Elle me sera fort contre elle.
On finit par ce lever. On venait de remarquer qu'on était restée assise depuis tout ce temps et on commençait à avoir mal aux fesses ce qui nous fit sourire. Ma mère débuta la marche vers l'étage en dessous pour me laisser le temps de prendre mes marques. J'entendis des personnes parler en bas. Je supposais que ma mère avait dû leur dire que j'était réveillé et que j'allais bien. Enfin aussi bien qu'on pouvait l'être au vus de la situation. Les voix montèrent d'un volume. Je m'y une nouvelle hypothèse sur le fait qu'ils voulaient me voir mais que ma mère leur avait dis non. Et moi qui ne me souvient pas d'eux...
J'inspirais tout l'oxygène possible puis descendais les escaliers en expirant doucement comme pour me donner du courage. Arriver en bas, je tombais dans un salon simple mais équiper. Plusieurs de personnes ce tournèrent vers moi. Je regardais partout, à la recherche de ma mère, quand je la vis elle me souriait doucement. Elle semblait heureuse. Mon regard dévia sur l'homme d'hier, si c'était bien hier, qui se tenait à côté d'une femme. Elle me rappellai quelqu'un. Ma tête me lança un peu et quand je la regardai de nouveau je me rappelai. C'est la femme médecin que j'ai vu quand je me suis réveillé la première fois. Pourquoi sont-ils là ? Et qui sont toutes ces personnes ?
Pendant que je me posais de nouveaux plusieurs questions, l'un deux s'avança. Il devait bien faire 1m85, je dirais qu'il doit avoir aux alentours de 25ans, il avait les cheveux noirs avec des reflet violets et des yeux gris magnifique. Je remarquai un tatouage sur son bras mais je ne pouvais pas bien le distinguer à cause de son t-shirt. Il avait le visage doux mais quelque chose me dit qu'il allait répondre à mes questions.
L'homme : Bonjour, je crois qu'on a des choses à se dire petite demoiselle. Tout d'abord, si tu veux bien, allons-nous assoir car je remarque que tu as beaucoup de questions, n'est-ce pas ?
Oh si tu savais ...
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Le journal d'une morte
Übernatürliches[...] Je fus rejoint par mon père puis ma mère et enfin arrivèrent pile à l'heure mes deux frères. On se leva donc du canapé et partîmes en direction de la voiture avec ma mère devant et les monstres derrière. J'étais absorbée par le paysage quand j...