Des vagues s'abattent sur son visage
Des vagues qui domptent les brise-lames
Des va-et-vient, et des joues en naufrage
Et près de la digue, j'aperçois une femmeLa mer, sauvage aquatique, se lève
Le vent imprévisible la soulève
Puis la relâche, mains remplies d'effroi
Et la femme se trouve juste devant moiMes yeux curieux rivés sur ses cheveux
J'aperçois de la lumière aveuglante
Et quand j'approche l'inconnue brillante
J'aperçois le soleil, son sourire radieux- M.C.