Epik

Chapitre 2: La fuite d'un pays pour éviter la mort

Après la révélation de ma mère je savais qu'il fallait que je m'enfuisse, je ne voulais pas que mes parents subissent je ne sais qu'elle souffrance par ma faute. Il est certain que cette tâche plus que particulière n'est pas arrivée dans mon dos par le simple hasard. Je suis persuadé que quelqu'un me la incrusté lorsque j'étais encore à la maternité, je resterais persuadé de ça jusqu'à ce que je résolve ce qui s'est passé.

J'aurais donc pour ainsi dire une mission, mais laquelle? Est-ce-que on me surveille? Cette personne devait peut-être me connaître, ou peut-être pas. Et cette même personne est peut-être un Epik lui-même.

Je prépare mes valises, je prends tout ce qui peut me servir, je prends le peu d'économie que j'avais, elles auraient dû servir normalement pour mes études, et pour me payer un permis si j'avais eu assez... Mais en ces temps qui court l'argent se fait rare pour tous et lorsque l'on travaille il est très difficile d'être payé. Je rangeai bien soigneusement ma chambre enfin la pièce car personne ne devait se douter de rien si il y avait expertise, comme pour laisser paraître que personne n'y avait vécu, ensuite je pris la délicatesse d'enlever tous les objets de valeur, et les objets féminins. Je fis tout ça car il était possible que les robots du dictateur et d'autres encore puissent découvrir que les examens avaient été fossé.

Je pris une dernière minute en détaillant bien la pièce de fond en comble, pour voir si je n'avais oublié aucuns élément, il me sembla que j'avais fort bien travaillait alors je fermai la porter et descendit mon sac sur mon dos.

Ma mère et mon père m'attendaient attabler, et lorsque j'arrivai à leur ligne de vision, ils me dévisagèrent de haut en bas.

-Où vas-tu comme ça?

-Je m'en vais je ne tiens pas à vous faire vivre l'impossible, j'essaierais de communiqué avec vous par je ne sais quel intermédiaire, mais je vous promets vous aurez de mes nouvelles quoiqu'il arrive, quoiqu'il advient du monde.

-Mais tu vas dormir où et puis tu vas manger...

-Maman je suis une grande fille maintenant et il faut que je me prenne en charge, j'ai pris le peu d'économie que j'avais placé... J'ai pris le temps de ranger soigneusement ma chambre, on pourrait croire que personne n'y a vécu.

-Mais...

-En revoir je pars à la conquête de ma destiné..

Je ne savais où je m'engageais mais la pente ne pouvait qu'être rocheuse...