Plaisir

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(Bien donc je vais décrire cette scène. Si vous voulez la passer et bien descendez jusqu'à ce que vous voyez "🐙🐙🐙" parce que les poulpes c marrant)

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Elle passe ses mains dans mon dos alors que je l'embrasse encore, je relève son t-shirt doucement et elle fait de même avec le miens.
Je reprend mes baiser sur son corps, je l'embrasse partout où je peux. Chaque partie de son buste y passe. Sauf la poitrine qui est encore couverte par son soutiens gorge.  Elle soupire quand je remonte dans son cou, là, je commence à titillé sa peau.
Je lèche, et puis, je mord. Sa peau commence à marquer. Et voilà qu'apparaisse deux, trois, quatre suçon. Elle soupire d'aise. De plus en plus.
Mais elle inverse nos position.
La voilà assise sur moi, à califourchon. Elle me sourie, malicieusement et commence elle aussi à marquer son territoire. Elle m'embrasse le torse et descend encore plus. Elle est arriver à mon bas ventre et je sens mon érections devenir douloureuse.
Elle retire mon pantalon, et prend un malin plaisir à passer sa main sur ma bosse.

"A.. Arrête ça c'est ho.. Horrible."

Elle se rassois sur mon bassin. Bon.. Vous n'êtes pas totalement débile. Bien qu'elle est encore sa culotte et moi mon caleçon, il n'y a donc plus qu'une fine couche qui sépare nos deux intimité.
C'est une torture horrible je vous jure.

"Aah mais.. R..Rose arrête"

Elle m'embrasse au coin des lèvres. Elle me rend fou. Fou de désir, fou d'elle. Elle est magnifique. Elle continue, elle embrasse mes joues creuses, viens mordiller mon lobe d'oreille et chuchote des je t'aime qui me font frissonner.
Elle descend dans mon cou, remonte vers ma mâchoire, et retourne embrasser le coin de mes lèvres.
C'est toride mais c'est horrible aussi.
Alors, je me retourne vite, pour reprendre le dessus sur elle. Je la plaque contre le matelas, ma main gauche maintien ses poignet contre le matelas, pendant que mon autre main viens jouer avec l'élastique de sa culotte. Je caresse son entre cuisse, ses cuisses, je dépose des baiser dans son cou, puis sur sa poitrine. Je lis dans ses yeux qu'elle aimerait retirer ses vêtements. Mais elle est prisonnière de mes mains. Je lui souris..

"Flo.. J'en peut plus là.. S'il te plaît.."

Elle me supplie de retirer ce qui lui reste de vêtement alors que je fait un suçon au dessus de son seins gauche.
Je ne me fait pas prier. Je passe une main dans son dos et dégraffe son soutiens gorge noir. Elle est encore plus jolie comme cela.
Et je deviens vraiment étroit dans mon caleçon.
Ma main s'attarde un moment sur son bas ventre pendant que ma bouche titillé encore sa poitrine.
Et puis, je me décide enfin à passer un doigt sous sa culotte. Elle frémis quand je commence à caresser son intimité.
Elle gémis doucement.
Elle me supplie pour que les choses aillent plus vite. Elle veut que je rentre en elle. Mais moi je la fait languir. Parce que c'est marrant. Elle est toute rouge, parce que l'atmosphère de la pièce c'est beaucoup réchauffer et parce que le désir et le plaisir l'ont fait rougir.
Bordel elle est magnifique..
Sur ces belles pensées je me décide enfin à entrer mon doigt dans son intimité. La réaction ne se fait pas attendre, elle essaye de masquer un crie de plaisir mais sans succès.
Je retire sa culotte, et puis mon caleçon par la même occasion. Parce que il est en trop dans ce genre de moment.
Elle me sourie et je retire mon doigt. Elle touche mon membre durcit et c'est à mon tour de soupirer. Bordel. Nous commençons à peine et je peux déjà dire que c'est meilleur qu'avec n'importe qui.
Je présente mon sexe à l'entrée de son vagin et m'introduit lentement en elle. Elle ne cache plus son plaisir et ses gémissement. Elle crie mon prénom, me supplie d'accélérer la cadence mais moi je la coupe dans ses paroles et, je l'embrasse sauvagement. Elle répond à ce baiser en mordant ma lèvre inférieure, nos langues se mélangent. En même temps, je la sens bouger son bassin pour que j'aille plus vite. Ce que je m'empresse de faire.
Après plusieurs minutes, je viens en elle.
Bien évidement elle prend la pilule et nous n'avons pas de maladie infectieuse donc il n'y a pas de risque.
Je me retire et embrasse son cou une dernière fois.
Je m'allonge à coter d'elle et je passe un bras autour de sa taille.

🐙🐙🐙🐙🐙🐙

Elle se lève et part prendre une douche. Je l'aime tellement. C'était génial et je me remet document de mes émotions lorsque un message provenant de mon téléphone me tire de mes pensées

Laura : "Tu n'es qu'un connard. Je vais vous pourrir la vie à toi et ta "princesse".

Je lui répond.

"Nous n'attendons que ça ! Sois heureuse Laura ! Nous en tout cas on se porte bien, bisous 😘"

Et j'éteins mon téléphone.

Bigflo et ses sentiments Où les histoires vivent. Découvrez maintenant