Chapter VI: "Sean Taylor... en cavale".

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Moi: Finalement, on est quoi ?
Nate tourne la tête vers moi et réfléchis un instant.

Nate: C'est à dire ?

Moi: On est est quoi, nous deux ?
Il prend une fois de plus un lapse de temps avant de nous répondre.

Nate: Je n'aime pas donner des noms à des relation, à quoi ça sert de se ranger dans une catégorie ? On est bien, voila.

Moi: Donc ?
J'ajoute impatiente.

Nate: Nous sommes deux jeune adultes qui aiment passé du temps ensemble et qui passent des nuits merveilleuse. Tu es contente ?
Me répond-il en glissant ses doigts sur mon épaule pour écarter mes cheveux et embrasser délicatement celui ci.

Moi: Oui.
Souris-je satisfaite de sa réponse.
Je baisse mon regard sur le corps de l'Apollon qui m'a fait jouir il y a à peine 1 heure.
Seul un caleçon le couvre, ma lèvre inférieure se trouve attirer entre mes dents que je mordille inconsciemment.

Nate: Tu as l'air d'être tous sauf sage, surtout dans cette tenue...
En une fraction de seconde je laisse glisser ma petite serviette blanche à terre et le regarde pendant que monsieur, lui, longe mon corps de son regard brûlant.

Et encore moins comme ça.
Grogne t-il.
Je passe devant lui en frôlant son épaule en m'attachant les cheveux en un chignon négligé et entre dans ma grande douche.
L'eau se mets à couler sur mon corps en chaleur qui le rafraîchit enfin.
Une présence se fait rapidement sentir prés de moi et des mains se baladent sur moi, inutile de me demander qui se trouve à mes côtés.

Nate: Tu es sans aucun doute la fille la plus sexy que j'ai eu la chance de connaître...
Me murmure Nate en mordillant mon oreille.

Moi: Je sais.
Ricannais je.

Moi: Putain de Bordel de crotte.
Nate glousse contre moi en me demandant pourquoi je me suis mise à jurer ainsi sans aucune raison.

Mes parents rentres demain.
Finissais je par dire.

Lui: C'est vrai, et alors ?

Moi: Il faut que je retourne en cours demain...

Lui: Tu vas vraiment y aller ? Un Lundi ??

Moi: Oui Nate, je vais aller en cours un Lundi comme toute personne normale.
Argumentais-je.

Lui: Je viens avec toi si ça peut te consoler.

Moi: Merci.
Souriais je.

Tu en ai où ?

Lui: Si tu me parle de ce à quoi je pense, j'ai juste passer la première page. Je pense que je vais prendre mon temps, je ne veux pas te brusquer avec ça.
Me dit-il en allumant la télévision, la maison est beaucoup trop silencieuse ça en devient effrayant.

Un jour qui restera graver dans l'histoire carcéral Américaines, Dimanche 21 octobre l'annonce officielle de la fuite du détenu Sean Taylor accapare la presse.
Cela fais quelques jours voir même quelques semaines que le célèbre détendus connus des forces de polices est en cavale dans la nature. La sécurité du plus grand centre pénitentiaire des États Unis d'Amérique, la Louisiana State Penitentiary est à ce jours remis en cause.

Dites moi que je rêve.
Mais... mes parents ? Mon avocat ? Ma famille ?
Ils vont tous être mis au courant, je ne mérite vraiment pas le bonheur ? Je ne supporterais pas de rester enfermer, et Nate ? Quesque je vais pouvoir lui dire ? Ça fait seulement 3 mois que j'ai repris le cours de ma vie.
Quelque semaine que j'ai à nouveau croisé son chemin.
Je subis en silence, cela ne suffit pas ?
N'aie-je pas le droit d'avoir une vie normale ?

Nate: Tiens j'ai entendu parler de l'histoire de se gars.
Je tourne la tête vers lui en fesant les gros yeux.

Moi: Comment ça ?
Demandais je paniquer.

Nate: Tu as forcément du en entendre parler, il est tomber fou amoureux d'une fille beaucoup plus jeune et l'a torturer pendant un an pour qu'elle lui appartienne ou un truc dans ce genre...
Me raconte t-il comme ci je découvrais l'histoire de ce fou pour la première fois.
Si il savait à côté de qui il est assis en ce moment même, il ne garderais sûrement pas son si joli sourrire longtemps et partirait loin de moi pour éviter les problèmes.

Moi: Qui est cette fille ?

Nate: Aucune idée, elle a gardé l'anonymat mais mon petit doigt me dit qu'elle ne doit pas être rassuré après cet annonce.
Si tu savais comme elle a peur du tournant que va prendre ça vie aujourd'hui même, comme elle est éffrayer de l'avis que vas prendre les autorités, comme elle angoisse à l'idée de passer des mois caché, comme elle panique de devoir t'abandonner pour te protéger de toutes cette merde et de ne plus jamais retrouver quelqu'un comme toi.

Nate: Tous vas bien ?
Me demande le gars auquel je me suis attacher beaucoup trop en si peut de temps.
Je ne cherche pas à aligner deux mots sachant que je n'y arriverais pas et décide sans aucune raison de le prendre dans mes bras.

Moi: Tu me fais chier.

Nate: C'est réciproque, pourquoi autant de gentillesse d'un coup ?

Moi: J'ai peur de te perdre...






Camille L.

Mill TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant