la maison

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Ils avaient repris la route. Mathis riait toujours aux éclats, Noah était derrière, honteux, Andréa marchait énervé devant, Léa, Carole, Lucas, Mady et Mathis étaient en ligne et Jean et Julien discutaient :
-Comment on va rentré chez nous maintenant ? S'inquiéter Jean
-‎J'ai faim je donnerai tout pour des pâtes
-‎Y a des problèmes un peu plus important que la bouffe quand même, râla Jean
-‎mouais
Enfin, Andréa s'écria en montrant du doigt un petit point noir en haut d'une colline derrière une forêt :
-LA BAS ! REGARDEZ ! UNE MAISON !
Tous se mirent à courir dans le champs, les pieds s'enfonçant dans la terre molle. À la moitié du champs ils étaient tous essoufflé. Mady proposa :
-Ou sinon on peut marché non ?

Donc

Tous se mirent à marcher dans le champs, les pieds s'enfonçant dans la terre molle. Ils entrèrent ensuite dans la forêt. Léa frissona en se rapprochant un peu de Lucas qui passa ses bras autour de ses épaule. Léa dit se que tout le monde pensait :
-C'est glauque.
-‎Ouai en plus il commence à faire plus sombre, heureusement qu'il n'y a pas trop de nuages.
Julien qui était plutôt superstitieux cria immédiatement :
-NE DIT JAMAIS ÇA !
Mais c'était trop tard, un gros nuage sombre avait caché la lumière du soleil couchant. Il était maintenant dans une casi-obscuritée. Après un long moment de silence Noah dit d'une voix forte :
-Au moins je pourrai touché les fesses des filles sans que personne ne sache que c'est moi.
-‎MAIS QUAND EST CE QUE TU TAIS ?! Rouspetta Andréa.
Il ria puis commença à marcher rapidement à reculons dans la forêt :
-Bon on a une maison a trouvé faut se bouger.
Tous le suivirent, ne voulant se séparé. Mathis et Noah, dans un dialogue muet s'était mis d'accord pour profité de ce moment pour effrayé d'avantage Carole qui, malgré ce qu'elle voulait faire croire, n'était pas rassurée. Elle s'était trahie en mordillant sa lèvre inférieur, un tic que tout ses proches connaissaient. D'un mouvement identique, Noah et Mathis passèrent leurs bras autour de Carole, l'un autour de ses épaules et l'autre de sa taille. Claquant sa langue contre son palais d'un air agacé elle les repoussa. Mathis avec son sourire charmeur au lèvre lui chuchota à l'oreille :
-T'as peur princesse ?
-Tes chevaliers servants sont là pour toi t'inquiète pas.
Après cette phrase, Noah trébucha et manqua de tombé. Carole éclata de rire :
-allez plutôt rassuré Jean, elle le montra d'un signe de tête.
Julien lui parlé doucement pour le rassuré, Jean avait perdu ses lunettes dans la rivière et ne voyait plus rien à cause de cette curieuse chute de lumière. Julien essayé de le guidé du mieux qu'il pouvait et de lui faire évité les racines. Mathis soupira et alla rejoindre les deux jeunes hommes. Il prit Jean sur son dos :
-que se soit bien clair je fait ça juste pour pas que tu nous ralentisse ne pense pas que c'est par pure gentillesse.
Carole ria et confia à Noah :
-On dirait qu'il a trouvé une autre princesses.
Noah ria et continua à discuter avec son amie.

Mady et Andréa étaient à l'avant. Mady essayant en vain de calmé l'autre qui n'avait toujours pas digéré le manque de gène de Noah :
-Et puis quoi encore ? Tu embrasses les gens comme ça sans prevenir toi ? Non je crois pas alors voilà dit pas que c'est pas si grave !
-‎C'etait juste un petit bisou de rien du tout pas la peine d'en faire toute une histoire !
-‎Si c'est la peine ! On embrasse pas les gens c'est tout c'est une question de principes !
-‎Ose me dire que t'as pas aimé, bon après il est roux c'est un problèmes mais tout peut s'arranger avec un bon coiffeur
Andréa ria enfin un peu.
-Oui j'ai pas aimé
Mady souria :
-Allez on est bientôt rentré chez nous, on rentre dans cette maison, on demande d'appeler nos parents et c'est fini.

Léa et Lucas était toujours tout les deux :
-Je sais pas comment quelqu'un a pu construire une maison ici.
-‎J'en sais rien sûrement un blindé qui sait pas quoi faire de son argent, lui répondit le blond.

Ils sortirent enfin de la forêt, il faisait nuit, un croissant de lune se laissait voir ainsi que les premières étoiles. Ils n'arrivaient pas à croire que la nuit était tombée si vite. Ils montèrent la colline et :
-Attendez non mais c'est une blague ?
Carole avait parlée la première. Ils se trouvait devant une maison qui, une seconde auparavant leur avait paru habitée mais maintenant les murs étaient recouvert de lierre, les fenêtres pratiquement toutes brisées, la porte mangée par les mythes déjà un peu ouverte. Mathis posa Jean à terre et poussa la porte qui émit un grincements strident qui les forcèrent à se bouché les oreilles. Ils se trouvaient face à une maison abandonnée, les meubles était poussiéreux mais paraissaient solide tout de même mais pas d'électricité, pas d'eau, pas de nourriture, ils étaient clairement dans une mauvaise situation.

oh merdeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant