Confusion [TERMINE.]

Épilogue

" Partir , là où le soleil brillera pour moi,
Partir , porter cette croix
Partir , je le dois je le veux
Partir, je veux dénouer ce noeud."

Cette chanson résonnait dans mes oreilles , mon coeur l'accompagnant en une parfaite synphonie.

Je ne voulais nême pas faire face à la réalité .Après avoir câliner mon oncle et ma tante j'avais garder le silence jusqu'à ce que Léonard fita son apparition , avec son look princier , on ne pouvait rater son entré. Je me souviens encore de lorsqu'il s'était approché , et de ses yeux bleus m'avait suppliés , mais je ne pouvais rester. Alors comme si je l' avais prédit , il m'embrassa comme jamais , un baiser d'à Dieu , je lui ai laissai faire . Malgré ça je me souviens avoir dis :
-"Je croysis t'avoir dit de ne plus m'embrasser ."

Un sourire au coin qu'il ne me rendit pas. Ses yeux se noyairnt dans un océan de peine.
"Aurevoir , Léo " Avais-je ajouté en autant ma main de la sienne , partant sans un regard en arrière.

Qu'es ce qu'il m'aurait dit si je m'étais retourné? Il m'a justement déjà tout dit. Qu' il m'aimait , qu'il voulait passé sa vie près de moi , que j'étais semblable au plus beau couché de soleil dans sa vie. Mais... j'étais persuadé que ce n'était pas lui l'homme de ma vie.

-Nous allons attérir , asseyez-vous et verifiez vos ceintures.

Et à partir de là , les battements de mon coeur chantaient un hymne inconnu dans ma poitrine. J'allais foulé le sol de mon pays , j'allais voir ma mère , ma famille et assurément...Patrick. La mélancolie m'envahissait à l'instant même où cette pensée attegnit mon systeme.

Une petite secousse par l'appareil, nous appris qu'on était sur la terre ferme. À peine la porte de l'avion s'était ouverte que le soleil m'acceuilli les bras ouverts , ses rayons me caressant brûlemment la peau. Un sourire me parvint avant d'inspirai pronfondément de l'oxygène.
Après avoir pris mes sacs de voyages , je me dirigeai vers la sortie , quand tout de go un poids lourd vint s'écraser contre moi et me serra à m'étouffer.

-Je suis autant contente de te voir maman. Lui dis-je , la serrant à mon tour.

-Tu m'as tellement manqué , ta présence . Débuta-t-elle me couvrant de baisers et de câlins , puis pris mon visage en coupe afin de bien me regarder.

- Pourquoi as-tu coupé tes cheuveux ?

- Non maman , ne commence pas. Marmonai-je en essayant de cacher ma joie. Je n'arrivait pas à croire qu'elle était là de vant moi , en vie et en pleine forme.

-Ah , ça fait rien . Ajouta-t-elle tout sourire , avant de passer son bras audessous du mien afin de me conduire à la voiture .

Je saluai avec vie mon oncle Ex , et c'était partis pour un retour à la vie réelle .

- Tu vas tout me raconter , ta vie de l'autre côté , tes études et tout. Lâcha ma mère surexitée.

Je regardai par la fenêtre , des jeunes garçons sous le soleil s'acharner à essayer de vendre leurs "Papita" , leurs boissons gazeuses , en demandant au passant s'ils en veulent , je regardais les routes peu propre se défiler , cetts chaleur était bouffante et invivable et dire que c'est toujours ainsi , la galère. Mais ces activités m'avait manqué , mon pays m'avait manqué. À peine ai-je posé ma tête sur l'épaule de ma mère que la voiture s'arremêta devant la maison , ma maison , ma petite maison chérie.

Lordque j'ouvris la porte , il était là , debout , le visage indescriptible , se penchant peut-être bien entre le contentement ef l'énervement . Plus beau que jamais , il était vêtu à la normale , un simple shirt et un jeans. Mais portant je ne pu empêcher mon coeur de bondir dans ma cage toraxique , et sans réfléchir je me ruai sur lui pour le serrer très fort , comme si ma vie en dépendait et il me le rendit avec étreiente . Puis tout de go , involontairement , les larmes inondèrent mes joues et son T-shirt. Je pleurais . Comme si je savais pourquoi. Tellement d'émotions me parvenaient , je ne pouvais les contrôler. Sans pouvoir l'arrêter il me prit la main vivement et me conduisit dans ma chambre qui n' avait pas changé de comme je l'avais laissée .