Chapitre 17

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PDV de Catalia

Il n'était pas mal du tout ce "Charly " ,un petit peu dur à avaler qu'il soit célibataire,j'avoue que c'est très tentant ,je n'arrive pas à croire que je viens de penser ça.

J'étais en cour maintenant, je n'écoutais pas ce que le prof racontait,j'etais distraire,je regardais à travers la baie vitrée,des colombes volées ,je pensais à mille choses,je sortais de la pensée des colombes et atterrissais en Haïti avec Patrick,mes parents ainsi de suite.Un voix prononçant mon nom, me fit sursauter .

-Pouvez vous reprendre ce que je viens de dire mademoiselle ?me demanda le professeur à ce que je voyais qui était un petit peu furieux.

-hein?! ..heum ...vous parliez de...-Je me raclai la gorge et jetai un coup d'œil autour de moi et j'aperçus Léonard,qui me montrait des trucs dans un livre et bougeait des lèvres.

-De..-Je plissai des yeux ,et il tourna son indexe de façon à me montrer son entourage.

-la classe ? Dis-je un peu perdu,Leonard passa sa main sur son visage exaspéré ,mais me repris vite lorsque je lus sur ses lèvres .

-De l'espace ,oui on parlait de l'espace . Dis-je rapidement en jetant des regards à Léonard et au professeur.

-Ce n'était pas la question mademoiselle.

Là,il n'y avait aucun issu de sorti.Nos regards s'affrontaient ,c'est comme si on communiquait sans parler.

-Dites moi mademoiselle, ce sont touts les haïtiens qui sont ainsi ? On comprend mieux pourquoi ce pays est aussi ... désastreux.

C'était l'humiliation totale ,la colère m'envahissait peu à peu ,je pris mon sac rapidement ,puis m'arrêter sur mon passage en face de lui.

-C'est parce qu'il y a des gens comme vous dans le monde qui fait qu'on est là où nous sommes ,des gens hypocrites,amoureux de l'argent ,hautains ,vous êtes des merdes ,wep je l'ai dis ,je m'en fou si vous allez trouver le directeur et tout lui rapporter comme un bon toutou ,vous savez quoi? Allez vous faire foutre.Dis-je en partant ,tout en me rassurant de bien claquer la porte au passage .

J'avais mal ,wep ,on a mal plus qu'on en donne l'impression ,puis je me mis à pleurer,je ne savais même pas où es ce que j'allais , il ne méritait pas mes larmes ,je me sentais niaise ,mais je ne pouvais tout de même pas arrêter de pleurer , à chaque fois que je les essuyais ,elles retombaient de plus belle ,j'ai l'impression que tout à coup je pleurais pour tout ,pour Patrick ,mes parents et les paroles de cet imbécile de professeur .Je m'assis sur le banc en attendant le prochain bus arriver.Qu'es ce que je vais bien pouvoir dire à ma tante ou encore à mon oncle ,ma vie est complètement merdique.

-il n'est pas conseillé d'abîmer un aussi beau visage par des larmes non mérités.

-tu fais quoi là ? Demandai-je à Léonard sans tourner la tête.

-j'avais plus envi de suivre le cour .

-au faite ,merci pour "l'aide".Dis-je en reniflant tout en essuyant mes dernières larmes.

-Ça n'a servi à rien.

-Tu viens faire tes adieux ,par ce que je vais être expulsé ?

Il rigola ,moi je ne trouvais rien de drôle dans tout ça .

-C'est quoi mon nom ? Léonard de vice ,fils de milliardaire ,donc rassure toi ,on t'expulseras pas ,secondo ,c'est lui qui a mal agis en te discriminant.

-Je vois ,le bus est arrivé,je dois partir-Dis-je en prenant mon sac.

-attends ,tu peux pas rester un petit moment ?

Confusion [TERMINE.]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant