Chapitre 5: L'inconnu

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Au bout d'une heure, je me calme

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Au bout d'une heure, je me calme. Je me rend dans la chambre pour réveillé mes petits bonhommes, mais en arrivant, je les observe dormir tranquillement et paisiblement. Ce sont eux qui font toutes mon énergie et ma force. C'est bien pour eux que je vis. Les seules personnes pour lesquelles je survie.

Point de vue Jacob:

- Alors comment cela s'est-il passé ? Me questionne t'elle.

- Elle ne se laisse pas faire aussi facilement. Ça va être compliqué.

- Tu n'as rien pour la contacter ?

- Non, en revanche elle a mon numéro.

- Tu te fou de ma gueule ? Tu es en train de mettre tout le plan en péril. Si elle ne veut pas te parler, on fait comment ? Tu as réfléchis à ça ?

Puis, elle commence à soupirer tout en se passant la main sur le visage. Elle finit par reprendre:

- Il va falloir régler cette affaire rapidement alors. Tu vas te débrouiller pour la revoir, et qu'elle accepte cette fois-ci, sinon tout cela va très mal finir pour toi. Ai-je été assez clair ?

- Limpide. Je vais m'en occuper tout de suite.

Je sors de ce vieux hangar, peu éclairé afin de continuer ma mission : la faire souffrir.

Point de vue d'Elena:

Au bout de 20 bonnes minutes à les contempler, je les réveille et nous sortons faire une petite balade digestive avec eux, dans le porte bébé. Il fait encore bon dehors. Tout d'un coup, je bouscule quelqu'un.

- Délosée. M'excuse-je en baissant la tête.

- Vous pourriez faire attention, non ?

Je sens toute sa colère montée. J'essaye de relevée la tête discrètement, malheureusement il me voit.

- Elena, c'est ça ?

- Oui... Et toi tu es, je réfléchis pendant quelques secondes, Jacob ?

- C'est ça ma jolie. Ravi de te revoir.

- Euh... oui moi aussi. Mais ma voix n'est pas aussi déterminée que je l'aurai voulue.

- Ce sont tes enfants ? Me demande-t'il en désignant mes enfants par un petit coup de tête. Ils sont aussi beaux que leur maman.

- Merci, je suppose.

- C'est un compliment. Il rigole. Qu'est ce que tu comptais faire ?

- Ben me balader avec mes fils. Et toi ?

- Je réfléchis en marchant. Je peux vous accompagner ?

Je médite sur la question pendant quelques instants. Je ne sais pas si je devrais accepter, il y a un truc qui se passe avec cet homme que je ne m'explique pas. De plus, il m'accompagne partout comme lui, mais j'ai l'impression aussi qu'il me suit. Mais finalement, qu'est ce que je risque ? Juste une fois, si je peux l'oublier pendant un court instant.

- Oui tu peux venir.

On commence à marcher dans les petites ruelles proches de chez moi, et les garçons sont silencieux ou bien ils gazouillent de temps à autre.

On commence à marcher dans les petites ruelles proches de chez moi, et les garçons sont silencieux ou bien ils gazouillent de temps à autre

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