Huit ans on passé, Tony avait cinquante neuf ans .
Il était à l'hôpital depuis trois semaines
Il était atteint d'une tumeur au cerveau.
Au début... Tony se plaignait souvent de maux de tête... Plus les jours passaient et plus son état s'aggravait. Puis après, il vomissait souvent, il a perdu au moins deux kilos comme ça.
C'est là qu'on est allé à l'hôpital.
Mais il était trop tard pour pouvoir l'opéré... Sa tumeur avait pris une place importante en lui.
Tony était tombé dans le comma depuis deux semaines, une semaine après notre arrivée aux urgence. Il ne c'est toujours pas réveillé. Depuis deux semaines je suis rester à ses côtés, attendant le moindre signe de vie ,depuis deux semaines , tout les matins , les médecins viennent pour me demander si je veux qu'ils debrancent la machine qui le maintien en vie et depuis deux semaines ma réponse est la même:''Non!''
Une infirmière entre dans la salle puis commence à papoter avec moi du cas de Tony.
- En grossissant, la tumeur peut en effet limiter la circulation normale du liquide céphalorachidien, le liquide dans le quel beigne son cerveau. Cela se traduit par une hypertension intracrânienne. Lorsque le liquide s'accumule de manière importante, on parle d'hydrocéphalie.
-Oui... Mais... Y'a t'il des chances pour qu'il se réveille un jour?
-Je ne voudrait pas vous donner de faux espoirs monsieur... Je suis navrée. Je sais que cette question doit vous énervé un petit peu mais... Est ce que vous voulez débranché votre maris?...
-NON! LAISSER MOI BORDEL!!
La dame partit en claquant la porte.
Silence radio dans la salle, il n'y avait que les petits ''bip'' réguliers qui provenaient de la machine branché à Tony. Ça correspondais au battements de son coeur mais j'avais plus l'impression d'écouter le ''Tic-tac'' d'une horloge.
Je pris sa main dans la mienne puis la porta jusqu'à mes lèvres.
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-Tony... Je t'en prie... Réveille toi.
Cela faisait maintenant deux semaines que j'étais resté , comme ça, sans manger ni même bouger.
Je commençais à m'endormir.
Au bout d'un moment, je sentis sa main se resserré autour de la mienne.
