Plus qu'une rivalité (omégaverse) ~ushioi~

Chapitre 22:Échec

Je craignais cette question et la voila, ma gorge se noua .comment allais t'il réagir en apprenant que les résultats

-je suis 2ème des terminal et 1èr de ma classe

-félicitations mon fiston tu as bien travaillé dit ma mère en souriant

Mon père leva ses yeux sur moi et dit

-tu as perdu la première place car tu ...

-je suis désolé papa, j'ai manqué de sérieux dans mes révisions et je te promets de me rattraper au Senat

Il était toujours silencieux mais l'odeur qui se degageait de lui montrait parfaitement son humeur et c'est cela qui m'inquiétais. Dans ce blanc ma mère pris la parole

-ca suffit furihada ton fils malgré les bouleversements dans sa vie a réussi a se classé parmi les meilleur, peut-être même qu'il aura une lettre de recommandation ainsi il n'aura plus besoin de passe le Senat pour intégré une bonne université alors soit content

Le fait que ma mère ait appelé mon père par son prénom indiquait qu'elle était en colère

-peut-être, tu as bien dit peut-être et c'est là le problème

-il n'y a aucun problème, j'ai confiance en notre fils et je sais que même sans lettre de recommandation il rentrera dans une bonne université

- ne rêve pas keiko, c'est un oméga et une lettre de recommandation est la seule chance pour lui d'être accepter dans une bonne université

Mon père avait raison et je le savais, j'aurais dû me donner encore plus pour cette foutu lettre. Perdre une place dans le classement était une excuse assez valable pour que la lettre me soit refuse et sans lettre je ne pourrais pas accéder a une université avec une équipe de volleyball. Il ne me restait plus qu'a avoir la note maximale au Senat pour continuer le volleyball. Je veux jouer encore et encore au volleyball et amener mon équipe en finale. Mon rêve allait il encore une fois être brisé ?

Perdu dans mes pensé je n'entendis pas ma mère m'appeler et ce fus a ce moment que mon fils décida de me donner un coup

-aie

-tooru tu va bien ?

-oui je vais bien maman, juste un coup. Ces coups sont de plus en plus fort dis je en essayant de rire

-ne t'inquiète pas je suis sûre que tu auras ta lettre de recommandation

-j'espère maman

Je l'espère de tous mon cœur même si ca ne me ressemble pas. Il commençait à se faire tard

-je dois rentrer

-quoi tu ne reste pas avec nous ce soir ?

-non maman, je préfère rentrer

-ok, fais attention a toi et prend un taxi pour rentrer

-oui, père je m'en vais

-fais donc ca et averti moi si jamais tu reçois la lettre de recommandation et aussi transmet mes salutation à monsieur utsui

-je le ferais, bonne soirée et a demain

-appelle moi a ton arrivé me cria ma mère

Sur les parole de ma mère je que je quittai la maison pour rejoindre mon autre chez moi. Je pris un taxi trop fatigué pour prendre le bus.

****

Je rentrai aussitôt que les profs nous laissèrent car j'avais tellement hâte de voir tooru mais à mon grand dam il n'était pas là. J'en déduis qu'il devait être avec ses camarades et surtout avec son meilleur ami iwaizumi

-c'est qui iwaizumi ? Un ami a toi ? demanda mon père qui revenait de la cuisine avec deux tasses dans ses mains

-non, c'est un ami de tooru

- c'est ca qui t'énerve ?

-je ne suis pas énervé !

-vraiment alors pourquoi tes sourcils sont ils aussi...

-n'est pas mon expression de tous les jours ?

-haha ah (takashi s'esclaffant a la remarque de son fils)

-il se faire tard et il ne rentre toujours pas

-je te comprends mon fils, tu t'inquiète pour l'homme que tu aime et tu as parfaitement le droit d'être jaloux mais fait attention à ne pas l'étouffer

-je veux seulement qu'on passe plus de temps ensemble et qu'on fasse pleins de chose rien que tous les deux mais je ne sais pas comment le lui dire !

-courage mon fils, votre relation a progressé petit a petit et je suis sure qu'il ressent la même chose

Je ne savais pas quoi repondre, je me levai et me dirigea vers l'ascenseur

- où vas-tu wakatoshi ?

-il fait trop chaud ici, je vais prendre l'air

-hum ok

Je descendis et attendis l'arrivé de tooru devant l'immeuble, apres une trentaine de minute un taxi s'arrêta et tooru en descendis. Je me ruai vers lui et le pris dans mes bras, c'était plus fort que moi. Les phéromones qui se dégageaient de lui était un cocktail de stresse, culpabité et de peur, je resserrai mon emprise et libera mes propre phénomènes espérant le calmer. Je n'étais pas son alpha mais j'espérais de tout cœur que mon odeur l'aide.

****