Chapitre 17- Révélation

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Lundi tout le monde et retourne au lycée sauf moi et Evan, nous nous somme plus occupés à chercher les survivants de l'accident, je lui es expliquer que sa compte beaucoup pour moi sans mentionnée ma mère et ma sœur. Sur les 50 blessés seulement 10 habitent à Los Angeles et la moitié devenu soit paraplégique soit ils refusent de parler à cause du choc psychologique, ça va être plus difficile que je ne l'aurais pensée, au final ont peut parler que à 5 personnes sur 50. Quand j'ai demandé à Evan de venir avec moi il m'a d'abord demandé pourquoi mais je n'était pas prête à le dire à voix haute parce que oui, je n'ai jamais dis à voix haute que j'ai perdue ma sœur et ma mère pour la simple raison qu'elle se bloque et que si je prononce un mot mes larmes couleront à flot. Alors que je sort discrètement par la fenêtre pour ne pas croisée mamie je vois Evan au loin, il porte un t-shirt blanc qui laisse la vue de tous ses tatouages de son cou et un jeans, il est adossé à un poteau et il porte une cigarette à sa bouche, j'ai complètement stopper sur place comme si j'avais un bug  dans mon cerveau, je ne l'avais jamais remarquer mais avec le soleil qui reflète sa peau je me rend compte qu'il est vraiment... beau. Je secoue la tête, je ne doit pas me laisser déconcentrée, j'ai juste un but qui est de découvrir la vérité c'est tout ! Une fois que j'arrive près de lui son parfum envahie mes narines, je lui dit un petit "salut" avant de me racler la gorger et de dire un "salut" avec plus d'assurance. Il me sourit doucement avant de me faire la bise, nous allons vers l'arrêt de bus pour se rendre en plein cœur de Bervelly Hills voir notre premier survivant, il se nomme Valentin Rider et il est sortie d'un coma qui a durée un mois et il est devenu paraplégique, suite à ce traumatisme il a décide d'emménager dans sa maison secondaire (inutile de préciser qu'il est riche du coup). Une fois arriver devant son énorme villa blanche moi et Evan somme époustouflés, je ne savais même pas que ce genre de maison exister. Je souffle avant d'appuyer sur la sonnette, je m'attends à tout moment de voir des chiens méchants ou bien des gardes à l'air hautain mais au final il y a juste une voix de femme qui sort de l'haut parleur.

-Bonjour, c'est pour quoi ?

-Nous aimerons pouvoir parler à monsieur Rider s'il vous plaît.

-Ne quittez pas.

Je n'entends plus rien et un silence gênant s'installe, je ne sais pas pourquoi mais je n'ai aucune envie de regarder Evan, je sais tout au fond de moi qu'il va me déconcentré et sa m'énerve. Heureusement la voix d'un homme me sort de mes pensées.

-En quoi puis-je vous aidez ?

-Bonjour monsieur nous aimerions vous parlez de votre accident, nous cherchons la vérité sur ce crash. Dit-je avec toute l'assurance que je peut avoir encore un peu en moi.

Je n'entends rien à part une respiration lourde comme si il se retenait de pleurer puis le portail s'ouvre me faisant sursautée et en faisant rire Evan, je lui jette un regard noir avant de rentrer, l'allée et remplis de petit cailloux et elle est entouré d'arbres parfaitement bien taillée, j'ai l'impression d'être dans un film à gros budget où le personnage principal n'est qu'un gros millionnaire. Evan pousse un siffle d'admiration tandis que moi je ne fait qu'observer. Une fois devant la grande porte en bois un homme brun assis sur un fauteuil roulant les yeux perdus dans le vide, il ne nous voit pas tout de suite puis je me racle doucement la gorge et il secoue la tête avant de nous sourire, un faux sourire, je peut le reconnaître entre mille. Cette bouche et ses lèvres sont étiré mais c'est yeux, sont regard est toujours loin dans ses sombres pensées, je le fait tout les jours alors en est fait ce faux sourire je le comprend.

-Bonjour, dit-je timidement en lui tendant me main, je m'appelle Alison et voici Evan.

Ce dernier lui fait un signe de la main.

-Bonjour, Valentin je suis enchanté. Il saisie ma main avant de nous invite à rentrée.

Le hall et en marbre et mes talons résonne à chacun de mes pas, j'ai l'impression de faire tâche dans le décor, j'ai toujours vécue dans des petites maisons qui me paraissait énorme à l'époque. Je m'avance vers le salon qui est dominer part un énorme canapé rouge sang  avec une télé à écran incurvé en face. Je m'y assoie avec Evan, nerveuse.

The Last Hope Où les histoires vivent. Découvrez maintenant