IntroductionL'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite.
. Agatha Christie3 décembre 19h30.
Je referme le portail de la maison et enfonce mes mains dans les poches de mon manteau pour les réchauffer . Je me dépêche comme je peux afin de me rendre à l'arrêt au bout de cette longue rue. Le bus passe à 19h35 et il ne faut absolument pas que je le rate si je veux rentrer à temps pour préparer le repas.
Le chemin jusqu'à l'arrêt me semble interminable, mes pieds commencent à s'engourdir de froid se qui me fait légèrement ralentir le pas mais lorsque je vois le bus me passer devant le nez je n'hésite pas à faire souffrir mes pieds d'avantage en courant après lui. J'ai presque failli le manquer. En y montant, je me suis trouvé une place dedans rapidement et j'ai déposé mon regard sur le paysage défilant à travers la vitre.
J'en ressors plusieurs minutes après en me dirigeant vers mon bâtiment. Au loin, près de celui-ci, je distingue deux jeunes discutant. L'un d'eux m'est familier. En m'approchant je remarque que c'est Médine... mon fils. Il a mit du temps avant de me reconnaître, il a fallut que mes pas se fasse entendre avant qu'il ne dépose les yeux sur moi. Il paraissait embêté de me voir, on aurait dit que ma présence le gênait et que je l'aurais fréné dans quelque chose.
Arrivé en bas du bâtiment, ses amis m'ont salué et lui s'est avancé près de la porte pour me l'ouvrir. Je pensais qu'il allait montrer avec moi mais en arrivant devant l'ascenseur je le vois encore dehors.
« Médine !
– Ouais ? Répond il en se retournant.
– Tu monte pas ?
– Non j'reste despi* »
Je le regarde quelques instants avant que l'ascenseur ne s'ouvre devant moi.
La chaleur réconfortante de mon appartement m'accueille en entrant. La télé du salon résonne, ça doit sûrement être Razaz posé devant ses stupides télé-réalité.
« C'est toi maman ? Crie-t-elle du salon.
– Oui c'est moi. »
Elle est venu à moi m'embrasser puis est retourné s'asseoir à sa place. Je retire mes chaussures et mon manteau, dépose mon sac et m'en vais prendre une douche bien chaude.
Le repas se passe comme les soirs passer dans le calme avec Razaz. Médine n'est pas remonté depuis que j'étais rentré. Depuis quelques temps, il rentre et sort à longueur de journée, s'enferme dans sa chambre, lui est moi n'avons quasiment plus de conversations et il est devenu très violant envers sa sœur et moi. Je ne reconnais plus mon fils... je ne sais plus qui c'est.
Razaz est parti se coucher depuis une heure déjà après m'avoir aidé pour la vaisselle. Médine, lui, n'a toujours pas pointé son nez à la maison. Le sommeil m'appelle depuis plusieurs minutes mais je ne peux fermer l'œil si un de mes enfants est à la merci de tout les dangers, surtout dans un quartier comme le notre.
***
Voilà l'introduction de cette histoire !
J'espère que ce petit partie d'histoire vous a plu, j'y est mis toute mon âme !
Dites-moi ce que vous en pensez, positif comme négatif je prendrai les critiques les bras ouverts lol.🥀
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« Car vous portez mon nom. »
Algemene fictieL'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.