Dans les entrailles du labyrinthe [TERMINER]

La clé de la vérité

Beaucoup de temps est passée, et beaucoup de choses on changé, tout d'abord, je me suis enfin mise avec Minho, depuis le temps que on se tournait autour, il était temps. Je m'en souviens, c'était il y a un mois, une journée banal, je suis allez dans le labyrinthe avec lui comme je le fais de fois, on était dans une impasse, il y avais un griffeur non loin. On l'entendais, il se rapprochait. Et là il m'as pris dans ses bras, m'as serrer contre lui, et il me murmurait
"Je t'aime, je n'ai jamais osez te le dire" au bout d'un moment il n'y a plus eu de bruit, puis un truc gluant nous as coulés dessus, on aurai dit de la bave. On a levés la tête et là, le griffeur se tenait au dessus de nous. A ce moment la on as courut, heureusement que nous étions rapide. On a finis par arriver au bout du labyrinthe, et la je l'ai regarder et pour la première fois depuis le début de la journée j'ai parler, j'ai prit mon courage a deux main

-Je t'aime aussi Minho lui ai je dit

Il m'as regarder et m'as embrasée, c'était un moment tellement parfait. Je crois même que des larmes de joie coulaient sur mon visage.

Je m'en souviens comme si je le vivait a chaque moment.

Je sent quelques secousse et me réveille, Minho est au dessus de moi

-Eh réveille toi Lou, sinon on pourra pas allez dans le labyrinthe, on sera que nous deux d'ailleurs, Newt ne vient plus

Je regarde autour de moi, tout ceci n'était que un rêve

-En plus vu que tu es toujours en retard, aujourd'hui il est hors de question que tu le soit me dit il

Je me lève, le regarde un peu triste puis me prépare rapidement, une fois bien prête je le suis et nous allons dans le labyrinthe. Je repense sans cesse a ce rêve, il avais l'air si réel. C'est bien dommage

-C'est pas le moment de rêver, la il faut courir

Ah oui oups courir, je commence a courir doucement puis de plus en plus vite, Minho reste derrière moi et me suis, il finit même par me dépasser, je sais que nous allons désormais dans le labyrinthe seulement pour trouver une sortie, mais trouver une sortie dans ce truc c'est casi impossible. Et puis je n'ai plus tellement envie de sortir, je suis si bien ici. Si contente. Nous parcourons le labyrinthe, pas un griffeur, même pas un bruit a par ceux de nos pas quand nous couront.

-Bon, comme la semaine dernière, rien a changé

-Minho?
-Oui ?
-Tu crois que on va sortir d'ici un jour ?

Il me regarde

-Rentrons

Je le regarde, il part en courant, et ma réponse ? Tant pis je me met a le suivre, nous retournons au labyrinthe cela fait seulement trois heures que nous somme partis, et nous revoilà déjà. Minho me parle même pas en sortant, il se contente juste d'allez dans son coin. Cela me rend triste, mais heureusement cela ne dure pas puisque quand je m'assoit a table, il arrive derrière moi et m'enlace

-Tu as bien courut toi aujourd'hui, tu devrai allez te reposer.

Je le regarde et me lève

-Tu as raison, mais avant mangeons

Je me rassoit et mange, Minho me regarde puis pousse un peu Clint qui était a côté de moi et se met entre lui et moi. Une alarme retentis soudainement, je ne comprend pas ce que c'est, par réflexe je tien le bras de Minho. Tout les blocards se lèvent, la boite remonte, pourtant c'est pas le moment. Tous s'approche, la boîte est la, devant nous. Gally s'approche et l'ouvre, a l'intérieur rien, sauf une clé. Au bout de cette clé un petit papier. "La clé de la vérité" Gally la regarde et la donne a Alby.

-C'est quoi sa encore ? Demande Gally

Alby la regarde et la contemple, cette clé est magnifique, dorée avec des gravure dessus.

-Aucune idée, elle doit ouvrir quelque chose, mais quoi ? Dit il

Je regarde la clé, cette clé me rappelle quelque chose aussi

-J'ai déjà vu cette clé quelque part dis je

Tous me regardent, ce qui ne m'étonne pas. Je prend alors la clé

-J'avais la même, je me souviens, c'était celle de ma grande caisse ou je rangeait des trucs sur ma vie. Enfin elle ressemble beaucoup

La boîte redescend alors soudainement, et tous la regarde avant de me regarder a nouveau.

-Tu es sur ? Me demande Minho

-Oui sur et certaine dis je
-Bon alors réunions des matons et de toi Lou, il faut que on en parle entre nous.

Je les regardent et hausse les épaules, nous nous réunissons alors tous dans ce cabanon.

-Lou ou as tu déjà vu cette clé me demande Alby une nouvelle fois en la montrant

-Je ne sais plus dis je timidement

Tous le monde continue de me regarder

-Écoutez cette clé ouvre sûrement quelque chose, il suffit de trouver quoi Intervient Minho

-Oui ils vont peut être nous l'envoyer Rajouta Newt

Je ne dis plus rien, ils continuaient de débattre seuls sans même penser a moi. Désormais je n'existait plus

-Bon d'accord alors on va attendre, je vais garder la clé et si dans une semaine on a toujours rien il va vraiment falloir des explications. Dit Alby autoritaire

Tous quittent alors le cabanon, je les suis sans dire un mot de plus. Dans ma tête j'espère que une chose, que on trouve ce que cette clé ouvre, sinon je vais devoir inventé une histoire pour justifiée cette clé... et puis j'aurai pus me taire franchement, au lieu de dire que je connaissais cette clé. D'ailleurs j'ai l'impression d'être la seule ici a me souvenir... ils doivent quand même trouver sa louche. Il faut vraiment que j'arrête de l'ouvrir.

Le soir nous nous sommes retrouvés autour d'un grand repas, j'ai été assommée de question, et j'ai répondu a toutes. Sauf une, "Comment tu fais pour te souvenir?" Là je n'ai pas eu de réponse, alors j'ai juste dit
"Je ne sais pas je vois un truc et sa me rappelle quelque chose et je me souviens d'un morceau de ma vie, mais de toute façon je dit tout ce que je sais"

Et là il n'y avais plus un bruit, tout le monde l'avaient écoutée et je ne m'en était même pas rendu compte. Alors je les ai tous regarder avant de partir me coucher. Non seulement je suis la seule fille donc déjà beaucoup de regard se posent sur moi. Mais en plus je suis celle qui se souvient de plein de trucs. J'ai vraiment rien pour me faire discrète. Je me couche donc dans mon hamac, personne ne m'as suivis j'imagine que ils doivent tous parler de ce que je viens de dire bien sûr. Déprimant. Je ferme donc les yeux pour trouver le sommeil qui n'as, pas l'air de vouloir de moi a cet instant. Mais qui finit tout de même par me rejoindre et m'emmenez loin de ceux qui doivent a cette minutes là parler que de moi, de moi, de moi.