Vous savez, dans les histoires pour enfants, il y a toujours une fin heureux du genre le héros qui sauve la demoiselle en détresse. Ça, c'est le genre de compte que je déteste car pour moi, ma vie était tout sauf belle et heureuse à cause de cette foutu maladie qui me rongeait et qui tué mes amies qui m'entouraient. Pourtant, un héros m'a sauvé, il ma guérit en me faisant prendre conscience d'une chose qu'avant je ne voyais pas. Et ce héros c'est mon papa. Alors merci papa d'avoir été ce chevalier auquel je n'osais pas croire.
Maintenant, je vais vous raconter comment cet exploit c'est produit.
Un mois après mon retour chez moi, mon état c'était empiré et un soir de pleine lune, alors que j'étais assis sur le rebord de ma fenêtre contemplant cette forme lumineuse, mon père rentra dans ma chambre, et je me souviendrais toujours des horribles mots que je lui ai dits.
« Quoi qu'est-ce que tu veux ! Toi aussi tu voudrais que je me confi à toi ! Toi aussi tu voudrais que je croie que cette histoire finira bien ! » Malgré ses mots et cette intonations agressif, il garda son calme, me regardât fis quelques pats et déclara : « Pourquoi, tu ne crois pas au fin heureuse ?
- J'ai plus trois ans papa.
- Le bonheur dans une vie n'est pas réservé aux petites filles. Regarde, ta mère et moi avons eu la chance de t'avoir comme fille et chaque jour nous mesurons le bonheur que nous avons de t'élever.
- Tu parles d'un bonheur, je dirais plutôt un cauchemar, franchement, qui voudrait de moi comme enfant. »
Après ses mots, il ne répondit pas, il s'approchât de moi, me pris dans ses bras et me murmura a l'oreille « le monde entiers ». Quand j'entendis ces paroles, mes yeux s'agrandirent et des larmes commencèrent à couler sur mes joues creuse. Je ne savais pas pourquoi je pleurais mais aujourd'hui, je crois avoir compris que c'est mots, m'avais fait prendre conscience que ce qui m'arrivait n'été pas ma faute, et que même si c'était difficile, ils continueraient à m'aimer.
Après avoir s'écher mes larmes, il me dit de faire mes valises et que l'on partait demain matin à l'aube, il rajouta que dans cette valise, je devais prendre des affaires approprier a des températures chaude.
La nuit fut très agitée pour moi, premièrement parce que je me demandais où est-ce que nous irions le lendemain et ensuite car je repenser a notre discussion de ce soir et tout en regardant cette Lune totalement ronde je sentis de longues gouttes chaudes coulée lentement sur mon visage et je m'endormis émerveillé par cette lueur et cette espoir digne d'un conte de fée.
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C'est ma maman qui me réveillât le lendemain matin. Elle dit en chuchotant que je devais me préparait et que dans très peu de temps nous allions prendre la route. Je me préparai assez rapidement avec les premiers affaires qui me venait et mis un tas de linges pilier (du moins avant) puis mon père vint les chercher pour les déposait dans le coffre de notre voiture. Sur la route je ne parle pas, j'ai bien trop peur de mal prononcé mes paroles, alors je préféré me renfermer sur moi en écoutant la musique.
Deux et vingt-cinq minutes plus tard nous arrivons devant un gigantesque aéroport. Je jette des regards partout autour de moi avec un sourire remontant jusqu'à mes oreilles ce qui fit rire mon père. J'été tellement curieuse que je leur posai mille et une questions. « Où allons-nous ? On va rester combien de temps dans l'avions ? On reste combien de temps là-bas ? Pourquoi est-ce que nous devons y aller ? » Cette fois c'était ma mère qui laissa échapper un petit rire.
Arriver devant le guichet d'enregistrement mon papa me demanda de lever la tête, et c'est là que je vis sur le tableau qui annonçait les destinations le mot Afrique. Tout en regardant, il se penchât et me murmura a l'oreille « Je ferais tout pour que ta fin soit heureuse. » Je suis quasiment sur qu'une fois ses paroles finit je lui ai sautée au cou.
Nous sommes montés dans l'avions une heure plus tard et ce fut une merveilleuse expérience mais je vais la passer pour en venir au moment vraiment important.
Lorsque nous sommes arrivé a destinations, nous avons récupéré nos baguages et je m'aperçus qu'une personne tenait une pancarte avec écrit notre nom de famille en gros feutre bleu. Nous avançâmes et elle nous conduisit jusqu'à une toute petite ville portant le d'Abidjan. A notre arriver toutes les familles nous accueillirent à bras ouvert, elles nous montrèrent leur petites maison en terre cuite, pendant que mes parents discutaient avec les parents des autres familles je parti jouer avec les enfants. Ils étaient tellement nombreux pour un si petit village, je dirais une trentaine pour une quinzaine de familles. Tous ces enfants été tellement gentil entre eux, ça change de notre pays où tout le monde se tire des balles en pleine tête. Pendant trois jours environs je me précipitais chaque matin vers les enfants pour jouer avec eux durant toute la journée. Je me sentais tellement bien. Seulement voilà, rien dans ce pays ne m'aider à manger, ce que ma maman remarqua tout de suite.
Le lendemain mon père me demanda de le suivre jusqu'à une petite demeure ou se trouvait un petit garçon qui portait le nom de Nelson et sa mère. Je le regardai pendant quelques instant et j'en tirai le constat qu'il ne faisait pas parti des enfants heureux qui jouer dehors a longueur de journée. En m'approchant de lui, je vis qu'il était d'une maigreur impressionnante. Sous le coup de l'émotion je pense, je courus vers lui et le pris dans mes bars. En discutant avec sa maman j'appris que son frère jumeaux été mort bébé à cause de la mal nutrition et que lui, avait pu en sortir vivant mais en souffrait tellement qu'il ne pouvait pas être avec les enfants du village. Et c'est là que je compris le message que mes parents voulaient me transmettre.
C'est enfants meurt car ils n'ont pas à manger, ils sont maigres et fatigué mais ils se battent chaque jours pour survivre. Et cette pensée encore aujourd'hui me donne envie de pleurer. A cette instant très précis je décidai d'arrêter de me laisser faire et de ma battre contre elle, contre ma maladie !
Trois jours après il était temps de rentrer à la maison, c'était un crève-cœur de dire au revoir à toutes ces familles qui nous avait accueillies aussi gentillet. Mais ce qui fut le plus dur était de laisser Nelson mais je lui fis la promesse de revenir, quand à lui il me fit la promesse qu'il continuerait à se battre.
Vous ne pouvez vraiment pas imaginez ce que ce voyage m'a procurait comme émotions, et surtout a qu'elle point il m'a changé.
Le lendemain, à mon réveille je descendis lentement les escaliers et me dirigea vers mes parents et les en lassa, au début ils étaient très surpris puis à leur tours, ils refermèrent leur bras sur moi.
Pendant le petit déjeuner personnes ne parlaient, pour ma part j'avais trop peur de briser cette matinée parfaite. Mais je pris mon courages a deux mains, je soupirai et dis à voix haute « maman, tu pourrais me donner un muffin ? » Je vis se chiffre apparaître dans ma tête, 410, il devenait de plus en plus gros mais je repensai au petit Nelson et je chassai se nombre de mes penser. Mes parents me regardait avec les yeux écarquillait. Je me souviens même que ce matin-là, ma mère pleurait, elle pleurait car elle savait qu'un bout de sa petite princesse été revenu au près d'eux. Elle me répondit avec une petite voix tremblante « ou...oui bien sûr ».
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Mon combat [Terminer]
Teen FictionJe m'appelle Amanda, j'ai 15 ans et j'ai un combat. Nous avons tous un combat. Ils sont tous différents. Certains sont gardé secret, mais d'autres sont dévoilés au grand jour. Mais aucun n'est plus dur que les autres. Ils ont tous leurs difficultés...