Quand ma mère compris enfin la gravité de la situation, elle décida d'agir. Mais je ne pensais en aucun cas que ce qu'elle allait faire allais être si radical. Mais bon, je ne lui en veux pas, si elle avait fait ça, c'était pour me sauver et pouvoir retrouvé sa véritable fille.Elle me fit clairement comprendre que si je ne redevenais pas comme avant, alors elle n'aurait d'autre choix de m'enfermer dans un hôpital.
Ces paroles ont été pour moi plus comme un déclic. Elle m'expliqua qu'elle avait trouvé une maison dans laquelle on s'occuper des cas rare et qui ont besoin d'un suivit « psychologique ». En claire, tout ce que je déteste. Il fallait vivre en communauté (ce dont j'ai horreur, la seul présence que je t'ollaire est celle de ma petite sœur et de ma meilleure amie). Et en plus de ça, on devait parlait a des psychologues, et puis quoi encore. Pour moi cette maison ce n'est pas le chemin de la guérison, mais le chemin de l'enfer !
Ho, et bien sûr, ils nous enlèvent les portables, ordinateur et tout autre objet connecter, sinon ce n'est pas drôle. Et pour être bien sûr que l'on ne cache rien de dangereux dans nos valise (oui car à parement, pour eux, nous sommes des fous) ils les fouilles toutes entièrement.
La demeure est à environ quatre heures et demie en voiture, mais avec les bouchons que nous avions eus, il fallait rajouter un bon quart d'heure.
Une fois arrivée, j'étais stupéfaite. La maison était sublime, je venais à peine de sortir de la voiture que sa grandeur m'envahit. Au niveau de ces occupants, c'est assez spécial, je vous fais la scène ; je n'avais même pas franchis la porte qu'une fiche super excitée me sauta dessus.
« Salut, laisse-moi prendre ta valise. Elle disait ça avec un grand sourire, c'était carrément flippant.
- Non ça va, je te remercie.
- Aller s'il te plait !
- Nan merci. J'avoue qu'à ce moment-là j'avais été supers froide.
- Mais ça me fais gagner des points... Son sourire c'était effacé.
- Bon d'accord tiens. »
Ba quoi, ça arrive d'avoir pitié des gens, et puis si cela pouvait lui rendre service.
La gérante m'accueillit cinq minutes plus tard, elle me présenta la maison, me montra ma chambre que je partagé avec deux autres jeune filles. Elle vida bien évidemment ma valise puis me laissa m'installer en me rappelant qu'une « thérapie de groupe » c'est comme ça qu'il l'appelle allais débuter dans moins de dix minutes et que devais les rejoindre.
Je me dépêchai donc de ranger mes affaires, non pas que je veuille participez à cette réunion de malade, juste, je ne voulais pas être en retard. Pour la simple et bonne raison que je ne l'ai jamais été et que ce n'est pas maintenant que ça va commencer. En me disant ça dans ma tête, je rigole. Ma sœur se serais immédiatement empressait de finir ma phrase et elle aurait laissé échapper un gros soupir. Qu'est-ce que je ferais sans elle ? Je me le demande.
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Comme je mis attendais, le groupe de parole était d'un ennui mortel, nous étions cinq au total, nous n'étions que des filles, plus ou moins grande. Il y avait Amandine, elle avait vingt et un ans, Ludivine, elle avait seize ans, Caroline, qui elle était âgée de quinze ans, et Judith, la plus jeune, elle avait douze ans.
Pendant ce temps de paroles, nous devions toutes nous présenter puis nous devions chacune notre tour, énumérer nos problèmes, nos peur, angoisse, mais aussi ce que l'on aimerais réussir sans oublier qu'il faut absolument préciser à la fin de chaque séance que nous sommes là pour guérir de la maladie, sinon, nous avons droit au terrifiant regard noir de la gouvernante des lieux. Pour que vous l'imaginiez correctement, disons que je la compare à Dolores Ombrage dans Harry Potter. Ouais, c'est effrayant.
Mais soyons très honnête, comme je vous les précisez au part avant, on ne guérit pas du premier coup. Alors, nous avions toutes nos astuces pour ne pas prendre de poids. Ici c'était certes plus compliqué car les liste été interdites, et il n'y avait pas de machine de sport. Je faisais donc une série de pompes pendant la nuit. La seul autre technique que je connaissais c'était celle de Judith, à force de se côtoyer (camarade de chambre), nous étions devenu, elle me faisait pensait à ma petite merveille. Elle, elle profiter du silence de la nuit pour vomir tout ce qu'elle avait mangé. Bien sûr, les toilettes étaient toutes fermer, elle avait donc son sac personnel. Je sais c'est dégueu. Mais bon c'est comme ça.
J'avais vraiment sympathisé avec elle, enfaite je l'aimer énormément, tous les soirs avant de dormir, je lui lisais Twilight, c'était ces livres préférés. On avait même fais un pacte, elle me promettait de sortir de là et de vivre sa vie en tant que petite fille normal, et moi je devais passer mon brevet en étant également redevenu moi-même.
Malheureusement, après sept mois dans cette maison, un accident eu lieu. La demeure fut alors fermer. Cet accident le voici, il est très simple. A cause de la maigreur, Judith est morte. Ça me fait toujours de la peine d'en parler, elle n'avait que douze ans, elle avait toute sa vie devant elle ! Mais non, il a fallu qu'une foutue obsession l'emmène loin dans les étoiles. Pourquoi ? Elle était tellement discrète, gentille, elle était si ignorante, l'enfant par excellence ! Quand j'y repense, je me dis qu'en tant que voisine de lit j'aurais dû l'arrêté, mais je n'ai rien fait. Sûrement car je n'aurais pas aimé qu'on me le face.
Mais ce qui est sûr, c'est que ça mort a été un gros électro choque. Pas encore assez pour me faire arrêter mais il ma quand même aider à relever un peu les yeux de ma balance.
Alors, je sais que tu ne liras jamais se livre, que je ne pourrais plus jamais te parler, te prendre dans mes bras, ou même te lire tes livres préféré, mais je voudrais que tu sache que je t'aime, que tu me manques, et que j'ai réussis ma partie du contrat, je ne suis plus malade, il ne reste plus qu'à passer l'examen, et je te promet de le réussir, en ta mémoire. Et je te jure que je te rejoindrai, pas maintenant, je compte bien vivre ma vie et la vivre pour toi aussi, mais je te rêverais !
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Mon combat [Terminer]
Ficção AdolescenteJe m'appelle Amanda, j'ai 15 ans et j'ai un combat. Nous avons tous un combat. Ils sont tous différents. Certains sont gardé secret, mais d'autres sont dévoilés au grand jour. Mais aucun n'est plus dur que les autres. Ils ont tous leurs difficultés...