chapitre 3

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-Qu'es que tu fiches bordel !?
-Je l'ai déjà dis ! Qui es-tu !? D'où viens-tu !?
-je suis un tueur à gage qui a était engagé par la mafia de France... Je viens d'Italie, de Venise pour être plus précis...
Un mafieux... Je pourrai l'accompagner ! Il pourrai m'apprendre à me battre, tirer, etc... Comme ça je pourrai tuer mon beau père !
- Il recrute dans la mafia de France ?.. demandais-je en essayant de paraître fort
-mmmh... Pas que je sache, mais un gamin comme toi qui reste aussi froid après avoir tué quelqu'un ça ne court pas les rues... Viens avec moi, et je te présenterai à mon patron...
-D'accord mais je garde le fusils, je n'ai pas confiance en toi...
-comme tu veux gamin !
Je me rhabilla en lui posant plusieurs questions sur la mafia, j'en appris beaucoup ça qui pourrait m'aider.
On sorti du bâtiment désinfecté et il m'installa dans sa voiture. Une  porche noir trop belle !

Apres plusieurs heures de voiture a regarder les terrain plat du pas de calais, on arriva enfin a Paris ! la ville de l'amour, la ville lumière, elle a autant de point positif que de négatifs... comme les vieux qui roule a 30km/h au lieu de 50 ou, leur contraire, les chauffards qui roule comme des idiots a 80... Mon conducteur n'arrêta pas de les injuriés... Au bout de quelque minutes de routes encore, nous nous arrêtâmes enfin devant un magnifique pavillon protégé par un énormes portail en fer. Mon tueur à gage toqua 3 fois sur l'immense portail. Un homme d'une trentaine d'années ouvrit et demanda froidement
-nom, prénom, raison du dérangement ?
-Je suis Diego, le tueur que votre patron a engagé, je suis venu pour le gamin, je pense que vous pourriez le recruter. Dit- il sur un ton tout aussi froid
L'homme nous laissa entrer et nous emmena ensuite dans le grand pavillon. À l'intérieur, tout était noir ou blanc, sans aucune autre teinte. C'était extrêmement moderne et propre. En rentrant, on y voyait un grand canapé d'angle noir et en cuir. En face une table basse elle aussi noir ou y était posé un petit pistolet. En contre le mur, je vis une énorme télé incurvé qui devait faire au moins trois fois la nôtre !! Je laissais mon regard se balader encore quelque instant quand un homme d'une quarantaine d'année arriva. Il était brun mais avait quelque cheveux blanc, ainsi que dans sa barbe. Il avait des yeux bleu glacé, qui rendait extrêmement mal à l'aise, malgré tout je le regarda ensuite dans les yeux. Il me demande d'une voix forte
- que fais-tu là petit ?
-hum... C'est le tueur à gage, Diego qui m'a emmené répondis-je gêné
-Et pourquoi il t'as emmené ici ?
-Eh bien... Je voudrais devenir un mafieux aussi ! Deglutis-je à toute vitesse
L'homme sourris à ma phrase et répondis ensuite
-non. Pars d'ici si tu ne veux pas te faire tuer.
Je tenta encore une fois ma chance en lui disant :
-Je vous en supplie Monsieur ! Si je rentre chez moi je vais me faire tuer ! Donnez moi une chance !
-Ici aussi tu vas te faire tuer petit, et je n'ai pas envie d'avoir la mort d'un enfant sur les bras.
-Je pense que tu peux quand même lui laisser une chance Alban. Dit une femme au long cheveux blond qui arrivait vers nous. Elle avait elle aussi des yeux bleu glacé et ressemblait beaucoup au prénommé Alban. Elle s'asseya sur le fauteuil et tapa juste à côté d'elle.
- Viens mon grand, explique moi pourquoi tu veux rejoindre la mafia ?
Je la rejoignis gêné et lui expliqua mes mésaventures. Après lui avoir tout expliqué, je la regarda et compris qu'elle était choqué du viol et de mon beau-pere. Elle regarda alors le prénommé Alban et lui supplia
-Ce petit à souffert, je ne te donne plus le choix mais l'obligation, je serai son mentor si tu veux !
-Bon c'est d'accord... Alban tourna son regard vers moi, tu sera notre "fils". Mais pour cela, tu vas devoir porter des lentilles de couleur.
-tous ce que vous voudrez Monsieur !
-bien. Mais quand il y aura des gens, je t'ordonne de m'appeler "papa". Sauf si c'est Sonia la blonde à côté de toi.
-Et maman ? Que vas-tu lui dire ? Demanda Sonia
-la même chose qu'au autre. Je ne veux pas qu'elle me fasse encore une fois la leçon...
Elle rigola à ce commentaire et demanda ensuite
-Qui sera son mentor ?
-Toi ou moi...
Elle sourit et se leva
-Bien ! Dit-elle, j'ai hâte de voir la tête de tes employés quand je vais leur dire que tu as recueillis un enfant !
Je la regarda partir et me tourna ensuite vers mon "père". Il réfléchissait quand ensuite il me dit :
-Viens, je vais te montrer ta chambre.
Je le suiva et dans l'ascenseur il me demanda
-quel est ton nom au faite ?
-Mathias Coussano.
-Tu vas devoir prendre mon nom de famille, Mathias.
Je hocha la tête en signe d'accord avec lui. L'ascenseur s'arrêta enfin au 4eme étages. Il s'ouvrit sur un couloir très éclairé où les murs on était remplacé par des vitres. Alban me dépassa et avança d'un pas rapide vers une porte. Il l'ouvrit doucement. Un énorme lit couvert d'un drap noir surplombait la grande pièce. Le mur d'en face était en faite une grande vitre où le paysage était à couper le souffle. La ville de Paris était comme sous mon pouvoir !
En face de mon lit, ce trouvait une télé incurvé Toute aussi grande que dans le salon. Juste à côté de celle-ci ce trouvait une autre porte qui devait être la salle de bain.
-ca t'ira ? Demanda Alban
-c'est sublime !

criminel a 13 ans Où les histoires vivent. Découvrez maintenant