Des Lettres Et Des Mots Pour L'espoir.

l'affaire zombie

Plusieurs de nos hommes sont tombés au contact de cette planète.
C'était l'hécatombe.
L'air y était pourtant respirable. Malgré ça, peut à peut, le corps s'afaiblissait...
C'etait... désespérant. Un enfer sans nom.

Semblables à des zombies.
C'etait, ce qui définissait le mieux l'état de mes hommes....
Et, c'est au bord du désespoir que, nous attendions les secours.
Ne sachant jamais quand viendrait la fin.
Ni qui serait le prochain ...

Nous marchions dans un desert profond, un sol aride recouvert par quelques millénaires de poussière.

Une semaine plutard nous étions tous à bout...
Nous avions oublié pourquoi nous étions ici, ou pourquoi nous marchions. Nous n'attendions plus personne, nous n'espérions plus rien. Pendant que peut a peut, tout devenait floue dans nos tetes...
Laissant paraître au loin l'ombre d'un arbre où peut être bien une rivière plus rien n'avait ni queue ni tête... Tout n'était que mirage...
Tout ceci n'était qu'un rêve,
Un rêve éveillé qui menaçait de me rendre fou.

Mais nous avancions, tête dans les nuages. La force du desespoir nous poussant à ne pas nous arrêter. Laissant derrière nous ceux qui ne pouvait avancer...

Je regardais mes hommes, du moins ce qu'il en restait... mais eux aussi avaient perdu toute raison. Nous errions dans le vide, la tete vide, en quette de raison....

Combien de temps s'etait il donc écoulé ?
Je n'en savais fichtre rien....
Affalé a meme le sol, je ne sentais déjà plus mes membres. Au dessus de moi, en plus de ce soleil écrasant, il avait cette couche pureuse qui flotait a au dessus du sol. De particules vertes qui telles la poussière, volait au grès des courants.
Au final, j'allais finir ensevelis par de la poussière végétale... dans un etat de legume.

S'est l'esprit embrumé que je me reveille par interminance.
Désormais je ne peut plus bouger le moindre orteil, j'attend que mon heure vienne mais, elle ne vient pas. Je suis toujours ici, affalé sur le sol. Les particules vertes s'était finalement reposées au sol et semblaient être absorbées, se transformant peut a peut en poussière...
Le temps me semblait infiniment lent ... au final quel jour étions nous ? Combien de temps j'étais resté sur ce maudit sol ?
Combien de temps allais je rester, à cramer ici, sous ce soleil, de l'enfer ?!
Au final je navais meme plus la force de résister, l'espoir detre sauvé c'était peut a peut éteint, de meme que ma vie qui s'égrenait peut a peut...

Un bruit strident me sort soudainement de mon someil de zombie.
Jecarquille les yeux mais il n'y a rien... jusqu'à sque je me face aveugler par un flash rouge qui fuse alors vers le ciel, formant un tube lumineux.

Le temps passe et c'est à demi conscient j'entend des bruit asourdissants a me fracasser les oreilles s'intensifier....
Mon soulagement est immédiat..
Pas le temps de dire ouf que je remplongeais déjà dans les abysses....

Flash.
Un truc lumineux me perse les yeux.

Douleur.
Ma tete me fait un mal de chien.

Douleur.
C'est comme si je respirais pour la première fois.

Blackout.

J'étais là à nouveaux, devant mon hublot, j'observais cette exoplanète aux allures de forêt géante.
Cette planette qui semblait si prometteuse, propice à la vie ...

Plutard j'appris que le prix a payé était mes jambes mais le plus dur était de croire que j'étais le seul survivant... un miraculé.... sur douze soldats....

Comment cela avait- il pu nous échapper ? On avait pourtant envoyé une sonde qui avait bien noter que l'air y était totalement respirable, que la terre était riche en minereaux, incluant la présence d'eau dans le sol et de plantes.
Nous aurions du nous méfier des photos prise au sol nous montrant un sol entièrement vert. Pourtant nous sommes descendu dans l'idée de trouver une forêt quelques lieux plus loing....

Cette erreur m'aura coûté mes jambes et une équipe de fidels compagnons... je deteste cette planette car cest encore un fait inexplicable et une erreure que je noublirais jamais.

Pourtant je ne pouvais pas laisser cet incident sans résultat, jai donc opter pour la colonie et compte bien reussir une terraformation.
Dans lespoir dune reussite, je men remet a vous commissaire, pour tirer au claire cette histoire.

Vue de l'espace, cette exoplanète semblait propice a la vie, entièrement recouverte d'eau.

Nous avions envoyés une sonde, mais il semblait y avoir de violentes perturbations dans son atmosphère. Alor, faute de moyens nous nous sommes nous même rendu sur terre.
Cependant, ce qui nous attendait ici n'en était pas moins inexplicable...
Un desert arride,
Des terres désechées,
Des rivières, des lacs, des oceans
A sec....
Vide.
Cette planette était étrangement vide.
Une planète morte...
Quel etrange phénomène, qu'une planète bleue, sans eau...
Un mirage de l'espace.

A terre, nous n'avions trouvé que quelques osements encore présent. Partis en poussière.
Cela ne datais pas dhier visiblement.
Puis devidence nous sauta aux yeux...
Il ny avait pas une trace de végétaux, pas meme de moisisure. Ce monde etait sec et sans vie.
Alor nous avons pensé à notre chere planète, et nous avons compris.
Ici la nature cetait peut a peux flétrie.
L'eau c'était évaporer.
Emportant avec eux la vie.
L'air cetait ratifié, stagnant, il etait devenu toxic. C'était lui qui formait cette couche bleue au dessus de nos têtes, cachant la dur réalité.
Nous sommes partis.
Etrangement cette planète nous rendait tous nostalgique.
Vous savez elle semblait vivante cette planette. Elle survivait.

Ce n'est pas aujourd'hui que nous avons trouvé la solution. Mais ici la vie ne reprendra son cours que dans une decenie. En atendant, cette terre se dormait, attendant, le jour ou la vie reprendrait son cours.

Capitaine E. Johnson
Mat n80e50