Talent D'Edward

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En passant devant la maison des Boggs, je vis les femmes du quartier avec leurs chiens faire la queue. Je ne compris pas ce qui se passait, je m'approcha du jardin et vis Peggy discuter avec Hélène puis mis mon regard sur Edward qui était en train de couper les poils de Daisy en compagnie de ma mère qui l'admirait avec un grand sourire. Je le regardais faire admiré. Alors qu'Edward venait juste de finir la coupe de Daisy ma mère s'exclama en la prenant dans ses bras "Eddie il y a t'il quelque chose que vous ne savez pas faire ? Je suis réellement stupéfaite par vos talents ! Vous êtes un grand artiste ! Avez vous fait ça à une femme Eddie ? Voulez vous coupez les miens ?! " Elle s'assit sur la chaise derrière. Sa réaction me sidérait, comment elle parlait à Edward et les bruits de surprise qu'elle émettait c'était gênant. Après qu'il ai réfléchit, Edward commença a couper les cheveux de ma mère, je le regardais, les yeux brillants, c'était trop mignon la façon dont il s'appliquait. Ma mère avait une réaction gênante, elle avait fermé les yeux en ouvrant la bouche, de plus au bout de quelques minutes elle fit un bruit génant et leva ses pieds. Personne se doutais de quelque chose, bien trop occupé à admirer le travail d'Edward. Quand Edward eu finit de couper ses cheveux, ma mère les toucha en ouvrant les yeux et dit "Ça restera l'expérience la plus excitante de ma vie" Elle se leva en ayant une démarche sensuel en allant voir Marge sans doute pour parler du travail d'Edward. Il fit passer toutes les autres femmes, je ne voulais pas partir, je me laissais pas de le regarder, juste de le voir. Personne n'avais remarqué ma présence, en même temps j'étais derrière la barrière du jardin, toujours avec ma pochette d'art plastique dans les bras. Peggy fut la dernière à passer puis lorsque Edward eu finit son travail, il regarda vers ma direction, je vis qu'il m'avait vu, il me fit un sourire en bougeant ses doigts. Ma mère et les autres étaient partis. Je lui souris a mon tour et alla le rejoindre dans le jardin. Peggy "Oh bonjour Mélodie, tu veux un petit quelques chose a manger ?" Je lui fais un petit hochement de tête pour répondre oui. Elle alla dans la maison me chercher un truc, Edward me fixait, on resta quelques secondes comme ça avant qu'il me dise "Tu as pleuré?" Je baissa la tête, ça se voyait tant que ça ? Je voulais lui dire, il semblait être à l'écoute, je ne voulais pas que je sois là seule à savoir ce qui m'arrive à part l'infirmière.
Moi "J'aimerais te le dire... Je peux te faire confiance ?" Il fit un hochement de tête pour dire oui. Je lui raconta tout, même quand ils ont commencé à me harceler. Il me regarda tristement "Kim?" Je leva la tête "Oui, c'est bien elle, c'est la Kim que tu connais". Il baissa la tête "C'est pas gentil", je trouvais ça trop mignon sa réaction, j'espèrais qu'il avait compris comment était Kim, je lui raconta aussi ce que j'ai entendu le matin même avant de monter dans le bus. Peggy arriva juste après que je lui ai raconté ça, Edward avait toujours la tête baissé, elle me donna des cookies fait maison et me fit asseoir. Peggy s'adressa à Edward "Ça va Edward?" Il dis rien en bougeant la tête comme pour répondre. Peggy "Je vais vous laisser ensemble, je dois faire des trucs" Elle sourit et fit une petite tape sur l'épaule d'Edward avant de partir dans la maison. Je mangea mes cookies en le regardant timidement "Je.. Je suis désolé de t'avoir dit ça..." Il ne dis rien et s'assit sur la chaise à côté de moi, ses mains sur ses cuisses, bougeant nerveusement ses lames.
Moi "Je suis pas comme eux, je pense que c'est pour ça, je suis différente" Il me regarda "Différente ? Comme moi ?"
Moi "Tu sais Edward, tout le monde est différent des autres a sa manière, moi j'aime pas ce qu'aime Kim par exemple et je ne me comporte pas comme elle non plus. Toi les gens disent que tu es différent juste à cause de tes mains mais tout le monde l'est... Moi je t'apprécie beaucoup, que tu es des vrais mains ou celle ci ça m'est égale " Je rougis, lui souris et pris mon sac avant de partir gêné par ce que j'ai dit, je sais c'est rien mais je suis amoureuse de lui et j'avais une joule au ventre rien que de lui parler.

Aimer cet homme (Edward Aux Mains D'argent) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant