Le regard de ses deux hommes n'avait pas l'air amical. Ils le transporter comme un sac de patate. Les deux hommes se regardèrent seulement mais arrivèrent à se comprendre. Ils laissèrent paraître un sourire sur leurs visages. Une fois arrivait dans le camion les deux hommes le détacha et ferma la porte. Ils lui exigeaient de lui faire une joli petite danse et avait peut-être la possibilité de le laisser partir. Il était gêné et persuadé qu'ils mentaient. Il se mit à faire des mouvements, mais ne semblait pas douer. Les deux hommes n'étaient pas satisfait, lui demanda de se déshabillé. Étant effrayés il ne pouvait pas faire autrement. Ses yeux était grand ouvert et se mirent à verser des larmes tous seule, il pinçait ses lèvres tellement fort qu'il se mit à saigné. Il commença par enlever son sa chemise les mains tremblante et ensuite son pantalon de la même façon, il essayait de gagner du temps. Les deux hommes avaient une heure précise pour amener le prisonnier et donc n'avaient pas de temps à perdre. Ils se mirent à arracher tous ce don il lui rester comme tissu. Ils se moquaient de la taille de son entre-jambe.
Âme sensible, ne pas regarder.
Ils se mirent à caresser cette partie avec une délicatesse inimaginable vu leurs figure. Il n'en pouvait plus. Il ne pouvait plus se retenir et eu une érection. Ils ne voulaient pas s'arrêter là, alors le poussèrent contre une grille et commença par poser leurs lèvres sur son entre- jambe. L'heure les as devançais, alors ils le prient le rattacha et le referma dans le sachet. Je savais qu'ils mentaient, ils m'ont laissé là alors que je suis encore dure, et je n'ai pas la possibilité de me soulager. Cette sensation est horrible, je sens tous mes membres se contractés. Son visage était crispés, il essayait de se détaché, il semblait a un verre de terre. Mais plus il bougeait plus les liens se resserrés. A force se peau en devenait rouge et il arrivait à peine à respirer. Il finit par abandonner car il n'était plus excité. Je sens une odeur de ciment, de bois; Je suis assis sur un sachet de sable et m'a tête est poser sur un sac de gravier comme les matériaux que transportent les maçons. Maintenant je me trouve là enfermé dans une cage comme un vulgaire animal. Il fait sombre autour de moi, la seule chose que je peux distinguer est cette fameuse cage. Je suis toujours attaché tel un saucisson mais j'ai la capacité de respirer. Je sens une présence s'approcher de moi, une orra menaçante. Je peux apercevoir la silhouette d'un homme d'environ 1m90. Il avance vers moi. Je vois en lui quelque chose de perturbant. Il lance une petite bouteille d'eau à moitié ouverte, a moitié rempli, il ne reste qu'un quart d'eau, je n'ai pas le temps de le boire qu'il ouvre ma cage d'un mouvement brusque en me tirant à l'extérieur. Il prend une photo de moi. Il enlève mon tee-shirt, attache mes mains en hauteur et se mit à me donner des coups de fouets. Il ne préfère pas le dire mais une simple photo ? L'homme l'avait mis dans une position assez osé. Il en avait pris cinq en tout. Il avait amené avec lui un grand sac dans lequel il y avait des accessoires féminin. Dans la première photo, il se trouvait à quatre pattes vêtus d'un sou vêtement noir, avec un collant noir et des oreilles de chat noir. Dans la deuxième photo il ne portait que des oreilles de chat noirs et cachait ses partit intimes. D'ailleurs il rougissait telle une fille gênée sur celle-ci. Sur la troisième photo, il était attaché, nu, les mains vers le haut, la tête baissée avec les traces que les brûlures lui infligeait. Sur la quatrième il était accroupi, on ne voyait que ses cheveux qui tombent vers le bas et on ne sentait aucun sentiment à travers lui. Sur la dernière photo il regardait l'appareil photo avec un air de détresse, les yeux mouillés, un tissu à la bouche et les blessures sur lui coulait du sang. Je suis minable face à cet homme. Je ne peux rien faire, je suis faible. Je me sens fatigué, je n'ai rien bu ni manger. Je sens que je vais périr dans cet endroit répugnant dans lequel je suis depuis environ 3 jours. Je traçais des traits comme ceux que trace les prisonniers pour compter leurs jours de captivités, avec un petit caillou pointu que j'avais pu m'approprié; Je ne pouvais qu'utiliser ma bouche. Son corps était sale et ses vêtements déchirés. Nous sommes au 4ème jour. Une lumière apparue, un homme ouvre ma cage, il dépose un bento composé d'un mélange de pattes, de salade, de viande et de fromage. Il a aussi un morceau de pain et une grande bouteille d'eau pleine. Il repart. Je n'aurai pas droit aujourd'hui a des coups de fouets !? Chaque homme qui avait pour habitude de venir lui faisait d'horrible chose tel les coups de fouets, les traces de marques au fer ou des traces faite main. Cet homme était différent des autres. Il avait l'air moins agressif et il venait de me nourrir. Cela voulait déjà dire beaucoup. 5ème jour, un homme rentre, et une routine habituel, des coups, des coups et encore des coups. Il repart. Les hommes font des allers et retours dans l'endroit où je me trouve. Je me sens comme un jouet qu'on tente de vendre ou plutôt un pushing-ball. 6ème jour, je crois savoir ce que je suis pour ces hommes. Une pute qui pourras leurs rapporter. Mais je suis un garçon, alors je ne comprends point la raison qui les poussent à faire ça. Venez- t-il d'oublier que plus tôt deux hommes avait réussi à l'exciter. Les allers et retours des hommes se poursuivre, à croire que je suis repoussant car il ne reste jamais bien longtemps, une manière de se soulager en me frappant et après ils repartent. Ce n'est pas que je me plains, mais sa reste vexant. 7ème jour, je n'ai rien bu ni manger depuis 3 jours, je suis affamé, je me sens sale car cela fait une semaine que je n'ai pas senti de l'eau couler sur mon corps, les traces de fouets et les brûlures sur mon corps s'infecter et mes vêtement ne me recouvre même plus. La porte s'ouvre. L'homme de la dernière fois est là, cette fois ci il n'as ni repas, ni boissons. Il est venu avec une veste, il ouvre ma cage et me tend la main. Il me couvrit de sa veste et me fit sortir de cet endroit. Je vois la lumière du soleil. Je vois enfin le visage de l'homme qui m'as nourris et m'as fait sortir de là. Ses cheveux d'une couleur blanche, ses yeux d'une couleur violette et ses lèvres sont... J'ai une étrange sensation dans la poitrine et mon ventre me fait des chatouilles. Sa doit être à cause des douleurs et le manque de nourritures. Il me fait rentrer dans une voiture et ordonne au chauffeur de démarrer. Je veux lui adresser la parole mais les mots ne sortent pas. Mon visage devient rouge et je me sens tout chaud. Nous sommes arrivées devant une grande maison, il me fait sortir de la voiture. On se trouve dans une grande salle à manger. Je n'arrête pas de me poser la question de qui il est. Je m'apprête à lui poser la question, mon cœur s'emballe vite et je ne sais pas comment il va réagir.
- Excusez-moi...
- Vas prendre une douche et rejoins moi ici après. Montre-lui le chemin.
Une maid lui montra le chemin. L'homme qui venais de le libérer le fixais du coin de l'œil. La maison était gigantesque.
Il a un ton assez froid et dominant. Je suis dans une chambre qui a l'air d'être emménager, préparer pour moi. Il y a une serviette et de vêtement propre. Une baignoire et une chemise de nuit. Un grand lit, une salle de bain. Mais la chambre semblait appartenir à quelqu'un. Je me dirige vers la douche. La sensation que m'apporte l'eau chaude est presque parfaite. Je sens le savon pénétrer chacune des partit de mon corps. Il laissa sortit un petit gémissement. Oui, il venait de s'exciter tout seule. Je m'empresse de m'habiller mais il y a des petit détails qu'il ne faudrait pas laisser paraître. Ayant repensé à son sauveur, il ne pouvait se retenir et eu une érection. Il venait de sentir pénétrer l'eau chaude et la mousse au plus profond de lui. Trop d'émotion qui se suive et il perdit le contrôle. Je me trouve à table avec lui, aucune discussion. Je vais essayer de tenter une approche subtile, sans trop de risque pour éviter toutes mauvaises interprétations. Puis j'y repense puis je me rends compte que je suis amoureux de lui. Ce n'est pas lui qui ne comprenaient pas !? Je tentais de m'en dissuader car un garçon n'est pas censé être avec un garçon, deux personne du même sexe ne pouvais pas s'aimer, c'est insensé. Si je luis dit, je pense qu'il sera du même avis ou qu'il m'aime aussi. Mais s'il ne m'aime pas, pourquoi aurait-il faite toutes ces choses à mon égard ?
- Uhm...
- Si tu veux me dire quelque chose tu devras attendre la fin du diner, car on ne parle pas à table.
Sur ces mots il n'osa pas parler de tous le diner. Il demanda la permission de sortir de table et partit en direction de sa chambre. "Son sauveur" quand à lui, le regardais se retirer. Un instant plus tard.
*Lemon*
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Do you Love me ?
General FictionJ'attendais simplement mon transport scolaire quand deux hommes m'ont Kidnappé, ligoté, enfermé dans un sachet et tranporté dans un camion de marchandise.