Vitre embuée de l'intérieur,
Je suis beaucoup trop froid.
Du printemps je brûle les fleurs,
La nuit ne tombera pas.
Je refais le monde dans sept mètres carrés
À force de tourner en rond, j'ai cru être libéré
Ma famille parle pas le même langage
Je n'ai plus la rage, je reste sage.
Pas de comptes à rendre,
Si mon âme existe, il viendra me la prendre.
Les vacances comme permis de repos,
En profiter c'est être feignant ou sot.
Épée de Damoclès
Créée de toute pièce.
Allers retours entre mes rêves
Et ma vie sans fenêtres
Chaque fois qu'il faut que je me lève
D'être né je regrette.
Fragiles certitudes
Mais tristes attitudes
Je disais aimer, mais puis-je ressentir ?
Ce que je veux, d'autres le firent.Le temps est Ombrageux
Visage dissimulé
Les larmes fuient les yeux
Malhonnête est l'attristéMonde grand, monde chiant.
Esprits vides cherchent guides.
Ils nient les sentiments
Mon âme prend des rides.
Sortir est devenu un exploit
Pourtant le monde est trop étroit.
Une histoire n'a pas de fin
L'existence n'a pas de destin
Une liste de choses à faire
Trop d'objectifs éphémères.
Pourquoi vouloir servir un grand dessein?
Quête de reconnaissance
On dit que le temps est assassin
Qu'en est-il de l'existence?
Les étoiles me regardent mal
Trop de sang sur mes gants sales.
Il y aura peut-être une suite un jour mais c'est de l'inspiration nocturne de qualité donc voilà. Enfin il y aura une suite mais chuuuuut
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Laisse moi écrire
PoetryUn recueil comme un autre. Nan j'ai menti. Il y a le talent en plus.