Je ne bouge pas mais la toile vibre.
Tu cours dans le filet et tu te crois libre?
Je ne veux pas être invité,
J'ai déjà ce qu'il faut pour me faire chier.
Dehors, c'est trop petit.
Continuez à ne pas vivre vos vies.
Toute chose est inutile
Arrête de penser au temps qui file.
Les amis imaginaires sont fréquentables.
S'il te plaît, lâche-moi, t'es désagréable.
Au centre comme contre les murs de la pièce,
Je suis celui qui frappe et celui qui se blesse.
Pourtant, j'ai peu de cicatrices.
Malgré la traîtrise la peau reste lisse.
J'ai déjà tous les succès.
Si je continue c'est pour m'amuser.Je n'aime pas trop le soleil,
Je décide de l'heure de mon réveil.
Même pendant nuit sans Lune
Je ne vois aucune lacune.(Je n'ai) pas besoin de votre attention.
Je parle à mes murs car ils sont moins cons.
J'ai peut-être pas d'amis, mais j'ai mes carnets.
Casque sur les oreilles, yeux rivés sur le papier.
Aucune cause à servir,
Tu ne peux pas m'asservir.
J'ai déjà choisi mes chemins.
J'ai un train de vie malsain.
Course vers le sommet,
Prends donc l'ascenseur du décès.
Toutes mes pensées se mélangent
Mais aucune ne me dérange.
Je lutte sans combat
Et je fuis en restant là.
Suis-je incompréhensible
Ou solitude rend invincible?
Je n'aime pas trop le soleil,
Je décide de l'heure de mon réveil.
Même pendant nuit sans Lune
Je ne vois aucune lacune.Bon bon bon.
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Laisse moi écrire
PoetryUn recueil comme un autre. Nan j'ai menti. Il y a le talent en plus.