Légère comme le vent, blanche comme le bonheur
Tu respires au rythme saccadé de ma respiration.
Une flèche d'écriture perfectionne ton ardeur
Qui dénigre toute possible interdictionDe crier mes propos sur ce morceau de papier qui se meurt.
Parfois tu es douce et tu incarnes l'amour
Parfois tu es sombre et tu dépeints ma mélancolie
Ce qui ne t'empêche de toujours
M'offrir la joie enrobée dans un colis.Parfois je te garde et parfois je te perds,
M'accrochant à toi comme on s'accroche à la vie
Dénuée de toute succombante misère
Détruisant notre présent sans trop faire de bruits.Plume, ma douce, ma tendre, mon oiseau frivole
Je te dois l'éternité de mes souvenirs,
Que tu accumules entre tes bras, sur les détails de ton col
Criant un espoir d'un proche Devenir.
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Contempler le monde
PoetryJ'écris des poèmes pour que le monde ne soit plus que poésie. Recueil terminé