L'Epée de la Vengeance { En Pause }

Prologue

( a/n J'ai mis cette musique car elle m'a inspiré pour écrire le prologue, donc vous pouvez l'écouter pour avoir un instrumental)

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Ces souvenirs me quitteront donc jamais. Ils me poursuivent toute les nuits. Sans répit.

Assise sur mes fourrures noirs, à cote de la cheminé ou les cendres d'un feu y git, le seul son présent est ma respiration rapide et saccadé. Elle rebondi sur les murs froids et épais du château. La fenêtre est ouverte, il y entre une bise glacial, annonçant que l'hiver rude approche.

Un merle est posté sur la fenêtre, ne se soucient de rien. La seule chose pure en cette pièce. La seule chose qui égaie ma chambre, au murs de pierre gris et sombre, dénudée de toute objet féminin. Seules mes trophées de guerre sont présent, ces lances, épées et boucliers pris a des ennemis.

La jeune femme repoussa ses couvertures et se leva pour traverser la pièce jusqu'a la fenêtre.

Sa longue crinière ébène ramené en chignon, elle alla au balcon. La lumière de la pleine lune formant un halo autour de son corps nue. Ses cicatrices monstrueuses, apparaissant comme des lignes nacrées sur sa peau bronzée. Ses yeux tels des trous noirs, observant avec un regard d'aigle le paysage présent. Le pic de la dent cassé, la neige qui recouvre chaque parcelle de ces terres. Le ciel recouvert d'étoiles qui brillait de mille feu, comme des diamants.

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Je serais ma mâchoire. Quelle connerie que ce paysage paisible. La vie n'a rien de paisible, la vie est faite de douleur, de souffrance, de promesses brisées, et de cœurs dechirés.

Le crépuscule n'est pas encore arrivé. Je traversai la pièce et me mis en quête de ma tenue. Apres avoir mis le bas, je mis le haut, et je fis l'erreur de regarder mon ventre. Les images de cette nuit défilant dans ma tête. Les cicatrices hideuses sur mon ventre me rappelait Lui sans cesse.

Apres avoir boutonné mon haut, j'accrochai ma ceinture noir. Je pris mon épée et l'attachais à ma ceinture. Sa poignée butant sur ma hanche meurtrie à chaque pas que je prenais.

Je traversais le long couloir obscur silencieusement. J'ouvris grand les portes et le froid s'engouffrât dans le hall désert.

Je marchais en direction du pré, au milieu de la foret, pour prendre mon cheval Ténèbres.

Il m'attendait comme tout les matins depuis que je l'ai recueilli pendant un orage. Sa robe aussi noir que de l'encre ressortait sur le manteau de velours blanc qui recouvrait le sol. Sa cicatrice sur son oeil droit se voyait au clair de lune.

Je le montai et partie dans la nuit obscur.

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Les autres chapitre seront plus longs au fur et à mesure de l'histoire.

Gros bisous!