Douzième chapitre : Rencontres, Communication Difficile

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Encore merci tesszouzou ;) et pour tous vos commentaires, et vos votes, ainsi que les encouragements ça me fait extrêmement plaisir <3 ^O^ 

Cuba, Santiago, quelque part dans les rues, 11 heures 20, point de vue de Dalyan :

Nous avions pu dormir dans la rue sombre, que nous avions quitter dès que le jour s'était levé. J'ai réussi a avoir Stéphanie au téléphone grâce au talent de voleur de Flavien, notez mon ironie. C'est mal de voler.  Elle m'avait rassuré en disant qu'elle était restée à Washington, et que Wheelie avait réussi à ne pas se faire choper. Ensuite nous avions réussi à avoir les filles au téléphone, Sydney m'avait prévenu qu'ils arrivaient pour venir nous chercher. Enfin, nous avions parlé de notre situations, jusqu'à qu'elle entendit Délia crier dehors et une sorte de bagarre.

Puis, plus aucune batterie.

Les autres ? Introuvables, voire pire, ils ne répondaient à aucun de nos appels. J'étais inquiet, il fallait aller les retrouver pour ensuite mettre au point un plan. Un plan qui pourrait nous ramener tous chez nous, mais ils étaient tous en danger, en plus Délia et Sydney, tous les autres, allaient se foutre dans la gueule du loup pour nous en venant à Cuba.

_ Dalyan ? Dalyan !

La voix de Flavien me fit revenir à la réalité, et j'avais eu l'impression d'avoir eu une claque.

_ Bordel, tu pleures ?! Me disait-il hébété alors que je sentais quelque chose couler le long de ma joue.

Je m'essuyais rapidement :

_ Tu sais très bien qu'il me faut plus que ça pour me faire pleurer, Flav' !

Il rigolait nerveusement avant de reprendre ce qu'il voulait me dire à la base.

_ Au faite... Je voulais te demander si tu voulais pas qu'on bouge, au cas... Au cas où.

Depuis quand il était autant peu sûr de lui-même ?

Je le regardais avec la plus grande incompréhension, puis haussais les épaules. Il n'avait pas tort, on pouvait pas rester plus longtemps.

_ Ils vont nous retrouver c'est clair ! En plus j'ai la dalle, râlais-je.

_ J'ai un peu d'argent s'tu veux, disait Flavien en fouillant sa poche. Tiens.

_ Garde, tu choisiras.

Il n'insista pas plus et nous nous engouffrâmes dans la ville, peuplée de monde incalculable, moi-même j'avais peur de perdre mon pote dans cette foule. Je lui pris donc le bras, pour ne pas qu'on se perde. J'entendis un rire moqueur derrière-moi.

Je m'arrêtais donc, le sourire éternellement agaçant de Flavien collé sur sa gueule.

_ Ouh, ça trompe déjà sa copine ? ~

_ Oh merde, ben la main alors.

Putain mais quel con ! J'avais complètement oublié qu'il prenait ça comme un geste intime ! Mais quelles manies bizarres aussi !

J'avais grave envie de me gifler.

Mais je ne faisais pas car il y avait des gens quand-même. Depuis quand prendre le bras de quelqu'un était intime ?? Alors ça...

_ Ah, messieurs vous êtes-là ! Interagit une voix masculine robotisée devant nous.

_ UN LUTIN ?

Il était petit pour être un transformers, mais trop grand pour être un lutin. Et puis, cliché sur cliché, les lutins ont toujours été verts, petits, avec des grandes oreilles. Il ressemblait plus à un majordome.... Rouillé ? 1 mètre 60 il faisait, je le dépassais d'un mètre.

Transformers x HumansOù les histoires vivent. Découvrez maintenant