J'ai le corps en miette et le cœur qui saigne.
Une vague de pincements déferle,
Alors que mes yeux de ta vue se plaignent,
De ne pouvoir entrevoir ta peau perle.J'aimerais toucher l'amour indolore,
Palper ta bouche de mille baiser,
Sentir entre mes doigts ta chaleur d'or.
Et ne plus bouffer de ce pain biaisé.Le mal de toi, devient mal de nous.
Mon destin erroné, ne peux te combler.
Ç'est le monde qui me baise, fait l'offensé.Désolé si cela te paraît fou,
Que c'est ainsi mieux pour lui ou pour toi.
Moi c'est mon cœur qui saigne, ça,malgré moi.
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Pensées intimement publiques
PoesíaJuste quels que vers, phrases, idée fusant de mon cœur débauché, vers mon âme. À mes aimé(e)s, mes aimant(e)s, mes amant(e)s. Un petit bout de moi, une manière de m'exprimer.