Alenna

Chapitre 7

J'étais inquiète. Je me tenais dans ce salon, celui de la demeure Serpentard, en attendant que l'on m'invite a entrée dans la salle de réunion. Mon bras gauche me brûlait, mais je n'y faisais pas attention. J'avais étais marquée une heure auparavant et je n'en concevais aucun soulagement. J'ignorais comment la réunion aller se passer, mais je savais aussi que c'était durant celle-ci que tout aller se jouer. Je soupirai en regardant une énième fois par la fenêtre le jardin du Manoir. J'entendais du bruit dans la pièce d'a coter, ainsi que quelque éclat de voix. Visiblement quelque chose semblait soi plaire, soi déranger les Mangemorts présent. Dans tout les cas, mon apparition aller provoquer un tôlé général. J'avais hâte de voir leurs réactions, face a cette surprise de taille, surtout quand Voldemort aller se rendre compte de mon état. J'attendis pendant ce qui me parut des heures, espérant et priant pour que tout ce passe bien. Puis soudain, la porte s'ouvrit, laissant place a Lord Malfoy, qui me fit signe de venir. Je le suivis donc et m'arrêta à coter du vieux Serpent, attendant qu'il m'introduise verbalement pour me montré a visage découvert et m'asseoir.

« - Bien, mes chère Mangemorts. Commença le Lord avec délectation face aux mines curieuses de tous. Je dois vous présenté notre nouvelle alliée dans notre cercles et notre organisation si fermer. Voici Alenna, qui a était marquée il y'a deux heure de cela.

Dés que mon prénom eu franchis la barrière de ces lèvres, je laissai tomber mon capuchons, montrant ainsi mon visage aux membres du cercle. J'observai brièvement les personnes présentent, reconnaissant parmi eux certains de mes anciens client qui devaient ce demander ce que je pouvais bien foutre ici.

- Et bien. Tu m'avais caché ton état lors de notre entrevus l'autre soir. Me dit-il en observant avec curiosité, pendant que je m'essayer à sa gauche.

- J'ai fais ce que tout bon Serpentard qui se respect ferrait, My Lord. Répondis-je d'une voix douce, un brin impertinent. Vous devez sans doute connaitre cet adage Moldu : « Prudence est mère de sureté ».

- Hum... En effet je le connais bien. Puis-je savoir qui est l'heureux père ? Questionnât-il alors en ignorant le choque que toute les personnes présentes affichait sur leur visage aristocratique.

- Non, nous ne sommes pas ici pour parler de ma vie privée. D'ailleurs, C'est un plaisir de vous revoir professeur Rogue. Lui répondis-je alors en balayant la table de mon regard vert.

- Miss Pott...

- Je ne suis plus une Potter depuis six ans professeur Rogue. Le coupais-je en faisant hoqueter toute les personnes présentent autour de nous.

- Qu'a encore inventé cet invertébré de Potter père ? Me questionnât-il alors en me fixant du regard, avec une lueur soucieuse que je ne lui aie jamais connus.

- Je crois, que je dois tous vous raconter pour qu'il n'y ait plus de doute quand a la raison de ma présence ici. Soufflais-je dépité et d'un air triste et las. Depuis votre attaque sur les Potter il y'a seize ans, après qu'Harry vous est vaincue, sans savoir comment, tout a changé pour moi. Je me souviens de tout, de votre attaque en particulier. Je n'en avais jamais parlé a personne, car personne ne m'aurais crue. Nous étions des jumeau, par ce fait, ont nous avait toujours fait dormir dans la même chambre et dans le même berceau. Mais après votre défaite, ont m'a séparé d'Harry et je ne sais pas pourquoi. Il a eu droit a une immense chambre, pendant que moi je me retrouvais dans l'ancienne chambre de notre Elfe de Maison, celle qui avait était notre nourrice. Quand nous eûmes tout d'eux l'âge d'être sous la tutelle d'un enseignant particulier, seul Harry eu droit a cela. Si Il n'avait pas pris sur lui de m'apprendre à lire, écrire et compter, je serais totalement analphabète et illettrée aujourd'hui. Tout se qu'un enfant était censé apprendre, je l'appris seule ou Harry me les appris. James et Lily m'ont appris à m'adresser à eux uniquement avec Père ou Mère, alors qu'Harry pouvait être plus familier avec eux. Sans compter que je n'ai jamais eu l'autorisation d'entré dans la bibliothèque familiale. Quand aux Elfes de Maison, au lieu de m'appeler Maitresse comme ils auraient dû, ont reçut l'ordre de ne pas le faire. Certain d'entre vous ignoraient qui j'étais, avant aujourd'hui, car le couple Potter a fait en sorte que personne ne connaisse mon existence ou que l'on me considère comme un être démoniaque. A notre rentrée, je n'eu le droit qu'a un seul uniforme scolaire neuf et a ma baguette. Si Harry n'avait pas insisté pour que j'aie mon matériel scolaire, alors je n'aurais eu que cela. Et bien sûr, ce matériel était d'occasion et très abîmer. D'où le fait que nous partagions tout lors de notre première année. Mais quand je fus répartie a Serpentard, les choses s'aggravèrent, car James l'appris le soir même. D'où ce qu'il c'est passer durant notre premier jour d'école. J'avais reçu son courrier et contrairement a celui d'Harry qui était chaleureux, le mien a était froid et menaçant. Et le summum de la matinée sa a été quand Weasley n°6 a était dire devant tout les premières années de Serpentard et Griffondor que même mes propres géniteurs était sûr que je n'étais pas leur fille. Durant l'année, nous avons appris que Lily était enceinte de jumeaux. Ils étaient nés quand nous sommes enfin rentrés, mais c'est là que ma vie a pris un tournant à 180°. A peine descendus du train, Harry fut transplaner par James a la maison, tandis que je dû appeler un Elfes pour me faire rentrée. J'ai voulus aller dans ma chambre, mais quand j'ai ouvert la porte, j'ai compris que j'allais payer très cher pour je ne sais quel raison. Ils l'avaient transformé en pouponnière pour les jumeaux. Là, James qui passer dans le couloir m'a clairement dis qu'il m'avait fais déménager vers l'aile est. J'avais obtenu un Elfe de Maison, mais en échange, je ne devais plus déambuler dans le Manoir, rester enfermer et surtout ne plus m'approcher d'eux. Pas besoin d'être Merlin pour comprendre se que cela signifier. Harry m'avait appris les traditions des Sang-pur, comme James les lui avaient enseignés.