Faut que le cordonnier, le berger, le marchant disent,
De coordonner car le noir n'est pas une marchandise.C'est une malchance dis-je de revoir un noir revendu,
Dans un continent qui est cette Afrique qu'on a fendu.L'esclavage reprend son chemin et c'est pas de l'alibi,
Le film n'est plus fiction demandez ceux de la lybie.
Qu'attendez-vous en tant que Présidents Empereurs ?
Qu'aurait servi votre pouvoir si cela prend de l'empleur ?Ne vous souciez-vous pas de la peur de nos parents ?
Alors qu'ils sont capturés, attachés, alignés par rang.
Pour être revendus à des inconnus qui disparaissent,
Pendant que vous arrosez les racines de la paresse.Est-ce la honte vous domine dans tous vos domaines,
Vous êtes tous incapables et vos conseillers de même.
La preuve est palpable la vente aux enchères continue,
Et compte tenu de votre insouciance, ôtez vos tenues.Au secours mon Seigneur efface nous ce triste passé,
On ne dort plus car le colon vient hanter nos pensées.
Oui, ce fou revient avec ses chaines et son long fouet,
On devient esclave et on se demande ce que l'on fait.Et à cet effet que l'Éternel nous donne sa miséricorde,
Pour que l'aventurier ne soit plus attaché par la corde.Je préfère la liberté même si j'ai rien dans mon ventre,
Et je ne suis pas surnois, suis noir mais pas à vendre.Texte inédit
Écrit le 17 Novembre 2017 à 23 heures 13 minutes.
Publié aujourd'hui, le 22 juin 2018 par manque de temps.
(Ma manière à moi de crier et de dire NON à ce qui se passe en lybie et d'autres endroits, l'homme noir n'est pas une valeur marchande !)
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Le cri de mon stylo ou Encre De Larmes
ŞiirLe Cri De Mon Stylo est : Une plume engagée, Qui défend ceux qui sont piégés. Une plume combattante, Qui diagnostique l'humanité agonisante. Une plume de Lubumbashi, Qui épargne l'univers du Gâchis... Une plume de la R...