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18

Sofia

Je commence à enlever sa chemise, et il retire mon haut. Ses baisers parcours tout mon buste avant d'enlever doucement mon jean.

Je lui enlève aussi son pantalon, nous sommes tous les deux en sous-vêtements.

« Tu es sur que tu le veux Sofia, parce que depuis le début j'ai l'impression que je ne t'aurais jamais.

- J'ai envi de toi Zayn...je murmure. »

Il continue ses baisers dans mon cou, et joue avec la bretelle de mon soutiens gorge.

«T'es sûr que tu le veux ? Il me taquine.

- Zayn... »

Il sourit avant de dégrafer mon soutiens gorge et de l'enlever complètement. Je l'embrasse fougueusement alors qu'il tente d'enlever ma culotte.

Il descend vers mon entre-jambe et l'enlève, je gémis d'impatience.

Je suis maintenant exposé complètement aux yeux de Zayn, et je veux qu'il m'appartienne.
Il embrasse ma poitrine qui monte et redescend à cause de ma respiration saccadée.

« Tu es tellement belle, il dit contre moi.

- Zayn, je le supplie pour qu'il se dépêche. »

Ma bouche devient sèche, il cherche un préservatif dans son tiroir et en trouve un rapidement. Il retire son boxer, l'enfile rapidement avant de revenir vers moi.

Il place ses bras sur les deux côtés de ma tête pour maintenir son poids. J'écarte mes jambes et il met ses hanches au dessus des miennes.

Il m'embrasse une dernière fois passionnément avant de se glisser en moi. Je suis surprise alors je lâche un gémissement.

Il fait des va-et-vient profond mais doucement, me procurant tellement de plaisir. Un grognement s'échappe de ses lèvres et nos gémissement sont synchronisé.

« Plus vite Zayn, je lance entre deux gémissement. »

Il m'écoute et accélère ses va-et-vient, la sensation est tellement merveilleuse que j'enfonce mes ongles dans son dos.

« Sofia, il grogne. »

Nos corps ne font plus qu'un, et nos gémissements sont de plus en plus fort.
après tant de résistance, je crois que je ne regrette vraiment pas d'avoir céder.

« Tu aimes ?

- Oui Zayn. »

Il entremêle nos mains ensemble et je veux que ce moment ne s'arrête jamais. Il scelle nos lèvres mais je suis obligé de rompre notre baisers pour arriver à respirer.

Il met sa tête dans mon cou quand l'orgasme me prend soudainement. Il gémit encore mon prénom, en continuant ses va-et-vient.
Puis il se retire de moi, et s'allonge en respirant fort.

« J'ai adoré, il déclare finalement. »

Je souris bêtement, j'attrape le draps et le ramène sur mon corps.

« Moi aussi, je réponds. »

On se couche face à face, et il caresse ma joue avec sa main.

« Tu vas mieux maintenant ? Je lui demande.

- Je vais merveilleusement bien. »

Il me sourit, et je me recroqueville contre lui. C'est à ce moment que je me rends compte que j'adore son odeur, et surtout être prêt de lui.