THE OATH OF THE HEART: An Unwavering Hatred

Ephémère

Mon synonyme était dorénavant assi à la table à attendre que tous ses invités soit servi. Une fois fait, tous les saltimbanques arretèrent leurs activités et commencèrent à entonner en coeur une chanson d'anniversaire pour leur nouveau Empreur, rejoignit par tous les membres de la noblesse. En même temps, je remarqua que le toit du palais perdait de son oppacité et je pus voir peu à peu le ciel étoilé avec la Lune, comme si la nuit était encastré au sommet du palais. A la fin de la chanson, la nuit fut éclaté par des explosion de lumières colorés. C'était vraiment magnifique!!!!

Une fois tout cela fini, chacun s'assit à sa place et mangea sa part de gateau. Je remarqua que William ne mangeait pas sa part et qu'il faixait un immense tableau qui était accroché juste au desssus de l'entrée principale. Sur le tableau, on pouvait voir la famille royale humaine au complet. Il y avait les parents de William, Castadel et Adriana, dans de somptueuses tenues. Castadel était debout et tenait dans ses bras Adriana, William, quant à lui, était debout entre sa mère et son père. C'était un tableau de famille magnifique et qui montrait l'amour que se portait mutuellement cette famille aux prunelles marrons. Je pu m'empêcher de m'introduire dans les pensées de mon voisin et je fus percutée par toute la tristesse et nostaligie que lui procurait ce tableau. Effectivemment, ce tableau a dû être fait la veille du commencement de ce cauchemard, puisque sur le tableau William doit avoir seulement six ans. Je me demanda comment serait sa vie si tout cela ne serait pas arrivé..... Il fêterait ses dix huit ans entouré des personnes qui l'aiment le plus et partargerait ce bonheur avec son peulple. Mais au lieu de ça, il est là, seul avec une bande d'hypocrite. Au moins, il est entouré pour ses dix-huit ans par ses semblables et non des étrangers -comme moi- .

Alors que chacun mangeait son dessert, une part d'un gâteau blanc comme la neige apparu devant moi et je pus entendre un "Joyeux Anniversaire à toi aussi" telle une caresse venant câliner mon coeur de la part du nouveau Empereur. Mais cette intention là sonnait faux à mes oreilles. Elle semblait trop douce et paraissait être un moyen de m'embobiner pour que sa Bouffonnerie soit sûr que je tombe dans son piège. Tout cela n'annonçait rien de bon.

Je n'eu pas le temps de me questionner d'avantage dessus, car l'heure des cadeaux étaient venus. Tous les comtes, ducs, barons et marquis humains offrirent les plus belles étoffes, soie et draperies de leurs comptés. Certains donnèrent quelques uns de leur régiments pour la garde Royal et d'autres les plus belles vierges de leurs pays. Mais c'étaient surtout les présents des dignitaires étrangers qu'on attendait le plus. La majorité jurèrent allégeance à sa Majesté, sauf deux. Le premier était le Tahereh Ent de Mafi, soit la main droite du Roi des Mafis, un peuple connu pour la qualité de leur armes, parmi les meilleurs de l'Univers. Les Mafis étaient très fins et filiforme avec de grands yeux de poissons et avaient la peau couleurs perle. Le second était le Baron Grisgfon, chef et commandant suprême d'un peuple de rebelle et vagabonds, les Krels. Des êtres trapus et à la peau boueuse, ils ressemblaient plus à des créatures de pierre et de boue qu'à autre chose. Ils étaient réputés comme un peuple violent et corrompu, mais qui pouvait faire la différence dans une guerre.

Le Tahereh Ent prit la parole et déclara

- Mon Roi ainsi que le peuple des Mafis, m'envoient afin de vous assurer que nous nous tiendrons à vos côtés, comme au temps de vos parents, pour assurer nos intérêts contre nos ennemis communs. Et bien sûr nous nous portons à votre disposition pour tous services pendant votre règne.

-Votre dévouement serat fortement récompensé comme toujours, répondit Ergzon

-Justement en parlant de nos récompense, intervient le Baron Grisgfon, depuis que nos peuples se sont alliés, les Mafis et les Krels ont  toujours donné plus que vos autres alliés.