chapitre 8

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Nous parlames des heures, c'est comme si je ne l'avais jamais perdu de vue. Jamais, c'était bizarre à peine rencontrer qu'il savait presque tout de ma vie, je savais presque tout de sa vie aussi comme le fait qu'il avat fini la fac de médecine mais a vit opter pour les affaires, il avait plusieurs entreprises dans le monde et même une compagnie d'aviation, il m'avait dit qu'il pilotait un avion militaire un FC Colombo de guerre, et j'avais apprit qu'il avait eu une passe dans sa vie qui lui a mener a aller dans des caps militaires puis faire la guerre, il c'était fait des camarades, qui malheureusement sont morts sur le champ de bataille, son histoire était tellement touchante. Mais il y avait une question qui me taraudait la tête, il fallait que je la poses.

- Dit moi depuis toute ses années tu n'as pas eu de femmes, de petites amies, rien ?

Il se mit a rire aux éclats, il était encore plus beau que Mickaël, il n'y avait pas de comparaison a faire, Carter était comme un ange tomber du ciel.

- Alors ? Carter

- J'ai bien sûr eu des aventures, des putes qui passaient par là, des petites chiennes en chaleur avec qui je prenais mon pied.

Je sentis comme une sorte de pincement, et soudain mes yeux me piquèrent. Qu'est ce que j'avais soudain ? Qu'est ce que je croyais qu'il avait fait voeux de chasteté ? Il était beau, jeune et fort alors bien sûr qu'il devait en avoir.

- Emmanuelle ça va ?

- Ou...ou...oui ça...ça...va. Juste que je me rappelais des trucs.

- Ces trucs doivent être assez désagréables, et triste pour que tu te mettes à verser de petites larmes.

Quoi ? Je pleurais ? Mais oui..oui oui je pleurais. Oh merde ! Qu'est ce qui m'arrivait ? Sûrement les chocs que j'avais eut aujourd'hui. Je passas mes paumes sur mon visage et elles disparurent. Il fallait que je m'éloigne de lui, il est le démon, il m'a toujours ridiculiser, traiter de façon misérable. Je ne pouvais pas rester là, et surtout avec lui. Je me leva et il me regarda puis je me tourna et là net il m'attrapa le poignet, j'étais surprise, je le vis prendre quelque chose de sa poche, une carte. Il me l'a tendit et ma lacha.

- C'est censée être quoi ?

- Une carte.

- Je le sais. Mais pourquoi tu me l'a donne ?

- Je te l'a donne car je m'envais la semaine prochaine et j'aimerais beaucoup que tu me fasses visiter endroits que tu connais ici.

- Il ya des personnes qui sont, charger de sa. Des personnes qui aident des touristes comme toi, bon c'est avoir si tu es un touriste comm les autres.

- Mais bien sûr. Je veux visiter cette ville, mais pas avec quelqu'un d'autre que toi.

- Non. Adieu

Je partis et il ne dit rien, je croyais qu'il allait encore l'ouvrir. Mais bon j'avais raison je n'étais pas une aide touristique pour qui le veut bien, j'ai un boulot, des patients, des occupations, mais bon sa, ça me regardait. Je partis, ver la porte d'entrée et l'ouvrit puis la referma en un vif claquement, il allait le manquer ce malade, mais bon je devais m'éloigner de lui, avec lui je redevenais comme avant si faible et là au moment où je serais le plus vulnérable, il m'attrapera. Je ne devais pas baisser ma garde. J'arrivis vers la grande salle et je vis Mickaël assit tenant un mouchoir remplie de sang, Pablo à côté de lui tenant son téléphone à l'oreille, et elena un verre de vin à la main ricanant sous son verre. Qu'est ce qui l'arrivait ? Elle était souvent en mode je dragues Mickaël mais la elle ricanait dans son coin. Je descendis et quand elle me vit elle sourit et venu vers moi, et elle m'entraîna, loin d'euent.

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