chapitre 9

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Je n'arrivais pas à croire se qui était devant moi. Mon salon était remplit de fleur toute plus magnifique que les autres. C'était quoi sa ? J'avanca et vit des roses, puis tulipes, puis des iris, et je ne sais quoi d'autre mais celle qui attira mon attention était la rose noir qui était sur ma véranda. Et bien sûr il fallait que ma véranda soit aussi devnue un stand à fleur pour que l'on vienne positionner sa ici, non mais quand je disais mon salon c'était une blague, c'était toute ma maison qui était remplie de fleurs. Je me dirigea vers ma chambre et là aussi il y avait des fleurs, sur mon lit des roses étalées, sur le parquet ils y'en avaient , je partis à la douche et vit aussi des fleurs étaler à l'intérieur de la baignoire. Non mais qui était assez malade pour faire se genre de choses ?! Je répartis vers le salon et vit un carton poser sur ma table. 《 À mademoiselle Brown 》je L'ouvris et vit, une robe à l'intérieur, je l'a sortie de la boîte. Et là, se fut le choque non mais, WOIHE !! Elle était MA-GNI-FI-QUE. Elle devait coûter très cher.

A l'intérieur, il y avait une boîte noire assez plate, je l'ouvri et vit un collier, assez fin il était de la même couleur que la robe et lui aussi il devait être très cher, non, il devait valoir des millions si on cherche bien.

Je continua ma quête, et vit une autre boîte mais celle ci était un peut plus large que l'autre et plus épaisse, je l'ouvris et tomba sur des escarpins noir. Enfin ! sa me change du blanc. Je me demandais encore qui était assez fou pour m'envoyer sa ? Elles étaient magnifiques elles aussi.

Il n'y avait plus rien dans la boîte même pas un mot, rien. Je déposa tout le contenue de celle-ci a l'intérieur et la ferma, comme elle était venue. Je me leva et vis une autre boîte au sol. Oh non pas encore j'en avais marre moi, des boîtes à la con la. Je l'ouvris, et vit des fleurs, oh ! Comme c'était si soudain. Je note bien l'ironie..

Je mis ma main à l'intérieur, et toucha quelque chose de dure, je le prit et, oh ! Coïncidence une autre boîte. Mais celle-ci était assez vieille on dirait.

- Oooh !

Je plaça ma main devant ma bouche, elle était toujours là. Je savais que c'était lui qui était a l'origine de tout sa quand je vis cette boîte, elle n'avait pas changer. Je l'ouvris et tomba sur des anciennes photos de moi...adolescente, partant avec mes frères et soeurs à l'école, je crois que c'était mon père qui avait filmer sa, je pris une autre et sur celle-ci il y avait ma mère et mon grand frère, nous étions à la cérémonie de diplôme de ma grande soeur Élisabeth, puis il y avait des photos de Carter et moi petits il jouait au foot et moi hurlant derrière lui, je pris une autre et là il y avait carter et moi jouant aux jeux vidéos je dirais que là nous avions treize ou quatorze ans comme sa. Puis une autre ou carter et moi nous nous sommes embrasser pour la première fois, c'était dégueu car personnes ne connaissaient vraiment le faire. Et dire que j'aimais se type mais ce qu'il avait eu à faire me laissa un goût amer à la gorge et je décida de déchirer les photos où ils y avaient sa tronche et la mienne. Je ferma la boîte et la souleva avec les photos que j'avais déchirer afin de mettre les photos dans ma chambre et celles déchirées à la poubelle comme il se devait. Je vis une enveloppe blanche, signer Carter Bersek, comme si c'était pas suffisant. Je l'a prit et l'ouvrit, il avait écrit cette lettre, je le savais, son écriture n'avait pas changer. Toujours aussi moche.

Emmanuelle, tu sais que je ne suis pas un garçon très romantique. Et de toute façon je ne l'ai jamais été et vu que je ne le suis pas, je ne le serais jamais. Et merde alors! Je sais qu'une lettre ne doit pas comporter mes expréssions mais io faut que je remplisses cette feuille et je ne sais même pas pourquoi je t'envoie tout sa. Sûrement car tu t'es enfui du gala car tu avais à protéger ton amant de moi. Mais je te dis qu'il m'a faillu des couilles, de vraies couilles, des dures pour t'écrire sa et un courage surhumain. Je t'envoie sa car je veux savoir si tu me feras visiter la ville et te demander pourquoi tu es parti aussi vite avec tes amis et ton amant. Bon bref je m'en fou, je te donne mon mail, car les lettres et moi nous fesont de la merde.

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