chapitre 10

19 3 0
                                    

J'étais à mon huitième pot de fleurs. Oui ! J'allais enfin terminer tout le bénévola fleural que je faissais depuis qu'elena était parti avec des tacs de roses que le livreur avait emmener. Mais malheureusent sa ne s'arrêtais pas,il envoyait encore et encore. Dès que je donnais deux quatres autres revenaient, j'en avais marre de lui et de ses fleurs, maid je savais qu'il allait se lacer, ou du moins je l'espère, je n'ai plus rien à voir avec avec lui, il faut que que je renvois toutes ses fleurs au plus vite.

- Emma tu vas bien ?

- Oh oui ! Ça va. Alors que veux tu ? Je croyais que tu jouais avec toute les fleurs ici présentes.

- Oui, mais moi je veux rentrer chez toi. Je veux suivre la télé. Surtout cette émission que j'avais regarder quand j'étais venue chez toi.

- Okay nous allons y aller Isabella. Ne t'en fait surtout pas, je reçois quelque patient et ont s'en va. Ne t'inquiète pas.

- Okay mais fait vite je suis fatiguée de toutes ses couleurs.

- Donc tu ne voudras plus venir à la maison alors.

- Pourquoi ?

- Car il en a des tacs. Des tacs et des tacs ma chérie.

- Abonh ?!

- Oui tes tonnes de fleurs.

- Alors c'est que ton copain doit beaucoup t'aimer, alors ? Car le nouveau copain de maman lui il ne l'offre jamais rien à part des bleus. Il l'a frappe. Son nouveu travail lui donne beaucoup d'argent, souvent même elle fait des voyages, et elle revient avec des tacs et des tacs de mallettes, toutes remplisent les unes que les autres d'argent.

Cette histoire que la petite Isabella me racontait me faisait très peur. J'avais peur, où est ce que Ryla est allée se fourer ?

- Et elle s'occupe de toi ?

- Oh oui ! Elle m'a inscrite dans une nouvelle école....Pou...Pou...Pour des personnes malades comme moi.

Je regardis Isabella se mordre la lèvre inférieur et baisser la téte. Elle avait honte d'elle, elle avait honte de sa maladie. Je m'approchis d'elle, et elle commença à reculer sur son siège. Oh non ! Sa crise recommençait encore. Je me stoppa devant elle et m'assis, pour quelle puisse me voir.

- Écoute, je crois que tu n'as pas besoin d'avoir honte de toi Isabella. Tu n'as pas demander cette maladie, tu n'as pas besoin d'avoir honte d'elle car tu te trouves différentes des autres enfants de ton âge.

- Mais....mais...je suis malade Emma. Je suis très malade, et même si on me met dans les conditions nécéssaire. Pour que je ne me sente plus malade, je le serais toute ma vie. Tu comprends sa Emma ? Je...je...je...

Quand je vis des larmes couler sur qon petit visage tout rouges. Mon coeur se fendit, je ne voulais pas la voir pleurer de la sorte, je ne voulais pas. Je m'approcha doucement d'elle, et je l'a serra aussi fort que je le pouvais. Et elle ne s'arreta pas de pleurer. Je me demande si elle a déjà parler de la façon dont elle persevait sa maladie à sa mère. Car il ne suffit pas de soutient matériel, il faut aussi un soutient moral. Car même si tu as de belles choses, une enorme richesse comme celle de crésus tu ne seras jamais heureux. Car comme disait ma mère mieux vaut une vie heureuse et pauvre que d'une vie riche et malheureuse car elle n'apporte rien de bons. Et sà c'était vrai, et en parlant de maman je devais l'appeler, je devais appeler toute la famille afin de savoir comment ils se portent tous. Ils me manquaient tous, car dans une faille de quatre enfants nous pouvons dire que nous étions très animés. Bref j'aimais ma famille plus que tout, mais pour l'instant je devais me concentrer sur la petite Isabella, elle était si triste.

FOR US Où les histoires vivent. Découvrez maintenant