FOR US

chapitre 12

Je ne comprenais pas se qu'il racontait là. Je devais l'appeler ? Ah ouais ! Avec tout sa j'avais complètement oublier de l'appeler pour qu'il vienne prendre toute la merde qu'il est venue déposé chez moi la. Bon je devais avoir un règlement de compte avec lui. Et comment avait il eu mon numeros ?

- QUOI ?! QUOI ?! TU ES MALADE ? TU PENSES QUE MOI EMMANUELLE JE DEVAIS T'APPELLER POUR TE DEMANDER DE ME BAISER ? NON MAIS TU ES MALADE ? ET COMMENT TU AS EU MON NUMEROS ? ET OÙ SONT MES CLÉS ?

- Arrêt DE ME CRIER DESSUS. OK ?

- Je n'arrêterais pas car se que tu as eu à faire c'est un vole. Tu me voles mes clés et tu oses me dire que j'arrête de te crier dessus ?

- Mais tu viens de le faire.

- Quoi ?

- De me crier dessus

Oooh ! Le chien ! le fils de, mais quel connard !

- Que me veux tu ? as vingt trois heures ? Tu ne penses pas que certaines personnes comme moi, oui comme moi je répète. Travail ?

- Je le sais. Mais je veux te parler, Sa m'énerve que tu sois aussi chiante, car tu ne peux pas savoir à quel point j'ai regarder mon télèphone hier et aujourd'hui afin de guéter le moindre appel de toi. Car oui je veux que tu me fasse visiter la ville, je sais que tu vas me dire qu'il ya des personnes pour sa, mais je te veux toi et personne d'autre.

Ses derniers mots auront puent faire fondre le corps de n'importe quelle fille si elle ne connaissait pas bien Carter, mais vu que moi je connaissais se démon je ne pouvais que rire aux éclats, même si sa me faisait un peu mal, car oui au fond je savais.

- Ooh ! Bravos Bersek , Bravos tu as fait des progrès niveau drague.

- Tu te fous encore de ma gueule toi. Mais je m'en fou, sache que demain je passe te chercher à ton boulot. Et je ne veux pas de non qui tienne.

- Et tu penses que moi, je viendrais aussi avec toi ?

- Oui, qu'est ce que tu crois ?

- Tu te crois dans un monde ou la vie est écrit sur tout les noms des gens appartient à carter Bersek ?

- Oui, mais je n'obtiens que se que je veux vraiment. Et toi, je te veux.

- Bonne nuit....

Je raccrocha et me mit en position foetus serrant mon téléphone contre ma poitrine. J'avais ressenti quelque chose quand il prononça ses derniers mots, c'était quoi son délire ? Quel salop ! Et sur cette merveilleuse injure de Carter je dorma, on dirait qu'il fallait qu'il m'appelle pour que  je puisse enfin dormir.

       
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Tu ne seras jamais quelqu'un de bien sache le, espèce d'ingrate, pour qui te prends tu ? Tu as quoi de plus que les autres ? Tu as quoi de plus pour qu'il t'aime toi ? Pourquoi es tu née sale chienne.

Je me reveilla, en sursaut, ce rêve ou plutôt ce cauchemars que j'avais fait remontait à plusieurs années, je devais avoir quinze ou seize ans. Je me souviens que cette femme ne m'avait jamais vraiment aimer, elle ne voulait pas que je reste à la maison, ou même que j'existe. Cette femme que j'appelais ma mère ne m'a jamais aimer. Elle ne voulait pas de moi dans sa vie, elle avait toujours le besoin de me faire du mal, elle avait toujours ce besoin de vouloir me faire travailler comme une dingue. Et tout sa devant un pére bouche bé puisque je n'étais pas sa fille bien évidemment, je devais apprendre, à vivre avec ce manque d'amour. Je ne pouvais pas me plaindre j'allais à l'école, je mangeais, je buvais, je dormais. J'ai toujours été le genre de personnes que l'ont discréditaient facilement, même quand je ne faisais rien, ont m'a toujours gronder soient pour les bonnes raisons ou pour les mauvaises, mais je peux dire que les mauvaises raisons il y'en avait.....
      
         Je regardi mon téléphone et vit plusieurs appels manquer. Il était trois heures du matin, et je me demandais quel dégénerer à trois heures du matin pouvais décider d'appelé les gens. Et soudain je me rendi compte qu'un dégénérer j'en connaissais. Carter bersek. Je pris mon téléphone et vit qu'il y'avait dix messages de carter et trois appels d'Elena. Je décida de voir les messages de carter je gardes les bons messages pour la fin.