chapitre 11

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Je m'installe bien dans mon siège et baisse mes lunettes sur mon nez. Drogo monte à son tour.

Drogo : Ça va ma puce ?

Je lui réponds d'un signe de tête, il démarre et nous partons. J'enlève le CD et mets mon iPod. La musique "la matrice" ce lance. Suivie de "la vie est un combat" en hardstyle.

Nous arrivons au manoir j'éteins le lecteur avant qu'une autre musique ne se mette en route.

Drogo : Peter est rentré, on va pouvoir rentrer.

Moi : Ok. Aller ma puce tu peux te détacher, et descendre.

Je tiens mes roses, et soulève mon siège pour la faire descendre. Drogo prend les sacs de sa sœur, je remets mon siège, et dépose mes roses délicatement.

Lorie : Encore merci Rose.

Moi : De rien ma puce.

Je referme la porte, et nous rentrons. Drogo passe son bras dans mon dos, en me tenant par la taille.

Drogo : Ça va ma belle ?

Moi : Oui ça va.

Arriver en haut, Drogo dépose les sacs de Lorie sur son lit.

Drogo : Lorie va dire à Peter qu'on est rentré.

Lorie y va en courant, Drogo
m'emmène dans son ancienne chambre, il me prend dans ses bras.

Drogo : T'es sûr que ça va ?

Moi : Non j'aurais besoin d'être seule quelques minutes.

Drogo : Pourquoi ?

Moi : Car j'ai besoin d'évacuer la pression.

Drogo : Pourquoi tu veux pas que je reste ?

Moi : Je ne veux pas que tu me vois pleurer, car c'est la seule façon que je connaisse pour évacuer ma colère sans rien broyer.

Drogo : Ok, la salle de bain est là-bas.

Moi : Merci.

Je l'embrasse, et entre dans la salle de bain. Je m'assois contre le mur derrière la porte, je mets ma tête entre mes genoux, laissant mes larmes s'échapper. Quelques secondes après la porte s'ouvre, Drogo me porte jusqu'à son lit et m'installe sur lui. Je le sers dans mes bras, tout en continuant de pleurer. Il me caresse les cheveux sans rien dire, quelques minutes passent, avant que je commence à me calmer.

Drogo : Ça va mieux ma douce ?

Moi : Oui merci, mais avoue que tu l'as fait exprès.

Drogo : Oui, s'il faut je recommencerai, mais dès que je les vois je les défonce.

Moi : Non ça sert à rien, je crois qu'ils ont compris.

Drogo : Ils avaient pas à te toucher, j'aurais pas dû vous laissez seules.

Moi : Tu n'y es pour rien. Si tu n'étais pas venu avec nous, ça aurai pu arrivé aussi.

Drogo : Mais là, j'aurai dû être là.

Drogo le véritable amour (tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant