Chapitre 61

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Mercredi nous avons fait toutes les démarches qui nous on pris une bonne partie de l'après midi, aujourd'hui c'est le grand jour, dans quelques minutes je m'envole avec mon homme à la montagne. Nous sommes installés en première classe, malgré le confort je ne peux m'empêcher de flipper. J'ai toujours éviter les voyages en avion, mais là je n'y échappe pas. Je claque des dents ce qui amuse mon homme, le décollage est annoncer lorsque l'avion s'élance je suis accrochée à mon siège, et écrase la main de mon homme qui ce trouve dans la mienne. Une fois dans les airs je me détends légèrement, Drogo retire sa main de la mienne et bouge ses doigts pour les dégourdir.

Drogo : t'as de la poigne bébé.

Moi : désolé mon coeur.

Drogo : c'est pas grave tu m'as juste exploser la main, dit-il en ricanant.

Il nous détache et me prend sur lui où je me blottis, ses bras protecteurs m'enveloppent et me serrent contre lui. Il me caresse tendrement l'échine et je me détends peu à peu.

Drogo : ça va mieux petit coeur?

Moi : ouais.

Drogo : j'ai attendu ce week-end avec impatience pour t'avoir que pour moi.

Moi : moi aussi mon coeur, rien que nous deux pour le week-end sans ados. Je vais pouvoir me donner librement à mon homme.

Drogo : hmmmm j'adore quand tu te donnes à moi, surtout qu'en ce moment tu n'as pas froid aux yeux.

Moi : et c'est à cause de qui ?

Drogo : je ne fais rien, je propose.

Moi : t'es sûr que tu fais rien ?

Drogo : presque rien alors.

Moi : mon chéri ton âge te fait pedre la mémoire.

Drogo : tu insinues que je suis vieux, dit-il amuser.

Moi : ça dépend pourquoi? Dis-je avec ironie.

Drogo : j'adore tes lentilles très original, dit-il moqueur.

Moi : bah tu voulais que je dise quoi ?

Drogo : je sais pas.

Moi : et toi tu les aimes mes yeux ?

Je bats des cils tout en lui souriant malicieusement.

Drogo : je les adore tout autant que toi petit coeur.

Moi : c'est que tu es charmeur.

Drogo : j'ai une belle femme qui bat des cils pour moi, c'est normal que je la drague un peu.

Je l'embrasse tendrement tout en lui caressant la nuque du bout des doigts, sa langue s'insinue lentement entre mes lèvres. Ma langue va à l'encontre de la sienne échangeant de douces caresses. Je lui donne un dernier baiser, et soupire d'aise.

Drogo : ce soir on ce fait un petit resto?

Moi : oui en plus ça serai la première fois.

Drogo : c'est vrai qu'on c'est jamais fait de resto en amoureux?

Moi : et s'il y a une patinoire découverte, on ira y faire un tour?

Drogo : oui t'as de la chance que je sais en faire.

Moi : bon bah ça va j'espère que tu en fais mieux que moi.

Drogo : pourquoi ?

Moi : ce qui m'arrête c'est les parois, dis-je en rigolant.

Drogo : je t'apprendrai c'est comme le roller, sauf que sur les patins les freins sont devant.

Moi : j'ai jamais connue les freins sur ça, ou plutôt j'ai jamais vraiment réussi à m'arrêter.

Drogo le véritable amour (tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant