Le souffle couper, inonder par le sueur dû à l'effort physique que je viens de faire preuve, Je courais comme une malade dans les ruelles sombres et désertés de Paris. Il n'etait que six heures du matin et l'hiver dans tous ça.
Courir a toujours été pour moi une des meilleurs façon d'apaiser ma colère, ma haine qui me ravageais de jour en jour. J'avais l'impression d'être en colère contre tous le monde, contre moi même et surtout contre l'imbecil qui me sert de père.
À chaque fois que je le voyais, j'avais une vision rouge et noir, des envies de meurtre me montaient à l'esprit. Pourtant j'ai toujours été vulnérable devant lui, je n'ai jamais su me défendre face à lui. Sa présence, sa voix, presque tout chez lui me tétanisais.
Trente minutes après me voilà devant ma Villa essouffler, je m'arrêtais, essayant vaguement de récupérer un petit bout d'air pour mes pauvres poumons asséchés. Je ne sais même pas combien de kilomètres j'ai courus, mais j'suis sur que j'ai battu le score.
Mon téléphone vibra dans ma poche à ce moment, m'indiquant l'arriver d'un nouveau message. Sachant déjà qui peut bien se permettre de m'appeller j'ai ne pris même pas la peine de le lire.
Il doit sûrement être très inquiet, en sortant ce matin je ne lui avais rien dit car j'avais besoin d'un peu d'espace. Un sourire se désigna sur mes lèvres en imaginant sa mine inquiete.
Les portes s'ouvrent et la première chose que je vois n'est autre que Herman mon garde corps et chauffeur accessoirement. Avec son costume noir impeccablement repassé, il avait le visage crispé, les sourcils froncé et plusieurs plis ont pris place sur son jolie petit front, témoignant d'avantage ses états d'âme.
Il se dirigea vers moi dans une démarche félin. Herman est le genre d'hommes qu'on n'aimerait pas avoir comme ennemis. Il avait la carrure et la personnalité qui vous font froid dans le dos. Je l'esquivai avec justesse sachant déjà tout ce qu'il va me dire.
"_ Pas maintenant Herman, pas maintenant. J'ai besoin d'une bonne douche bien chaude.
_ Êtes vous entraint de vous foutre de ma gueule Mademoiselle Pereira, un appel de votre part m'aurais bien éviter tout un stresse à moi et tout les cris qu'ont subi ces pauvres gardiens vous ne pensez pas? Dit il en me suivant des pas."
Une des choses à laquelle je haïs chez Herman, c'est la façon dont il s'adresse à moi. Il est d'un franc parler qui m' énerve tellement. Moi qui aime tant être craint, respecter et avoir toujours le dernier moi, faut dire qu'avec lui mon égo prend pas mal des raclés.
Il n'a jamais eu peur de me dire mes quatre vérité ou me remettre en place. Si c'etait une autre personne j'aurais dû déjà le viré. Peut être sait-il qu'il est un élément indispensable tant par son dévouement et son travail, pense t-il que pour cela je ne peut pas me débarasser de lui? C'est fort probable.
"_ Vous m'étouffer Herman et j'avais besoin d'un peu d'intimité. Dis-je en ne peut plus sérieux. Clara, vous m'apportez mon petit déjeuner en haut. Continuais-je en coupant Herman dans son élan.
_ Oui Mademoiselle tout suite. Répondit la jeune domestique de trente et cinq ans. "
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Assise derrière, dans ma Audi A3 blanc, j'etais concentrer sur mon PC, pendant que Herman conduisait tranquillement la voiture. Seulement une voiture sortit de nulle part a faillit nous écrasé à ce moment.
Prise de cour, mon PC tomba par terre, pendant que moi je m'accrochais avec difficulter à la voiture, essayant de garder mon équilibre. Si Herman n'etait pas un chauffeur très doué c'est sûr qu'on aurait partie en fumée.
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Sauve Moi: Flamme Dangereuse[ EN COUR... ]
RomanceGarce, égoïste, arrogante, manipulatrice, impitoyable et sexy à en mourir... C'est ce qu'ils disent d'elle maintenant... L'image qu'elle a choisi d'envoyer afin de tromper ses semblables... Un masque qui lui a été imposer à porter malgré elle. Quan...