L'Amour et la Passion, sont de la même famille

Chapitre 1

Je n'aime pas trop la décoration de mon appartement, ni même le quartier où il se situe d'ailleurs mais, pas au point de souhaitais qu'il brûle,malheureusement c'est exactement ce qui ce passe en ce moment même sous mes yeux. Il y a tellement de fumée qui sort du vieux bâtiment fait de vielles briques orange et rouge face à moi que j'ai peine à reconnaître mon immeuble, mais aucun doute n'est possible, le numéro 52 indique clairement que l'immeuble en feu est bel et bien celui dans lequel j'habite. Les pompiers qui s'activaient pour éteindre l'incendie peiner à éteindre les flammes qui se propagées aussi rapidement que soufflé le vent. J'en suis maintenant certaine, moi,Tessa Williams, du haut de mes 27 ans, je me retrouvais sans logement. Où je vais passer cette putain de nuit maintenant ? Ok, déjà je ne vais pas rester là à regarder ma vie partir enfumée, je préfère encore vider quelques shots, histoire de retarder le déferlement de tourment mental qui est sur le point de me submergée.

Je pousse aisément la porte du bar qui se trouve quelques rues plus loin, une odeur d'alcool et de sueur me pris par la gorge, mais pas question de faire demi tour j'ai besoin de ces verres et le plus tôt possible. Je m'avance lentement vers le bar où se trouve plusieurs tabouret en métal noir qui ont l'air d'avoir servis plus que de raison, arriver à la hauteur du bar, je commande 3 shots de tequila et m'assoit négligemment sur l'un des tabourets de libre. Je me trouve un coin assez à l'écart pour ne pas entendre les jérémiades de la fille bourrée et de ce que je présume être son mec. Le bar est plutôt basique, le comptoir a du éponger pas mal de verres renversé ou même cassés, les tables plus loin ont l'air d'être là depuis bien avant ma naissance, et le seul billard qui trône au milieu de la pièce je me demande encore de quel couleur il est tellement il est recouvert d'une couche de saleté. Le barman reviens vers moi avec mes 3 verres, les poses devant moi et tant la main, à croire qu'il a peur que j'oublie de payer après avoir bu ces verres. Je lui fourre les billets dans la main, et baisse la tête afin de commencer enfin à m'envoyer ces petits trésors.

Après avoir vidé cul sec 2 verres sur 3, je sors mon téléphone et parcours mon répertoire histoire de voir chez qui je pourrais squatter cette nuit. J'arrive sur le numéro de Brad, j'hésite, puis finalement je verrouille mon téléphone et le laisse sur le comptoir pour saisir mon dernier verre. Pourquoi je devrais l'appeler ? On est même plus ensemble de toute façon alors je me vois mal lui demander ce service là. Tout avait tellement bien commencer pourtant avec lui, je l'avais trouver attirant dés la première fois que je l'ai vu, il était venu dans le café expresse dans lequel je m'occupe du comptoir, « Coffee and time », quel nom à la con ! On avait discuter chaque matin pendant plus de 2 semaines avant qu'il ose m'inviter à sortir. J'avais appris qu'il travaillé pour la boite d'informatique pas très loin du café. Et de fil en aiguilles on avait commencer à se fréquenter, puis à s'aimer... Du moins moi je l'aimée j'en étais certaine. Nous sommes restés ensemble un peu plus de 7 mois, et il a fini par me quitter, au téléphone ! La raison ? Brad avait quelques soucis personnel, du genre a l'empêcher de vraiment s'impliquer sentimentalement, du moins c'est le discours auquel j'avais eu le droit. Je ne doutais pas de son amour, mais je pense qu'il n'était pas assez fort pour qu'il ai suffisamment de volonté à régler ses problèmes pour moi, pour nous... Alors il à dû préférer la rupture plutôt que d'essayer de me donner ce que je réclamer de notre relation. J'en ai sacrément baver après sa, je trouvais les journées atrocement longue et sans intérêt, et puis un jour j'ai commençais à m'apercevoir qu'il me manquer un peu moins, et le jour d'après encore un peu moins, jusqu'à ce que je ne ressente que de la déception et une pointe de colère lorsque je penser à lui. Cela fais 4 mois que nous avons rompu, alors l'appeler à l'aide aujourd'hui, non merci.