Chapitre 5

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En sortant du bain j'ai seulement dit à Daryl que j'allais me coucher et puis je suis parti, il n'a rien ajouter et ne sembler pas vouloir le faire. Me voilà maintenant dans mon lit, seule, pensant sans cesse à ce qui venais juste de se passer dans la chambre face à la mienne. Ce fus la partie de jambe en l'air la plus intense de toute mon existence, ses gestes étais d'une telle sauvagerie, d'une telle puissance. Son envie de moi fut aussi forte que mon envie de lui. Franchement, ce sauter dessus comme on l'as fais, juste après l'avoir gifler, je n'aurais jamais pu le prévoir. Mon corps nu sous le drap recommencer à devenir chaud à force d'y penser encore et encore. Dans un geste de frustration total je me tourna énergiquement sur le ventre, les bras replier sous l'oreiller et le drap me recouvra juste le bas du corps. L'air de la chambre sur mon dos nu me fis frissonner. Je ferma les yeux, essayant d'ignorer les images de nos débat qui surgir dans mon esprit et tenta de trouver le sommeil. 

10 longues minutes et toujours aussi éveiller ! Le silence de la nuit fut rompu quand j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, puis des bruits de pas se rapprochèrent lentement de moi, puis je sentis une main glissée sur mon dos, de bas en haut dans un geste d'une lenteur éprouvante. Malgré tout je ne bougea pas, j'hésitais entre faire semblant de dormir ou me retourner afin de l'encourager à approfondir ses caresses. La douce caresse disparue pour laisser place à des lèvres humide qui déposer plein de baisers le long de ma colonne, jusqu'à ma nuque, puis dans le creux de mon cou et de nouveau les frissons s'étalèrent partout sur mon corps. Je sentis son sourire contre ma peau, l'effet qu'il avait sur moi le réjouissait sans aucun doute. Je mis fin à cette douce torture en me retournant vers lui cachant ma nudité comme je le pouvais avec mon bras. La faible lueur qui s'échapper de la fenêtre me permis de voir à peine son visage, mais je pouvais sentir son regard se baladant sur mon corps. Ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes, il m'embrassa d'abord tendrement, puis plus profondément, tout en écartant mon bras de devant ma poitrine. Daryl s'installa entre mes jambes en écartant le drap qui séparer nos deux corps, sans jamais cesser de m'embrasser. 

Ses mains se baladaient en toute liberté sur mon flanc, mes hanches, mes cuisses, pour revenir sur mon ventre et enfin se poser sur mes seins. Je tirais légèrement sur ses cheveux pour l'approcher encore plus prés de moi. Il s'arracha bien trop vite à mon goût pour recouvrir mon cou de baiser, puis il descendis sur ma poitrine, ma respiration devins saccader. Il pris enfin mon sein en bouche, le titilla de sa langue, le mordilla par endroit, sans cesser de me pétrir délicieusement l'autre sein. Je n'eus aucun contrôle sur les gémissement qui s'échappaient de ma bouche. Daryl, de sa langue, entrepris de descendre le long de mon ventre pour atterrir sur mon pubis. Lorsqu'il passa sa langue sur mon clitoris mon corps se souleva sous l'effet de cette sensation soudaine. Sa langue me torturer et me régaler à la fois. Mes mains accrocher dans ses cheveux, je gémissais son nom à en perdre la voix. Lorsqu'un orgasme explosa dans tout mon corps, je m'accrochais désespéramment au draps

Tessa : Mon dieu Daryl !

Toujours entre ses mains, il remonta sa bouche le long de mon corps, m'embrassant et me mordillant jusqu'à arriver a mon visage où il m'embrassa passionnément. Son sexe emprisonner dans son boxer, appuyer durement contre mon bassin. Je passa ma jambe autour de son flanc et bascula afin de me retrouver à califourchon sur lui. J'en profita à mon tour de le goûter sur tout le torse, palper ses abdominaux, frotter mon bassin contre le sien. N'y tenant plus je descendis rapidement son boxer. Aussitôt je pris son sexe en main et entrepris de lent va et viens. Son sexe dans ma main peser lourd et il n'avait rien a envier à n'importe quel hommes. Daryl siffla entre ses lèvres et ce simple son m'encouragea davantage a accélérer la cadence, je le masturber plus rapidement. Son souffle rauque résonner dans mon intimité.

L'Amour et la Passion, sont de la même familleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant