Tessa vit une passion dévorante avec Daryl, le frère de son ancien petit ami.
Peut-elle réussir à vivre en cachant ce qu'elle ressent réellement au fond d'elle même?
Peut-elle se satisfaire uniquement d'une relation physique?
La relation qu'elle en...
Un brouhaha un peu plus loin sur ma droite, à quelques mètres de la voiture attira mon attention mais, avec la foule je ne voyais rien de ce qui pouvait bien ce passer.
??? : Merde, poussez vous !
Je me releva si vite que l'homme qui me retenais il y a encore quelques instants n'eut pas le temps de réagir et je profitais de cette inattention pour foncer en direction de la voix qui jurer à quelques mètres de moi, l'espoir me donna un nouveau regain d'énergie. Je poussais des personnes qui m'obstruer la vue et je le vis enfin, il était là, bel et bien vivant, sans une seule égratignure. Il avait clairement l'air contrarier, je m'avança comme une ombre dans sa direction.
Tessa : Daryl ?.... DARYL !
Je courus à tout allure vers lui en faisant abstraction à l'image que je pouvais bien renvoyer ni même au gens tout autour de nous. A la surprise sur son visage il eut, sans doute à peine le temps de m'apercevoir, avant que je sois déjà contre lui, contre son torse à le serrer dans mes bras, des larmes de soulagement coulant le long de mes joues.
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Daryl : Tessa ?
Mon visage se leva vers le sien et mes mains courraient déjà sur son visage, ses cheveux, sa nuque. Dire qu'il y a à peine 5 minutes je pensais l'avoir perdu et maintenant il est dans mes bras sain et sauf. Je l'attira vers moi et l'embrassais comme si ma vie en dépendais, comme si j'avais eu une seule et unique dernière chance de pouvoir le faire, comme si je devais lui dire adieu. Il me rendit mon baiser avec tout autant de passion. Quand je coupais le contact de nos lèvres je garda tout de même son visage en coupe dans mes mains.
Tessa : Daryl... J'ai cru t'avoir perdu !
Daryl : Hé bébé, ça va aller je n'ai rien, regarde moi même pas une égratignure.
Tessa : Mais quand j'ai vu ta voiture, j'ai cru devenir folle.
Daryl : Je suis là bébé.
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Ne pouvant pas me contenir je l'embrassais de nouveau par peur que tout ceci n'était autre qu'une hallucination.Un raclement de gorge bruyant et volontaire me sortir de mon état second et mes yeux se détachèrent de Daryl pour se poser sur la personne qu'on avait l'air de déranger. Mes yeux s'agrandir sous la surprise de le découvrir ici, juste à coter de nous alors que je venais de rouler certainement la plus grosse pelle de ma vie à l'homme qui me tenait encore par les hanches.
