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Petit mot d'auteur:

Je suis vraiment désolé de mon absence et je sais que beaucoup de monde viennent de plus en plus sur ce livre alors que moi je cherche juste un moyen de rattraper ma bêtise du meurtre que beaucoup n'ont pas apprécié même moi. J'ai aussi changer ce chapitre le trouvant beaucoup trop déplacer, surtout pour ceux qui ont la phobie du sang ou ceux qui pensent que la douleur physique apaise la douleur morale (ce qui est évidemment faux, une douleur reste une douleur)

Du coup, j'ai décidé de faire une ellipse.

Ce chapitre sera surtout pour que vous soyez le moins de personnes à faire "pas compris"

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Gakushû rentre dans le bureau de son père et en apercevant Marie dans la salle, il regarde de travers.

Gakuhô: Tu tombes bien. On parlait justement de la punition de la jeune demoiselle.

Gakushû: Elle fait partie des déchets, c'est déjà une punition.

Gakuhô: Pour son cas c'est plutôt une liberté.

Gakushû: Qu'à t-elle fait?

Gakuhô: Une demande de...

Marie: Venez en a cette punition.

Gakuhô: Elle va vivre chez nous jusqu'à la fin de l'année.

Gakushû: PARDON?!

Marie: J'ai remboursé les 1 400 000 ¥ mais ce n'est apparemment pas assez.

Gakuhô: Ce n'est évidemment pas discutable.

Elle roule des yeux, quant au délégué, il la regarde comme si elle a fait exprès.

Gakuhô: Tu l'emmènes à la maison.

Son fils lance un "génial..." ironique avant de sortir en invitant la jolie demoiselle à le suivre.

Marie: Soit un peu heureux, il avait proposé un truc un peu plus délicat.

Gakushû: Accessoirement c'est de ta faute donc que ce soit plus horrible que ça je te le reprocherai quand-même. T'as de la chance que tout le monde est soit à la bibliothèque soit déjà chez eux.

Marie: Moh le petit cupcake à l'orange il a peur qu'on le voit avec celle qu'il va devoir vénérer.

Gakushû: Pourquoi je te vénérerai? Et c'est quoi ce surnom tout pourri?

Marie: Je t'explique, je t'explique!

Après avoir longuement dû expliquer sa venue ici, en omettant l'assassinat du prof et la raison de cette "punition". Elle arriva au moment où après être rentré et fait la cuisine, elle lui tendit un cupcake à l'orange.

Gakushû: Tu l'as empoisonné?

Marie: Bien sûr que non.

Gakushû: Admettons que tu sois une sorte de phénix extraterrestre...

Marie: Si c'est ta façon de comprendre.

Gakushû: Que tu es des pouvoirs...

Marie: Pourquoi tu coupes à chaque fois?

Gakushû: Qu'est-ce qui me prouve que tu n'es pas juste de grand symptôme de paranoïa ou de schizophrènie.

Marie: Tu te souviens quand tu as eu l'impression que ton cœur se faisait caressé et que ça te provoquait un frisson désagréable?

Gakushû: Oui.

Marie: Ce n'était pas une impression.

Gakushû: Donc tu es en train de me dire que t'es une sorcière phénix extraterrestre dépressive?

Marie: Je suis pas dépressive!

Gakushû: Tes bras ont parlés pour toi.

Takara: Coucou grand frère, coucou princesse de l'univers .

Marie: Depuis quand tu es au courant?

Takara: Depuis que j'ai demandé pourquoi Karma hébergé une si jolie fille.

Marie: Ça c'est nouveau... Il en avait jamais parlé sur les autres planètes où il existe...

Takara: Ça veut dire qu'il m'aime vraiment !

Marie: Non!

Gakushû: COMMENT ÇA NON?!

Marie: J'ai le droit d'avoir mes petites préférence de ship.

Ceux qui connaissent bien Marie savent de qui elle fait allusion, les autres laissez tombé.

Gakushû: On parlait de ta dépression.

Marie: C'est juste quand je me transforme en papa, je dois me griffer pour pas manger mes ennemis... Regarde la dague est en plastique.

Elle sortit la dague pour lui montrait qu'elle se tord avec un peu de pression.

Takara: Sympa...

Marie: Un cupcake? Ton frère m'a dit que c'était ton fruit préféré.

Takara: Merci!

Marie: Pendant qu'on y est, c'est bien une planète super-héros ici?

Gakushû: Ouais, si tu parles de ces tarés qui sauvent des vies!

Takara: Celle qui se trouve à Tokyo elle est trop classe!

Marie manqua de s'étouffer, car elle n'avait jamais entendu parlé d'une super-héroine à Tokyo. Encore une fois elle se disait que cette planète n'était pas net. Ils discutèrent longtemps en essayant de faire comme si c'était normal, alors qu'interieurement les trois se sentais mal, même celle dont personne ne peut lire dans ses pensées.

Après que tout le monde soit couché, la pseudo phénix comme dirait Gakushû, restait à regarder les étoiles sur le balcon, heureusement qu'elle pouvait voir plus loin que la normale car sinon il n'y en aurait pas.

Gakushû: Tu vas vraiment rester là toute la nuit.

Marie: Tu es vraiment rentrée dans ma chambre?

Gakushû: J'ai aucune confiance en toi. Je te rappelle que tu as fait exprès de te faire soit disant punir.

Marie: Bah tu m'aides à dormir et comme ça t'auras pas besoin d'être parano.

Gakushû: Dormir avec toi?

Marie: Fais pas le gars qui n'a pas envie.

Gakushû: Pourquoi y'a une sorcière chez moi?

Marie: Voilà, t'as vu suicide squad, je suis l'enchanteresse et tu vas mourir, c'est bon t'en a pas un peu marre avec tes délires?

Gakushû: C'est quoi suicide squad?

Marie en chuchotant: Mince on est en 2013...

Il finit par l'attraper par le col, elle eut alors le réflexe de l'empêcher de l'étrangler mais se laissa transporter. Il n'y eu évidemment rien, c'était un peu comme une soirée pyjama qui ne tourne pas mal.

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Suis motivé à écrire les deux chapitres suivants 🥰

les soeurs des rivaux [AC]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant