Chapitre 2

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"Que deviendra ma vie maintenant?"

J’avais passé la nuit dans cette prison et je commencait a croire se que les policiers disaient. J’avais tuer ma mère et sa ne rendait pas les étapes de mon deuil plus facile, au contraire, plus difficile. Je n’arrivait pas a l’accepter. "Quel monstre suis-je?" pensais-je. J’avais tué la seule personne qui m'aimait vraiment sur la terre. Maintenant, j’étais orpheline. Mon père ayant quitter ma mère lorsqu’elle était enceinte de moi. Un proverbe disait : " Nous somme 7 milliards dans le monde et nous avons encore peur d’être seule. " La seule différence entre moi et la plupart des personnes, c’est que moi je n’est pas peur d’être, je suis seule. La plupart des personnes penseront que je suis folle mais j’aurais tué la terre entière si ce n’était que pour ne pas avoir a la tuer, elle. Mais de toute façons je n’avait plus aucun souvenir de cette évenement. Une chance puisque je pense que si j’aurais ue un seule souvenir j’aurais mis fin à mes jours. Même si probablement qu’en sortant d’ici je serait tenté de le faire… si je sort d’ici un jour. Depuis hier soir, j’habitait dans une cellule petite et mal entretenu. Un néon accrocher au plafond cliognotais parfois. Une toilette était accroché au mur avec un rideau qui pendait autour, je sais que dans les films les toilettes sont visible partouts mais dans la petite espace dont je disposais et un garde me surveillant constament qui avait au moin le triple de mon âge il était préferable que un rideau soit mis en place pour lui éviter d’etre accusé de pédophili. J’avais dormis sur un petit lit peu confortable qui resemblait plus a une tablette de métale avec une mince couche de tissu que d’un lit avec un matela confortable. Je n’avais pas beaucoup dormis sur celui-ci passant la pluspart du temps a m’apitoyer sur mon sort. En fait, se qui me preocupait le plus n’etiat pas mon sort mais plustot celui de ma mère. Ca ne sonnait toujours pas bien. " Moi avoir tuer a mere? ". Je finnirai surment dans une ruelle sombre, des vetements déchirés sur le dos avec un verre de café dans les mains demandant de l’argent pour me payer un seule dinner dans la journée. Mais bon, je l’avais mérité non? Je ne méritais même pas le luxe de la prison. Me faisant a l’idée que je méritais le pire des sorts, un policier s'avanca vers moi. Il ouvrit la porte de ma prison.

"Vous pouvez sortir madame", dit-il

"Quoi!? "

"Quoi ? ",répétais-je a voix haute. " Mais hier vous m’avez arreté pour le meutre de ma mère."

"Écoutez jeune fille, nous ne somme pas un foyer d’acceuil n’abuser pas de notre gentillesse."

"Mais non, hier vous m’avez arreter pour le meutre de ma mère.", dis-je suprise

"Mademoiselle, hier nous ne vous avons pas arrêter pour meutre mais bien parce que vous cognier a toutes les porte de maison pour avoir un foyer ou habiter. Une famille s’en est plein et nous avons dus intervenir. Maintenant partai d’ici tout de suite avant que j’appelle la sécurité."

"Quoi? Est-ce que je suis devenu folle ou est-ce une mauvaise blague?" Je n’ai pas rêver hier. J’ai bien été arreter, j’en suis sure… avec  la nuit qu je vient de passé. "Mais qu’est-il arrivé?." Ne voulant pas être escortée de force dehors, je sortis du poste de police. Le policier ferma la porte derrière moi, me laissant sans habrit. "Ou allais-je aller?" Je marcha au moin dix heures en dirrection de ma maison avant d'arrivée devant celle-ci . Mais qu’est-il arriver? Ma maison était en feu. Des boites de cartons contenant tout mes propriété était placé sur le bord de la route, a mes pieds. Le carde contenant une photo de moi et ma mere était placer sur le dessus. Il y avait un mots placé sur la vitre qui protegait la photo.  "Ne cherche pas a comprendre, tu comprendra losque le temps sera venu pour toi de comprendre." C’était un homme qui avait écrit ceci. L’écriture non-proportionnelle était dure a lire et rétrécissait a la fin. De plus, le fais qu’il répète constament le verbe « comprendre » au lieu d’utiliser d’autre termes prouve que c'est un con qui a écrit ça. Et les gars sont cons.

" Espèce de salopard! " criais-je .  Un chose était sure maintenant, quelqu’un voulais que tout cela arrive, voulais que je tue ma propre mère sans m’en souvenir, voulais que je me retrouve en prison, savait que j’aillais revenir chez moi et lire le message . Mais se dont j’était le plus sure était que je n’aillais pas le laissé faire. " Mais pourquoi m’avait-il aidée a sortir de prison? " Je pense qu’il voulais s’assurer que je n’ai plus d’endroit ou vivre. " Mais pourquoi? Pourquoi voulait-il que je soit si vulnerable, sans foyer? " C’est se que je découvrirai. Il pense que je vais-je laisser faire sans checher a comprendre?? Mais qu’il rêve! Je vais me trouvé un foyer et continurai ma vie assaynt de percé le mistaire de la mort de ma mère. Je pense que ,pour commencer, je devrai appelée mon amie pour lui demandé si je pourais habiter chez elle. Je chercha donc , parmis les choses dans les boîtes mon téléphone. L'ayant trouvé, j'appela mon amie.

"Allo?" répondit mon amie

"Allo Sabrina. C'est Ruby. En fait, je n'est plus d'endroit ou habiter et je voulais te demander si tes parents pouraient m'hébergé pendant une semaine environ?"

"Ok...je vais leur demandé. Ta mère n'est-elle pas avec toi?"

A la mention de ma mère mon coeur manqua de sortir de ma poitrine. "Mais qu'allais-je pouvoir dire a mon amie?"

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Désolé. Chapitre plate. De plus, j'ai eu un problèeme avec mon ordi qui ne veux pas mettre les accents sur les a. J'espère, tout de même, que vous apprécié mon histoire.

-A.L

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